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Réduire les erreurs médicales, les accidents en chirurgie est un défi quotidien pour les professionnels du bloc opératoire. Certaines situations critiques sont entretenues par un aveuglement des professionnels. Comment les éviter ? La réponse avec le Dr Didier Legeais, urologue à Grenoble. 

Des chirurgies longues, des saignements lors d'une intervention, nombreux sont les facteurs qui peuvent favoriser l'apparition de complications à risque pour le patient du fait d'une situation tunnelisante. Le Dr Legeais la définit ainsi : « une situation à risque, pendant laquelle nous ne voyons pas les signaux qui devraient nous faire modifier notre attitude ». 

Erreurs de diagnostic, entêtement avec une technique opératoire… la chirurgie non épargnée

Ces situations tunnelisantes sont décrites dans de nombreux domaines. C'est par exemple, le moniteur de ski, qui est poussé à sortir malgré le risque d'avalanche, ou le pilote amateur qui décide de partir malgré les conditions météorologiques. Alors que les facteurs de risque sont connus de tous, que les informations sont accessibles, des décisions sont prises qui créent des situations dangereuses et parfois mortelles.

Les disciplines chirurgicales, l'anesthésie peuvent être concernées par ces phénomènes de tunnelisations, avec des conséquences plus ou moins dramatiques. En effet, lors d'une chirurgie, le chirurgien peut se tromper de côté, ou de diagnostic… Même chose pour les anesthésistes, qui peuvent décider d'endormir le patient malgré des risques trop élevés, ou délivrer une mauvaise dose d'anesthésiants… 

Afin de pallier ces risques, il existe des « check-lists » réalisées en équipe, pour ainsi éviter les erreurs individuelles. Ces check-lists permettent de vérifier, juste avant l'intervention, des éléments essentiels, tels que : l'identité du patient, le type d'intervention, l'installation en salle, les instruments nécessaires, et les différents documents médicaux relatifs à l'intervention. Elles permettent également de valider l'utilisation de divers traitements, et de contrôler l'identification des prélèvements éventuellement effectués. 

Les médecins peuvent bien se protéger de ses risques par une approche d'équipe

Il existe plusieurs temps où les décisions doivent se réaliser de manière collective avec l'ensemble de l'équipe médicale et paramédicale : « l'intérêt du patient passe avant tout, tout le monde doit entretenir des rapports de courtoisie et d'écoute » explique ainsi le Dr Didier Legeais. 
Tout d'abord le temps précédant l'intervention, durant lequel le chirurgien se doit de donner les bonnes informations à son patient, mais également de décider éventuellement de décaler une opération si les conditions ne sont pas optimales. 
Lors de l'intervention, des facteurs de stress peuvent faire rentrer l'opérateur en situation tunnelisante. Tout membre de l'équipe doit permettre d'analyser la situation, et de prendre une décision commune, avec même la possibilité d'appeler une autre personne en renfort. 

Ainsi, en mettant en place des mécanismes de prévention, des procédures standardisées, une bonne communication au sein des équipe permettant l'écoute et l'acceptation des remarques des autres, et en mettant de côté les « ego », les professionnels du bloc opératoire peuvent éviter ces situations tunnelisantes.
 

[post_title] => Situations tunnelisantes : comment éviter des accidents prévisibles [post_excerpt] => [post_status] => publish [comment_status] => open [ping_status] => open [post_password] => [post_name] => situations-tunnelisantes-comment-eviter-des-accidents-previsibles [to_ping] => [pinged] => [post_modified] => 2021-04-07 21:41:19 [post_modified_gmt] => 2021-04-07 19:41:19 [post_content_filtered] => [post_parent] => 0 [guid] => https://www.urofrance.org/2019/06/25/situations-tunnelisantes-comment-eviter-des-accidents-previsibles/ [menu_order] => 0 [post_type] => post [post_mime_type] => [comment_count] => 0 [filter] => raw ) [1] => WP_Post Object ( [ID] => 20519 [post_author] => 1 [post_date] => 2019-06-11 00:00:00 [post_date_gmt] => 2019-06-10 22:00:00 [post_content] =>

Le cancer de la prostate, évoluant de manière lente, comporte plusieurs traitements dont l'hormonothérapie lorsque le stade est avancé. La résistance à ce traitement peut survenir après un certain temps. Trois nouveaux essais montrent un bénéfice net dans cette population, le point avec Pr François Kleinclauss, responsable du centre du cancer de la prostate au CHU de Besançon et membre du conseil scientifique de l'AFU. 

Le cancer de la prostate est sous l'influence de la testostérone, sécrétée par les testicules. Le blocage de cette hormone, ou des hormones influençant sa création au niveau cérébral, est appelée hormonothérapie, ou « castration chimique », et un des traitements du cancer au stade localement avancé. Ce blocage va ainsi permettre un ralentissement du cancer, dépendant de cette testostérone pour évoluer.

Cependant, il peut exister une résistance du cancer après quelques mois de ce traitement, qui va ainsi reprendre son évolution. Ce premier temps, marqué par une modification des marqueurs biologiques (PSA) sans modifications des imageries (scanner, IRM), est donc une étape clé à cibler au niveau thérapeutique, afin d'éviter l'arrivée trop rapide de métastases. La résistance à un premier traitement hormonal n'est donc pas synonyme d'arrivée précoce de métastases, notamment depuis l'apparition de ces molécules, inhibitrices des récepteurs aux androgènes. 

Trois essais avec des résultats bénéfiques pour les patients

Les études PROSPER(1), SPARTAN(2) et ARAMIS(3), toutes les trois associant un inhibiteur des récepteurs aux androgènes et une hormonothérapie (de 1ère génération), ont montré un retardement de la survenue de métastases. Chaque essai regroupant plus de 1500 patients, les résultats montraient un doublement du temps sans métastases décelables (40 vs 18 mois pour le traitement standard). 

Les trois molécules testées présentaient également une bonne tolérance (8 à 9% d'arrêt durant la période d'étude), avec très peu d'effets indésirables (fatigue et rash cutanées entre autres). Les différentes molécules (enzalutamide pour PROSPER, l'apalutamide pour SPARTAN, et darolutamide pour ARAMIS) vont se fixer sur les récepteurs de la testostérone, empêchant leur fonctionnement et ralentissant ainsi le cancer de la prostate. Ces traitements sont désormais intégrés dans les recommandations de l'Association Française d'Urologie, depuis le dernier congrès en novembre 2018, sauf pour le darolutamide, dernier né des inhibiteurs des récepteurs aux androgènes, qui ne passe pas la barrière hémato-encéphalique, évitant les risques de convulsion par exemple. 

