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Le 4 février 2025, la Journée mondiale contre le cancer, organisée depuis 2000 par l’Union internationale contre le cancer (UICC), offrira une occasion aux professionnels de santé, notamment aux urologues, d’encourager un dépistage précoce et d’éviter les comportements à risque. Cet événement, devenu l’une des initiatives de santé publique les plus suivies à l’échelle mondiale, s’inscrit dans une campagne triennale intitulée « Unis par l’Unique ».
Cette édition met en avant l’importance d’une approche personnalisée des soins. L’idée centrale : chaque personne touchée par un cancer traverse une expérience singulière, influencée par des aspects médicaux, sociaux et personnels. La campagne invite à « voir la personne avant le patient », en favorisant des systèmes de santé qui intègrent non seulement les besoins cliniques, mais également les dimensions psychologiques et sociales des malades.
La Journée mondiale contre le cancer est un support utile pour renouveler les messages essentiels sur la prévention. En sensibilisant le public aux cancers tels que ceux de la prostate, du rein et de la vessie, les professionnels de santé peuvent souligner que des gestes simples, comme des bilans médicaux réguliers et l’adoption d’un mode de vie sain incluant une activité physique, permettent de réduire les risques.
Parmi les initiatives marquantes de cette journée, on retrouve le défi « Upside-Down » (À l’envers), incitant le public à partager des images illustrant les bouleversements causés par le cancer. En complément, de nombreuses actions, en présentiel ou en ligne, seront menées à travers le monde pour pour promouvoir les pratiques adaptées et les avancées scientifiques.
Des outils pour sensibiliser et informer
Cette journée permet également de rappeler que l’AFU propose aux patients et à leur entourage des supports pour s’informer et prévenir : vidéos, podcasts et fiches pédagogiques sur les pathologies urologiques. Les professionnels de santé peuvent tirer parti de cette journée pour intensifier leurs campagnes de sensibilisation, que ce soit en consultation ou au sein des collectivités locales et associations professionnelles.…
Les organisations et les soignants peuvent également utiliser les outils fournis par l’UICC, comme des kits informatifs, des infographies et des modèles pour les réseaux sociaux. En diffusant ces supports ou en participant à des campagnes comme celle du hashtag #WorldCancerDay, ils contribuent à renforcer l’impact des messages de sensibilisation.
Selon Benjamin Pradère, membre du comité de communication de l’Association française d’urologie, « la Journée mondiale contre le cancer est une opportunité pour insister sur l’importance du dépistage précoce et d’un accompagnement adapté. Sensibiliser les patients lors des consultations ou à travers des actions, comme celles régulièrement proposées par l’AFU sur diverses pathologies urologiques, aide à établir un lien de confiance et à répondre de manière précise aux interrogations des malades. »
Pour plus d’informations sur la campagne et les actions associées, consultez le site officiel : worldcancerday.org.
Un mot sur l’Union internationale contre le cancer
Créée en 1933, l’UICC est la plus grande organisation mondiale dédiée à la lutte contre le cancer. Elle rassemble plus de 1 100 membres dans 170 pays. Dotée d’un statut consultatif auprès des Nations Unies et collaborant avec l’OMS et d’autres institutions internationales, Elle coordonne des campagnes comme la Journée mondiale contre le cancer pour informer et mobiliser.
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Quelle place pour les pessaires en 2025 ?
Une controverse entoure les implants prothétiques de renfort pour le prolapsus et l’incontinence urinaire. La question se pose alors de la place du pessaire dans ces indications, alors que la Haute autorité de santé rendra sa décision en juin 2025 concernant le maintien ou l’arrêt de l’utilisation de renfort prothétique dans la cure de prolapsus par voie haute. Le point avec Sophie Hurel, du Comité d'urologie et de périnéologie de la femme (CUROPF) de l’Association française d’urologie.
Le pessaire, solution ancienne mais toujours pertinente, revient au cœur des discussions sur la prise en charge des prolapsus génitaux et de l’incontinence urinaire. Ce dispositif, remboursé depuis octobre 2024 à hauteur de 45,40 €, avec un renouvellement possible tous les deux ans, offre une alternative non chirurgicale.