De nouveaux outils pour détecter les métastases précoces 

Les techniques habituelles d'imagerie (scanners, IRMs, échos) ne permettent pas de visualiser de petites métastases, mais de nouvelles techniques voient le jour. C'est le cas des imageries dites « métaboliques » (se basant sur l'activité de molécules et non plus l'anatomie des structures), souvent couplées à une imagerie conventionnelle. Le PET Scan à la Choline et au PSMA, permet d'injecter un traceur faiblement radioactif (marqueur métabolique couplé à un nucléotide radioactif qui va se fixer sur les cellules cancéreuses) et ainsi mesurer un rayonnement des marqueurs au niveau des cellules tumorales, permettant ainsi de repérer une zone présentant une activité tumorale, et donc métastatique d'un cancer de la prostate…


1.     Tombal B, Saad F, Penson D, Hussain M, Sternberg CN, Morlock R, et al. Patient-reported outcomes following enzalutamide or placebo in men with non-metastatic, castration-resistant prostate cancer (PROSPER): a multicentre, randomised, double-blind, phase 3 trial. Lancet Oncol. 2019 Apr;20(4):556–69. 
2.     Saad F, Cella D, Basch E, Hadaschik BA, Mainwaring PN, Oudard S, et al. Effect of apalutamide on health-related quality of life in patients with non-metastatic castration-resistant prostate cancer: an analysis of the SPARTAN randomised, placebo-controlled, phase 3 trial. Lancet Oncol. 2018 Oct;19(10):1404–16. 
3.     Darolutamide Slows Metastasis in Prostate Cancer. Cancer Discov. 2019 Apr;9(4):OF6. 

[post_title] => Patients avec un cancer non-métastatique de la prostate résistant à la castration, l'espoir renaît ! [post_excerpt] => [post_status] => publish [comment_status] => open [ping_status] => open [post_password] => [post_name] => patients-avec-un-cancer-non-metastatique-de-la-prostate-resistant-a-la-castration-lespoir-renait [to_ping] => [pinged] => [post_modified] => 2021-04-07 21:41:21 [post_modified_gmt] => 2021-04-07 19:41:21 [post_content_filtered] => [post_parent] => 0 [guid] => https://www.urofrance.org/2019/06/11/patients-avec-un-cancer-non-metastatique-de-la-prostate-resistant-a-la-castration-lespoir-renait/ [menu_order] => 0 [post_type] => post [post_mime_type] => [comment_count] => 0 [filter] => raw ) [2] => WP_Post Object ( [ID] => 20520 [post_author] => 1 [post_date] => 2019-06-03 00:00:00 [post_date_gmt] => 2019-06-02 22:00:00 [post_content] =>

Les cancers peuvent entrainer des changements de vie, parfois esthétiques ou fonctionnels. Au niveau des organes du pelvis, la chirurgie peut provoquer des troubles érectiles, ou des modifications esthétiques. Les urologues, souhaitant la meilleure prise en charge pour les patients, s'intéressent de longue date à préserver au mieux leur vie intime. Le point avec le Pr Stéphane Droupy, chef du service d'urologie au CHU de Nîmes. 

Une discipline récente, un sujet présent depuis des années

La sexologie est l'étude de la sexualité humaine et de ses manifestations. Cette discipline étudie les différents aspects de la sexualité, à savoir les mécanismes des rapports érotiques, mais également les comportements sexuels, à travers la psychologie, la physiologie et la médecine. La sexologie a une vocation thérapeutique pour des patients atteints de troubles de la sexualité. L'oncosexologie, la sexologie des patients atteints d'un cancer, est une discipline récente et peu répandue en France. Peu de Centres de Lutte contre le Cancer disposent d'une offre de soins dans ce domaine. Les urologues l'ont toujours intégrée au sein de leur pratique.  « Nous sommes directement concernés. D'une part, nous générons des troubles sexuels lorsque nous traitons certains cancers urologiques, et d'autre part, nous sommes spécialisés dans la prise en charge de ces troubles », note le Pr Droupy. 

Une chirurgie de plus en plus économe

La chirurgie de cancer peut provoquer des lésions sur les organes touchés par la maladie, ou sur les tissus adjacents à la tumeur. Par différents phénomènes (lésion, coagulation, exérèse), il peut donc y avoir des altérations des nerfs, vaisseaux, voire des organes responsables de la sexualité ou des érections. Le changement du schéma corporel peut également avoir des effets néfastes sur la sexualité des patients après chirurgie. « Pendant longtemps, on a considéré que la perte de la fonction sexuelle était le prix à payer pour guérir ou pour gagner quelques années de survie », rappelle le Pr Droupy. Ce n'est plus le cas aujourd'hui. 
La chirurgie, devenant moins délabrante et plus économe, permet une meilleure préservation des structures anatomiques. Les traitements complémentaires (radiothérapie, chimiothérapie) permettent également une diminution de taille de la tumeur, rendant la chirurgie plus facile pour l'urologue. Les praticiens sont attentifs à préserver les bandelettes vasculo-nerveuses qui se trouvent de part et d'autre de la prostate et de la vessie. 

Il faut donc pouvoir parler de sexualité aux patients souffrant d'un cancer uro-génital. Certains patients peuvent avoir des troubles, voire une absence de libido, en raison de traitements hormonaux, mais conservent « une envie d'avoir envie ».

Ces troubles peuvent engendrer des conséquences au sein du couple. Il existe peu de solutions pour les patients castrés chimiquement, dont la libido est en panne. Néanmois, des aides et un accompagnement sont possibles. La sexologie peut donc prendre une place plus qu'importante dans la prise en charge et la décision thérapeutique de patients atteints d'un cancer urologique.
 

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Cher(e) Collègue,

Le Conseil d'Administration de l'AFU et, par conséquent son Bureau, doivent être renouvelés lors du prochain Congrès Français d'Urologie, en Novembre 2019.  
Conformément aux statuts, tout membre titulaire de l'Association Française d'Urologie, à jour de cotisation, peut faire acte de candidature auprès du secrétaire général, Xavier Gamé, par courrier, courrier recommandé avec accusé de réception, (AFU – Xavier Gamé – Maison de l'Urologie – 11, rue Viète -75017 Paris), ou par courriel (afu@afu.fr), au plus tard deux mois avant le début de l'élection, c'est-à-dire avant le 20 septembre 2019 à minuit. Un accusé de réception sera adressé par mail aux candidats.
Le Conseil d'Administration, composé de 24 membres, est élu pour 3 ans, au scrutin secret, uninominal, à un tour. La majorité simple des suffrages est suffisante pour être élu. En cas d'égalité de voix pour le ou les derniers postes à pourvoir, les candidats dont la nomination à l'Association Française d'Urologie est la plus ancienne seront élus et, en cas d'égalité d'ancienneté dans l'AFU, les candidats les plus âgés seront élus. 
La liste des candidats sera communiquée via Urojonction à tous les électeurs, pour leur permettre de voter au Palais des Congrès, du mercredi 20 novembre 2019, 10h au Vendredi 22 novembre 2019, 16h. Pour être valable, le vote électronique devra comporter au minimum 18 noms et au maximum 24.
Les résultats seront annoncés lors de l'Assemblée Générale qui se tiendra le Vendredi 22 novembre 2019 à 18h00 dans la salle Havane.
Le nouveau Conseil d'Administration élu se réunira le Samedi 23 novembre 2019 à 11h00 et choisira parmi ses membres, au scrutin secret, son bureau composé d'un Président, d'un Vice-Président, d'un Secrétaire Général, d'un Trésorier, d'un Secrétaire Général Adjoint et d'un Trésorier Adjoint.
La présentation du nouveau Conseil d'Administration et de son Bureau se fera lors de la séance de clôture du congrès, le Samedi 23 novembre 2019 à 15h30.
Si vous décidez de vous porter candidat, vous aurez la possibilité de vous présenter et de présenter votre programme dans un numéro spécial d'Uro-Jonction qui paraîtra avant le congrès. Dans cette éventualité, vous pouvez adresser au secrétariat de l'AFU (afu@afu.fr) avant le 28 septembre 2019 minuit :

•     une photo d'identité récente
•     votre profession de foi (maximum 500 mots)

Je vous prie de croire, Cher(e) Collègue, à l'assurance de mes sentiments dévoués

Thierry LEBRET
Président   

Retrouvez l'appel à candidature ici.

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Chers collègues,
L'Agence National de Sécurité du Médicament (ANSM) a signalé le 9/05/2019 une pénurie nationale en Amétycine (mitomycine C) utilisée pour les instillations endovésicales. Celle-ci pourrait durer environ un mois.


L'épirubicine et la gemcitabine utilisées dans d'autres pays pour les instillations endovésicales ne disposent pas d'autorisation de mise sur le marché spécifique en France. Leur utilisation, même conforme aux protocoles décrits dans la littérature, engage la responsabilité individuelle du prescripteur en cas d'effet indésirable.


Pendant la pénurie, le Comité de Cancérologie de l'AFU recommande de surseoir aux instillations post-opératoires précoces (IPOP). Les instillations de BCG peuvent être utilisées pour les patients dont les risques de récidive et de progression le justifient (tumeur de risque intermédiaire). Pour les patients dont le programme d'instillations d'Amétycine a du être interrompu avant la quatrième instillation, le CCAFU recommande de réaliser une fibroscopie de contrôle et, si celle-ci est normale, de recommencer le programme de 8 instillations à son début.


Le Comité de Cancérologie de l'Association Française d'Urologie (CCAFU)
 

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L'éjaculation prématurée est la dysfonction la plus commune de la sexualité masculine. Les patients, souvent réticents à l'évocation de leurs problèmes, et les médecins, moins habitués à ce type de prise en charge, rendent ces troubles difficiles à diagnostiquer et à traiter. Le Dr Damien Carnicelli (Urologue-Andrologue et membre du CAMS AFU) résume les différents traitements disponibles pour les patients.

Ce n'est pas une maladie au sens médical du terme, et en ce sens rend la définition difficile à établir » rappelle Damien Carnicelli. « Le comportement sexuel masculin est en partie conditionné par sa physiologie. L'érection est un parfait exemple de mécanisme « réflexe » transitoire, sous l'influence des neurotransmetteurs »

Une définition difficile  

« Les premières études montraient une présence de ce trouble aux environs de 30 % de la population masculine, estimée désormais aux alentours de 4 % ». En 2007, une définition internationale est établie par l'International Society of Sexual Medicine. Elle est révisée en 2013 et associe une définition médicale et des conséquences personnelles négatives (la détresse, la peine, la frustration et/ou l'évitement de l'intimité? sexuelle. Pour le Dr Carnicelli, « réduire la sexualité masculine sur la durée n'a pas de sens… c'est tout l'intérêt de cette définition qui prend en compte la souffrance du patient et du partenaire »

Plusieurs facteurs peuvent rentrer en cause dans cette pathologie. Des facteurs génétiques, psychologiques, et environnementaux peuvent aussi être provocateurs de ces troubles (stress, estime de soi, dysfonctions érectiles, peur de l'échec…).

Une prise en charge multiple 

« Tout commence par une consultation dédiée, où l'on doit reformuler la plainte, rassurer le patient, et confirmer le diagnostic ». L'approche psycho-sexologique est la première ligne, permettant une meilleure communication avec son partenaire, et permettant de comprendre d'éventuels troubles psychologiques personnels. Les traitements interviennent en seconde ligne, sur des patients motivés, afin d'aider le couple.
Mais quel est le traitement pharmacologique idéal ? « Un traitement rapide et efficace lorsqu'il est pris avant un rapport à la demande, avec peu d'effets indésirables, et qui va augmenter la durée du rapport sans nuire à la nature même de l'éjaculation, et au plaisir ».
Les principaux traitements sont soit des anesthésiants locaux, soit des antidépresseurs.
D'autres traitements, nécessitant des injections ou gestes chirurgicaux, sont également disponibles en cas d'échec des médicaments.

La prise en charge de L'éjaculation prématurée est donc avant tout multiple, avec une thérapie comportementale de l'individu et du couple avec l'aide/complément d'un traitement.