Il existe deux types de pessaire :
- Les pessaires de support : ils se fixent sur les faisceaux pubo-rectaux des releveurs de l’anus pour soutenir les organes (par exemple, le pessaire anneau, le plus fréquent, ou le dish avec bouton pour l’incontinence urinaire d’effort associée). Ils conviennent particulièrement aux prolapsus concernant l’étage antérieur et moyen (cystocèle plus ou moins associé à une hystéroptose );
- Les pessaires de comblement : ils agissent par succion sur les parois vaginales (par exemple, le pessaire cube - adapté à tous les types de prolapsus - ou le donut – réservé aux prolapsus sans rectocèle).
Selon une étude de 2020 [1], les tailles des pessaires anneaux qui conviendront à la plupart des patientes (par ordre décroissant) sont 2, 5, 3, 3, 7 et 4. Elles couvrent 70 % des situations.
Pessaire vs chirurgie
Les données comparant l’efficacité du pessaire et de la chirurgie restent mitigées. Une étude de 2019 [2] réalisée auprès de 510 patientes montre une amélioration équivalente des symptômes et de la qualité de vie dans les deux groupes. En général, les patientes plus jeunes, présentant des prolapsus avancés (grades 3 ou 4 selon Baden), privilégient la chirurgie, tandis que les femmes âgées, avec des comorbidités, optent davantage pour le pessaire. À noter que la chirurgie semble offrir de meilleurs résultats en matière de symptômes digestifs.
Une revue Cochrane publiée en 2020 [3] rapporte qu’à 12 mois, le pessaire seul ne montre pas d’amélioration significative par rapport à l’absence de traitement. Cependant, lorsqu’il est associé à une rééducation pelvienne, les résultats deviennent plus convaincants sur l’amélioration des symptômes liés au prolapsus.
Complications et limites
Le pessaire est généralement bien toléré. Selon une étude de 2021 [4], 63 % des patientes continuaient à l’utiliser après 12 mois, et 83 % déclaraient une nette amélioration des symptômes du prolapsus. Cependant, des effets secondaires mineurs peuvent survenir : pertes vaginales, saignements ou inconfort. Ces problèmes sont souvent résolus par un retrait temporaire et une oestrogénothérapie locale.
Des complications graves, telles que des fistules recto-vaginales ou vésico-vaginales, restent rares. Elles concernent surtout les utilisatrices âgées portant en continu des pessaires de comblement.
Une solution à redéfinir
Dans un contexte où l’avenir des dispositifs prothétiques est incertain, le pessaire demeure une option pertinente pour toutes les patientes. Il s’adresse principalement aux patientes âgées, polymorbides ou souhaitant éviter une intervention invasive mais peut être proposé aux patientes jeunes autonomes dans leur utilisation. Cependant, certaines situations limitent son efficacité : prolapsus avancés, rectocèles prédominantes, vagins courts (< 7 cm), hiatus urogénital large (> 4 cm), jeunes patientes (moins bonne tolérance psychologique, perte vaginale), obésité, ou sexualité active pour des patientes ayant des difficultés avec l’utilisation discontinue du pessaire.
Enfin, il est essentiel que la proposition de prescription du pessaire soit documentée dans le dossier médical, conformément aux recommandations de la HAS, qui en fait une option de première intention pour tous les âges et stades de prolapsus.
Pierre Derrouch
Facteurs prédictifs de l’échec
L’efficacité du pessaire peut être compromise par plusieurs facteurs :
- Aspects psychologiques : Les femmes non-ménopausées supportent parfois moins bien le dispositif.
- Morphologie : Chez les patientes ayant un IMC élevé, trouver un pessaire adapté est plus difficile.
- Gravité des symptômes : Les femmes ayant un score de gêne lié au prolapsus très élevé rapportent souvent une moindre efficacité.
- Antécédents anatomiques : Hystérectomie totale, vagin court, prolapsus avancé (grade 4) ou rectocèle prédominante compliquent la pose et le maintien du pessaire.
Une méta-analyse de 2020 [5] confirme ces observations, soulignant les difficultés spécifiques liées à ces facteurs.
Cette publication a été réalisée à partir d’une session « Le pessaire, must have ou has been ? », présentée par Sophie Hurel lors du 118ème Congrès français d’urologie.
Références :
[1] Vasconcelos CTM, Gomes MLS, Geoffrion R, Saboia DM, Bezerra KC, Vasconcelos Neto JA. Pessary evaluation for genital prolapse treatment : From acceptance to successful fitting. Neurourol Urodyn. 2020 Nov ; 39 (8) : 2344-2352. doi : 10.1002/nau.24493. Epub 2020 Aug 26. PMID : 32846016.