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Les fiches infos traitements ont été mises à jour par le CA de l'AFU avec l'aide précieuse de plusieurs urologues experts lors du séminaire d'octobre 2018.
Elles sont incontournables en vue de programmer une intervention chirurgicale.
Elles fusionnent les fiches traitements et suites d'intervention et le formulaire de consentement éclairé.

Voici la liste des premières fiches mises à jour disponibles sur Urofrance : 

•    Biopsie échoguidée de la prostate
•    Cathétérisme sus pubien
•    Condylomes
•    Curage Ganglionnaire Inguinal
•    Curage rétropéritonéal pour masse résiduelle
•    Curage Ganglionnaire rétropéritonéal d'évaluation pour cancer du testicule
•    Cure endoscopique de reflux vésico-urétéral
•    Cure de diverticule de vessie
•    Orchidectomie partielle
•    Orchidectomie totale
•    Pénectomie partielle
•    Pénectomie totale
•    Prothèse testiculaire
•    Sondage vésical
•    Urétrocystoscopie chez l'homme/Cystoscopie
•    Urétrocystoscopie chez la femme/Cystoscopie

Pour les télécharger : /lurologie-grandpublic/fiches-patient/fiches-traitements.html
 

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Depuis maintenant plus de 4 ans, l'équipe du CHU de Toulouse a développé une technique de résection en-bloc des tumeurs de vessie (en un seul morceau), par l'intermédiaire du Pr Malavaud et du Dr Roumiguié. Présentation de la technique avec le Dr Roumiguié du CHU de Toulouse.  

La résection de tumeurs de vessie se fait par voie endoscopique, à l'aide d'un résecteur. Le résecteur est un instrument semi-circulaire qui passe par les voies naturelles, sectionnant une tumeur grâce à un courant électrique. Jusqu'à présent, les tumeurs sont découpées en plusieurs morceaux, récupérés également par les voies naturelles. Cette intervention pose plusieurs problèmes : obtenir une résection assez profonde, jusqu'au muscle de la vessie, sans laisser de tumeur, et éviter des complications post opératoires telles que les saignements de la paroi vésicale, qui peuvent engendrer une hospitalisation prolongée et parfois une nouvelle chirurgie. Une alternative à la résection classique semble avoir trouver sa place à Toulouse, avec la résection bipolaire en-bloc des polypes de vessie.

Une même technique opératoire pour toutes les résections

La technique de résection en-bloc se base sur l'utilisation d'une anse avec un courant électrique particulier, et une incision circulaire faite autour de la tumeur, avec une marge de 5 à 10 mm « Les points importants lors d'une résection en-bloc sont la manière d'aborder la tumeur, avec une « dissection » totalement nouvelle. Il faut également avoir une section brève et précise, et parfois s'aider de la caméra afin de pousser ou soulever la tumeur » précise le Dr Roumiguié. 

Des résultats et des bénéfices 

Présentée en novembre dernier lors du dernier congrès français d'Urologie, cette technique avait déjà fait l'objet d'une évaluation après les 30 premiers patients, deux ans auparavant (1). Cette étude avait montré de bons résultats, et seulement 10 % de complications, tous grades confondus.
Depuis, cette technique a fait ses preuves, avec les nombreux avantages qu'elle propose, telle la conservation de la structure entière de la tumeur (2). « Cela permet une analyse complète de la profondeur de la tumeur ainsi que de son extension au sein du tissu vésical et bien entendu de savoir si l'on a retiré l'ensemble de la tumeur ou non. Cette technique est également utile dans la confirmation de présence de muscle dans les résections pour caractériser une tumeur agressive », explique le Dr Roumiguié.
La résection du polype en-bloc respecte les grandes règles de la chirurgie réalisée pour des cancers, avec un retrait complet de la tumeur (a contrario de la résection classique) et permet donc de mieux stadifier la tumeur, quand on sait les difficultés que peuvent s'avérer l'analyse de ces tissus, la présence ou non de muscle, et les multiples morceaux envoyés par le chirurgien. Ce travail de stadification est essentiel pour le pronostic et pour la suite de la prise en charge.

La résection en-bloc a donc de beaux jours devant elle pour les résections de tumeurs de vessie…


Références
1.    Présentation CFU 2017 : Résultats d'une expérience de la résection transurétrale de vessie en-bloc : à propos de 30 patients B Covin et al.
2.    Présentation ESOU 2019 (European Section of Onco Urology): Is en-bloc TURB the best staging tool? Malavaud B et al.
 

[post_title] => La résection en-bloc des tumeurs de vessie : une pratique pour mieux évaluer une tumeur [post_excerpt] => [post_status] => publish [comment_status] => open [ping_status] => open [post_password] => [post_name] => la-resection-en-bloc-des-tumeurs-de-vessie-une-pratique-pour-mieux-evaluer-une-tumeur [to_ping] => [pinged] => [post_modified] => 2021-04-07 21:41:24 [post_modified_gmt] => 2021-04-07 19:41:24 [post_content_filtered] => [post_parent] => 0 [guid] => https://www.urofrance.org/2019/05/09/la-resection-en-bloc-des-tumeurs-de-vessie-une-pratique-pour-mieux-evaluer-une-tumeur/ [menu_order] => 0 [post_type] => post [post_mime_type] => [comment_count] => 0 [filter] => raw ) [8] => WP_Post Object ( [ID] => 20524 [post_author] => 1 [post_date] => 2019-05-06 00:00:00 [post_date_gmt] => 2019-05-05 22:00:00 [post_content] =>

L'immunothérapie permet de cibler un phénomène naturel, celui de l'activation du système immunitaire face aux agressions telles que le développement de cellules cancéreuses. Le point en urologie sur les dernières études et les nouveautés présentées lors du dernier Congrès de l'Association Française d'Urologie par le Pr Yann Neuzillet (Foch, Paris). 

L'année 2018 a été riche pour l'immunothérapie, avec un prix Nobel de Médecine attribué à Allison et Honjo pour leurs travaux sur ce nouveau type de traitement anti-cancéreux. L'immunothérapie permet de renforcer le système immunitaire afin de reconnaitre des cellules présentant une agression au sein de l'organisme. En urologie, de nombreuses études ont été publiées concernant les cancers de la vessie et des voies urinaires. Le résumé avec le Pr Yann Neuzillet.

L'immunothérapie dans les cancers métastatiques

« Le cancer de la vessie reste une pathologie très variée, allant de la petite tumeur localisée jusqu'au cancer métastatique, en passant par la récidive cancéreuse agressive. Concernant les patients métastatiques, il existe une période où ces derniers deviennent réfractaires à la chimiothérapie, diminuant drastiquement leur espérance de vie à quelques mois. »

De nombreuses études préliminaires ont été réalisées sur deux types d'immunothérapie (le Pembrolizumab et l'Atézolizumab), avec des résultats surprenants sur la survie globale, permettant de passer à des études de plus grande ampleur. Ces dernières n'ont retrouvé des résultats positifs que pour le Pembrolizumab1. « Le principal problème de l'étude de l'Atézolizumab était avant tout un défaut de méthodologie » souligne le Pr Neuzillet. Les résultats montraient une réponse objective pour 28,6% des patients sous Pembrolizumab, avec des preuves suffisantes pour en faire un traitement de référence. Malheureusement la Haute Autorité de Santé refuse pour l'instant le remboursement, rendant ce médicament difficile à prescrire dans un établissement de santé. D'autres études sont également en cours pour débuter par l'immunothérapie chez des patients métastasiques, avec des résultats préliminaires montrant un taux de réponse de 55% pour des patients sélectionnés. On sélectionne alors une population de patients possédant un certain type de marqueurs tumoraux.

L'immunothérapie en traitement d'appoint et avant la chirurgie pour les cancers localisés

L'immunothérapie agissant à tous les stades de la maladie, des essais sont aussi réalisés en traitement après ou avant chirurgie ; certaines études montraient jusqu'à 42% de disparition de la tumeur avant chirurgie, et jusqu'à plus de 50% chez les patients avec une forte expression du récepteur concerné.

Des résultats encourageants pour l'immunothérapie, qui est donc appelée à devenir l'un des outil thérapeutique de référence dans les prochaines années en onco-urologie.

Références 1 Del Alba G, A., Velasco G, Lainez N, Maroto P, Morales-Barrera R, Muñoz-Langa J et al. SEOM Clinical Guideline for Treatment of Muscle-Invasive and Metastatic Urothelial Bladder Cancer. Clinical & Translational Oncology: Official Publication of the Federation of Spanish Oncology Societies and of the National Cancer Institute of Mexico, December 18, 2018. 2 Galsky MD, Powles T, Li S, Hennicken D, Sonpavde G. A Phase 3, Open-label, Randomized Study of Nivolumab Combined With Ipilimumab, or With Standard of Care Chemotherapy, Versus Standard of Care Chemotherapy in Participants With Previously Untreated Unresectable or Metastatic Urothelial Carcinoma. Journal of clinical oncology (en cours). 3 Necchi A, Anichini A, Raggi D, Briganti A, Massa S, Lucianò R et al. Pembrolizumab as Neoadjuvant Therapy Before Radical Cystectomy in Patients With Muscle-Invasive Urothelial Bladder Carcinoma (PURE-01): An Open-Label, Single-Arm, Phase II Study. Journal of Clinical Oncology: Official Journal of the American Society of Clinical Oncology, October 20, 2018, JCO1801148. [post_title] => L'immunothérapie dans les cancers de la vessie et des voies urinaires [post_excerpt] => [post_status] => publish [comment_status] => open [ping_status] => open [post_password] => [post_name] => limmunotherapie-dans-les-cancers-de-la-vessie-et-des-voies-urinaires [to_ping] => [pinged] => [post_modified] => 2021-04-07 21:41:25 [post_modified_gmt] => 2021-04-07 19:41:25 [post_content_filtered] => [post_parent] => 0 [guid] => https://www.urofrance.org/2019/05/06/limmunotherapie-dans-les-cancers-de-la-vessie-et-des-voies-urinaires/ [menu_order] => 0 [post_type] => post [post_mime_type] => [comment_count] => 0 [filter] => raw ) [9] => WP_Post Object ( [ID] => 20525 [post_author] => 1 [post_date] => 2019-04-15 00:00:00 [post_date_gmt] => 2019-04-14 22:00:00 [post_content] =>

Pour la cinquième année, l'AFU a organisé un Facebook chat destiné aux patients à l'occasion de la semaine de la continence. Cette année, elle a répondu à des questions plus polémiques, notamment sur les complications des prothèses vaginales. 

L'AFU a instauré deux grands rendez-vous annuels avec les patients. L'un, en septembre, à l'occasion de la Journée européenne de la prostate, et l'autre, en mars, pour la semaine de la continence. Pour informer au mieux les patients, qui n'osent parfois pas consulter leur urologue, ce rendez-vous est centré sur un Facebook chat.

La cinquième édition, organisée le 21 mars, a réuni les experts de l'AFU autour de l'incontinence urinaire, mais aussi autour de la descente d'organes, et des différents types de matériaux utilisés. « Par rapport aux autres années, nous avons abordé un sujet plus polémique », explique Christian Castagnola, vice-président de l'AFU en charge de la communication. « Je pense que c'était important de réaffirmer la position de l'AFU, qui n'a jamais ignoré les problèmes avec les implants ».

Le Facebook chat était donc aussi l'occasion d'ouvrir un espace de discussion pour expliquer cette position face à des patients parfois inquiets, et pour préciser les risques liés aux implants médicaux. De nombreuses questions ont été posés durant ce chat, allant d'informations sur la musculation du périnée aux complications sur les bandelettes luttant contre l'incontinence. Un nombre important d'interrogations sur les prothèses vaginales et le « Implant File » ont permis aux patientes d'être mieux informées.
La sexualité était également abordée, sujet souvent tabou et dont l'anonymat a permis aux femmes d'avoir enfin des réponses à des questions parfois « gênantes » en consultation. 

Un premier pas pour s'informer

Le dispositif mis en place est maintenant rôdé. Christian Castagnola et Xavier Gamé, Secrétaire général, ont tourné quatre vidéos annonçant l'événement. Début mars, deux spots d'information – un sur l'incontinence urinaire et l'autre sur le prolapsus – qui ont touché plus de 50 000 personnes, avaient également été mis en ligne. Ensuite, le 21 mars, les experts bénévoles de l'AFU qui se sont rendus disponibles pour l'occasion – Xavier Gamé, Véronique Phé, Marc Géraud et Adrien Vidart – ont répondu à 39 questions sur la soixantaine posée par les internautes (les autres étant souvent redondantes).

Cette fois encore, l'événement organisé par l'AFU a permis aux patients qui ressentent de la honte sur ces pathologies de s'informer anonymement et d'obtenir des réponses précises. Et, à défaut, parce que le Facebook chat n'est pas une consultation, il en aura certainement aidé d'autres à faire ce premier pas vers un urologue.
 

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Réalisée en décembre dernier pour le compte de la startup TripleW, une enquête Ifop* en dit long sur la perception de l'incontinence urinaire par les français et leurs attentes en matière de prévention.
Près de la moitié des français (43 %) considère l'incontinence urinaire comme un sujet tabou. Plus on est jeune, plus le sujet est perçu comme gênant. 57 % des moins de 35 ans sont de cet avis alors que plus on avance en âge, moins l'incontinence serait un sujet gênant. Les 50-64 ans sont 37 % à trouver le sujet tabou alors qu'ils ne sont plus que 30 % après 65 ans.


Sujet tabou mais très répandu !
Il est intéressant de comparer ces chiffres à l'importante proportion de personnes impactées par les fuites urinaires. Le sujet est largement tabou alors que l'enquête Ifop précise pourtant que plus d'un français sur trois (37 %) âgé de 18 ans et plus est concerné par le phénomène d'incontinence urinaire. Si seulement 9 % de cette catégorie d'âge déclare être personnellement touché, les plus jeunes sont 19 % à l'être par l'intermédiaire d'une personne de leur entourage familial, amical ou professionnel et 11% par l'intermédiaire de plusieurs personnes dans leur environnement proche. L'âge avançant, c'est à titre personnel que les français sont impactés par les fuites urinaires. 13 % des 65-74 ans interrogés dans le cadre de l'enquête et 23 % des 75 ans et plus se déclarent eux-mêmes concernés.

L'attente de solutions
Cette enquête avait entre autres pour objectif de comprendre les attentes des français en matière de solutions préventives possibles pour conserver une bonne qualité de vie malgré l'incontinence. Il en ressort que parmi les attentes des personnes souffrant d'incontinence urinaire, la capacité à prédire l'envie d'uriner avant que le problème ne survienne, arrive en tête des plébiscitassions (42 %). Cette proportion s'élève avec l'âge et passe loin devant le besoin de contrôler ou de mesurer à tout moment l'accumulation d'urine dans la vessie (19 %). Ainsi, pouvoir prédire la miction avant qu'elle ne survienne par le biais d'une technologie particulière, serait un confort majeur pour les personnes souffrant d'incontinence urinaire. Limiter l'usage des couches n'est une priorité que pour 15 % des personnes interrogées.

*Les français et l'incontinence urinaire, étude réalisée par l'Ifop pour l'agence Mille Soixante Quatre, en décembre 2018, auprès d'un échantillon de 1014 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
 

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L'incontinence urinaire touche plus de la moitié des personnes de plus de 65 ans. Elle est une source fréquente de consultations en urologie. Un problème qui n'est pas à négliger car cela peut avoir des conséquences sur la qualité de vie, ce qui en fait une des priorités des gériatres. 

Les personnes âgées constituent une part importante de la consultation d'un urologue, que ce soit pour des fuites urinaires, des difficultés de miction, ou tous les symptômes directement ou indirectement reliés. La prise en charge peut s'avérer très difficile du fait de leurs conditions, qui peuvent être complètement différentes. Avant toute prise en charge médicale, il faut considérer la personne âgée dans sa globalité. Il est important de peser la balance bénéfice/risque en fonction de leurs fragilités et des autres pathologies (Hypertension artérielle, diabète, insuffisance rénale, …). 

Par exemple, en cas d'incontinence par urgenturie*, un traitement médical est le plus souvent prescrit d'emblée. Le Dr Cyrielle Rambaud (gériatre, CHU Nice) rappelle les règles de prudence : « Certains médicaments, comme les anticholinergiques, ne sont pas à bannir chez la personne âgée mais leur prescription doit être raisonnable et raisonnée. En effet, les anticholinergiques peuvent conduire à une aggravation de troubles cognitifs ou à une confusion chez les patients présentant une fragilité préexistante. Le risque sera d'autant plus grand si le patient prend d'autres traitements, car il peut exister une accumulation d'autres traitements ayant des propriétés anticholinergiques ».  

Cette prescription doit reposer sur des échelles, qui classent les médicaments en plusieurs catégories en fonction de leur dose active. « La qualité de vie chez les personnes âgées est à privilégier. Il faut pouvoir dépister les fragilités de ces derniers, et informer non seulement le patient mais également l'entourage, des effets secondaires potentiels des traitements instaurés. Un suivi régulier est également essentiel avec réévaluation du traitement, les perdus de vue étant souvent les plus fragiles et à risque de décompensation globale. »

 

Une prise en charge multidisciplinaire 

Il est utile de mettre en place une discussion entre l'urologue et le gériatre avant la prise de décision thérapeutique médicale ou chirurgicale. L'important est de de ne pas brûler les étapes et de pouvoir dépister les patients à risque pour éviter d'éventuelles complications gériatriques. 

La personne âgée est par définition un patient complexe pouvant présenter de nombreuses fragilités. Savoir privilégier la qualité de vie est le plus important, afin de ne pas traiter seulement un « symptôme » mais bien une personne dans sa globalité

*Fuites dans des situations particulières, comme lors du contact avec le froid, associée à d'autres symptômes comme les mictions fréquentes et/ou nocturnes

[post_title] => L'incontinence urinaire de la personne âgée : le point de vue du gériatre [post_excerpt] => [post_status] => publish [comment_status] => open [ping_status] => open [post_password] => [post_name] => lincontinence-urinaire-de-la-personne-agee-le-point-de-vue-du-geriatre [to_ping] => [pinged] => [post_modified] => 2021-04-07 21:41:28 [post_modified_gmt] => 2021-04-07 19:41:28 [post_content_filtered] => [post_parent] => 0 [guid] => https://www.urofrance.org/2019/03/14/lincontinence-urinaire-de-la-personne-agee-le-point-de-vue-du-geriatre/ [menu_order] => 0 [post_type] => post [post_mime_type] => [comment_count] => 0 [filter] => raw ) [12] => WP_Post Object ( [ID] => 20528 [post_author] => 1 [post_date] => 2019-03-01 00:00:00 [post_date_gmt] => 2019-02-28 23:00:00 [post_content] =>

Assurer aux patients une prise en charge médicale et chirurgicale optimale est un enjeu majeur pour l'Association Française d'Urologie. Au travers d'ateliers de simulation, l'AFU offre aux urologues la possibilité de se perfectionner aux gestes techniques et d'apprendre à maîtriser les événements indésirables lorsqu'ils surviennent malgré tout.
Dans sa pratique quotidienne, le médecin doit savoir prévenir les risques d'effets indésirables liés aux actes médicaux et chirurgicaux. Il en va de la protection des patients bien sûr, mais aussi de celle des urologues qui effectuent les actes. En tant qu'organisme accréditeur et en partenariat avec la Haute Autorité de Santé (HAS), l'AFU propose aux urologues de s'inscrire dans une démarche d'accréditation, procédure permettant de se former aux bons gestes et aux bonnes pratiques. Il s'agit d'une démarche volontaire de gestion des risques entamée par les médecins et les équipes médicales. Ils n'y sont pas contraints, mais en s'inscrivant dans une démarche d'accréditation, en identifiant et en déclarant tous les événements indésirables associés à leur pratique médicale, ils contribuent à améliorer la qualité et la sécurité des soins. L'objectif ultime de l'accréditation, formation validant le DPC (développement professionnel continu) des médecins, est d'assurer aux patients une prise en charge la plus sécurisée possible. 

Des ateliers de simulation
Pour apprendre à bien faire, l'AFU organise pour les urologues, des ateliers de simulation en gestion des risques. Il s'agit pour les médecins, de se perfectionner tant dans les gestes techniques que dans les procédures et les interventions. Cette stratégie d'enseignement par la simulation des gestes répond à la recommandation « jamais la première fois sur le patient ». A l'instar d'un pilote d'avion qui se forme sur un simulateur de vol, le médecin s'exerce lui aussi sur un simulateur avant d'effectuer le geste sur un patient. Ainsi, la simulation permet d'appréhender la gestion des risques, d'analyser et prévenir l'ensemble des facteurs susceptibles de causer un événement indésirable ou un accident médical. Cette formation a également pour objectif d'aider les urologues à développer leurs aptitudes à travailler et communiquer en équipe. 

Pour en savoir plus sur l'accréditation des médecins : https://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_2837407/fr/le-point-sur-l-accreditation-des-medecins-en-3-questions

[post_title] => L'AFU très impliquée dans la gestion des risques [post_excerpt] => [post_status] => publish [comment_status] => open [ping_status] => open [post_password] => [post_name] => lafu-tres-impliquee-dans-la-gestion-des-risques [to_ping] => [pinged] => [post_modified] => 2021-04-07 21:41:28 [post_modified_gmt] => 2021-04-07 19:41:28 [post_content_filtered] => [post_parent] => 0 [guid] => https://www.urofrance.org/2019/03/01/lafu-tres-impliquee-dans-la-gestion-des-risques/ [menu_order] => 0 [post_type] => post [post_mime_type] => [comment_count] => 0 [filter] => raw ) ) [post_count] => 13 [current_post] => -1 [before_loop] => 1 [in_the_loop] => [post] => WP_Post Object ( [ID] => 20518 [post_author] => 1 [post_date] => 2019-06-25 00:00:00 [post_date_gmt] => 2019-06-24 22:00:00 [post_content] =>

Réduire les erreurs médicales, les accidents en chirurgie est un défi quotidien pour les professionnels du bloc opératoire. Certaines situations critiques sont entretenues par un aveuglement des professionnels. Comment les éviter ? La réponse avec le Dr Didier Legeais, urologue à Grenoble. 

Des chirurgies longues, des saignements lors d'une intervention, nombreux sont les facteurs qui peuvent favoriser l'apparition de complications à risque pour le patient du fait d'une situation tunnelisante. Le Dr Legeais la définit ainsi : « une situation à risque, pendant laquelle nous ne voyons pas les signaux qui devraient nous faire modifier notre attitude ». 

Erreurs de diagnostic, entêtement avec une technique opératoire… la chirurgie non épargnée

Ces situations tunnelisantes sont décrites dans de nombreux domaines. C'est par exemple, le moniteur de ski, qui est poussé à sortir malgré le risque d'avalanche, ou le pilote amateur qui décide de partir malgré les conditions météorologiques. Alors que les facteurs de risque sont connus de tous, que les informations sont accessibles, des décisions sont prises qui créent des situations dangereuses et parfois mortelles.

Les disciplines chirurgicales, l'anesthésie peuvent être concernées par ces phénomènes de tunnelisations, avec des conséquences plus ou moins dramatiques. En effet, lors d'une chirurgie, le chirurgien peut se tromper de côté, ou de diagnostic… Même chose pour les anesthésistes, qui peuvent décider d'endormir le patient malgré des risques trop élevés, ou délivrer une mauvaise dose d'anesthésiants… 

Afin de pallier ces risques, il existe des « check-lists » réalisées en équipe, pour ainsi éviter les erreurs individuelles. Ces check-lists permettent de vérifier, juste avant l'intervention, des éléments essentiels, tels que : l'identité du patient, le type d'intervention, l'installation en salle, les instruments nécessaires, et les différents documents médicaux relatifs à l'intervention. Elles permettent également de valider l'utilisation de divers traitements, et de contrôler l'identification des prélèvements éventuellement effectués. 

Les médecins peuvent bien se protéger de ses risques par une approche d'équipe

Il existe plusieurs temps où les décisions doivent se réaliser de manière collective avec l'ensemble de l'équipe médicale et paramédicale : « l'intérêt du patient passe avant tout, tout le monde doit entretenir des rapports de courtoisie et d'écoute » explique ainsi le Dr Didier Legeais. 
Tout d'abord le temps précédant l'intervention, durant lequel le chirurgien se doit de donner les bonnes informations à son patient, mais également de décider éventuellement de décaler une opération si les conditions ne sont pas optimales. 
Lors de l'intervention, des facteurs de stress peuvent faire rentrer l'opérateur en situation tunnelisante. Tout membre de l'équipe doit permettre d'analyser la situation, et de prendre une décision commune, avec même la possibilité d'appeler une autre personne en renfort. 

Ainsi, en mettant en place des mécanismes de prévention, des procédures standardisées, une bonne communication au sein des équipe permettant l'écoute et l'acceptation des remarques des autres, et en mettant de côté les « ego », les professionnels du bloc opératoire peuvent éviter ces situations tunnelisantes.
 

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  • Situations tunnelisantes : comment éviter des accidents prévisibles

    25 juin 2019 - Articles d'actualité

    Réduire les erreurs médicales, les accidents en chirurgie est un défi quotidien pour les professionnels du bloc opératoire. Certaines situations critiques sont entretenues par un aveuglement des professionnels. Comment les éviter ? La réponse avec le Dr Didier Legeais, urologue à Grenoble.  Des chirurgies longues, des saignements lors d’une intervention, nombreux sont les facteurs qui […]

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  • Patients avec un cancer non-métastatique de la prostate résistant à la castration, l’espoir renaît !

    11 juin 2019 - Articles d'actualité

    Le cancer de la prostate, évoluant de manière lente, comporte plusieurs traitements dont l’hormonothérapie lorsque le stade est avancé. La résistance à ce traitement peut survenir après un certain temps. Trois nouveaux essais montrent un bénéfice net dans cette population, le point avec Pr François Kleinclauss, responsable du centre du cancer de la prostate au […]

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  • Sexualité et cancers urologiques

    3 juin 2019 - Articles d'actualité

    Les cancers peuvent entrainer des changements de vie, parfois esthétiques ou fonctionnels. Au niveau des organes du pelvis, la chirurgie peut provoquer des troubles érectiles, ou des modifications esthétiques. Les urologues, souhaitant la meilleure prise en charge pour les patients, s’intéressent de longue date à préserver au mieux leur vie intime. Le point avec le […]

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  • Appel à candidature pour les élections au CA de l’AFU

    29 mai 2019 - Articles d'actualité

    Cher(e) Collègue, Le Conseil d’Administration de l’AFU et, par conséquent son Bureau, doivent être renouvelés lors du prochain Congrès Français d’Urologie, en Novembre 2019.   Conformément aux statuts, tout membre titulaire de l’Association Française d’Urologie, à jour de cotisation, peut faire acte de candidature auprès du secrétaire général, Xavier Gamé, par courrier, courrier recommandé avec […]

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  • Pénurie Ametycine

    24 mai 2019 - Articles d'actualité

    Chers collègues, L’Agence National de Sécurité du Médicament (ANSM) a signalé le 9/05/2019 une pénurie nationale en Amétycine (mitomycine C) utilisée pour les instillations endovésicales. Celle-ci pourrait durer environ un mois. L’épirubicine et la gemcitabine utilisées dans d’autres pays pour les instillations endovésicales ne disposent pas d’autorisation de mise sur le marché spécifique en France. […]

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  • Éjaculation prématurée : comment améliorer les symptômes

    22 mai 2019 - Articles d'actualité

    L’éjaculation prématurée est la dysfonction la plus commune de la sexualité masculine. Les patients, souvent réticents à l’évocation de leurs problèmes, et les médecins, moins habitués à ce type de prise en charge, rendent ces troubles difficiles à diagnostiquer et à traiter. Le Dr Damien Carnicelli (Urologue-Andrologue et membre du CAMS AFU) résume les différents […]

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  • Mise à jour des fiches infos patients

    20 mai 2019 - Articles d'actualité

    Les fiches infos traitements ont été mises à jour par le CA de l’AFU avec l’aide précieuse de plusieurs urologues experts lors du séminaire d’octobre 2018. Elles sont incontournables en vue de programmer une intervention chirurgicale. Elles fusionnent les fiches traitements et suites d’intervention et le formulaire de consentement éclairé. Voici la liste des premières […]

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  • La résection en-bloc des tumeurs de vessie : une pratique pour mieux évaluer une tumeur

    9 mai 2019 - Articles d'actualité

    Depuis maintenant plus de 4 ans, l’équipe du CHU de Toulouse a développé une technique de résection en-bloc des tumeurs de vessie (en un seul morceau), par l’intermédiaire du Pr Malavaud et du Dr Roumiguié. Présentation de la technique avec le Dr Roumiguié du CHU de Toulouse.   La résection de tumeurs de vessie se […]

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  • L’immunothérapie dans les cancers de la vessie et des voies urinaires

    6 mai 2019 - Articles d'actualité

    L’immunothérapie permet de cibler un phénomène naturel, celui de l’activation du système immunitaire face aux agressions telles que le développement de cellules cancéreuses. Le point en urologie sur les dernières études et les nouveautés présentées lors du dernier Congrès de l’Association Française d’Urologie par le Pr Yann Neuzillet (Foch, Paris).  L’année 2018 a été riche […]

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  • Semaine de la continence : les experts répondent sur le prolapsus

    15 avril 2019 - Articles d'actualité

    Pour la cinquième année, l’AFU a organisé un Facebook chat destiné aux patients à l’occasion de la semaine de la continence. Cette année, elle a répondu à des questions plus polémiques, notamment sur les complications des prothèses vaginales.  L’AFU a instauré deux grands rendez-vous annuels avec les patients. L’un, en septembre, à l’occasion de la […]

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  • Pour 43 % des Français, l’incontinence est un sujet tabou

    27 mars 2019 - Articles d'actualité

    Réalisée en décembre dernier pour le compte de la startup TripleW, une enquête Ifop* en dit long sur la perception de l’incontinence urinaire par les français et leurs attentes en matière de prévention. Près de la moitié des français (43 %) considère l’incontinence urinaire comme un sujet tabou. Plus on est jeune, plus le sujet […]

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  • L’incontinence urinaire de la personne âgée : le point de vue du gériatre

    14 mars 2019 - Articles d'actualité

    L’incontinence urinaire touche plus de la moitié des personnes de plus de 65 ans. Elle est une source fréquente de consultations en urologie. Un problème qui n’est pas à négliger car cela peut avoir des conséquences sur la qualité de vie, ce qui en fait une des priorités des gériatres.  Les personnes âgées constituent une […]

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  • L’AFU très impliquée dans la gestion des risques

    1 mars 2019 - Articles d'actualité

    Assurer aux patients une prise en charge médicale et chirurgicale optimale est un enjeu majeur pour l’Association Française d’Urologie. Au travers d’ateliers de simulation, l’AFU offre aux urologues la possibilité de se perfectionner aux gestes techniques et d’apprendre à maîtriser les événements indésirables lorsqu’ils surviennent malgré tout. Dans sa pratique quotidienne, le médecin doit savoir […]

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