[2] Bodner-Adler B, Bodner K, Stinglmeier A, Kimberger O, Halpern K, Koelbl H, Umek W. Prolapse surgery versus vaginal pessary in women with symptomatic pelvic organ prolapse : which factors influence the choice of treatment ? Arch Gynecol Obstet. 2019 Mar ; 299 (3) : 773-777. doi : 10.1007/s00404-019-05046-7. Epub 2019 Jan 17. PMID : 30656443 ; PMCID : PMC6394765.
[3] Bugge C, Adams EJ, Gopinath D, Stewart F, Dembinsky M, Sobiesuo P, Kearney R. Pessaries (mechanical devices) for managing pelvic organ prolapse in women. Cochrane Database Syst Rev. 2020 Nov 18 ; 11 (11) : CD004010. doi : 10.1002/14651858.CD004010.pub4. PMID : 33207004 ; PMCID : PMC8094172.
[4] Thys, S., Hakvoort, R., Milani, A. et al. Can we predict continued pessary use as primary treatment in women with symptomatic pelvic organ prolapse (POP) ? A prospective cohort study. Int Urogynecol J 32, 2159 – 2167 (2021). https://doi.org/10.1007/s00192-021-04817-8
[5] de Albuquerque Coelho SC, Brito LGO, de Araujo CC, Juliato CRT. Factors associated with unsuccessful pessary fitting in women with symptomatic pelvic organ prolapse : Systematic review and metanalysis. Neurourol Urodyn. 2020 Sep ; 39 (7) : 1912-1921. doi : 10.1002/nau.24458. Epub 2020 Jul 10. PMID : 32649024.
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Découvrez les prochaines sessions à regarder en direct ou en replay.
Dates de diffusion des prochains du prochain e-RCP :
- e-RCP Merck : mercredi 18 décembre : Comment optimiser la prise en charge pour TVIM en réponse aux sels platine en 1ère ligne métastatique
Vous pouvez également revisionner les e-RCP et Canal AFU précédent :
- e RCP AAA- Novartis : Nouvelle stratégie dans le cancer de la prostate résistant à la castration : le lutetium PSMA
- Canal AFU - Pfizer : Actualités dans la prise en charge de la dysfonction érectile
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La vasectomie ne cesse de se développer en France depuis quelques années.
Selon les chiffres de l’Assurance maladie tirés du Système national des données de santé, ce mode de contraception masculine a été multiplié par 15 en 12 ans1 . Une progression qui bénéficie de l’arrivée de matériels non-invasifs et des recommandations de l’AFU en 2023. Mais, y a-t-il d’autres alternatives disponibles ?
Pilule combinée associant œstrogènes et progestatifs, pilule progestative, dispositif intra-utérin hormonal, implant sous la peau du bras qui délivre en petite quantité un progestatif bloquant l’ovulation, patch contraceptif, anneau vaginal, progestatifs injectables, préservatif interne, dispositif intra-utérin en cuivre, cape cervicale, diaphragme, spermicides, ligature des trompes… L’arsenal contraceptif féminin est conséquent. Et chez les hommes ? Le coït interrompu et le préservatif (moyennement efficaces) et la vasectomie (le plus sûr des 3) : 13 à 3, donc. 14 à 4 si on inclut l’abstinence. Comment refaire le match avec un tel déséquilibre ? Pourtant, les hommes souhaitent de plus en plus s’impliquer dans la prise en charge de la contraception, en témoigne le succès grandissant de la vasectomie, bien que relatif. Elle n’est adoptée que par 1,2 % des hommes, c’est dire si elle part de loin, malgré sa forte progression récente.
Un terrain peu fertile
Si un espace de parité pouvait être trouvé, peut-être faudrait-il aller le chercher dans une contraception partagée. Jean-Pierre Graziana le rappelle : « On compte environ 370 000 grossesses non programmées en France. 65 % d’entre elles surviennent en dépit d’une contraception ». Se pose donc la question de l’élargissement du panel de solutions pour les hommes, d’autant souligne l’urologue membre du Comité d’andrologie et de médecine sexuelle de l’Association française d’urologie, qu’existent des freins au développement de la vasectomie : sa réversibilité non garantie. D’autres écueils freinent le développement d’autres modes de contraception masculine : l’absence de financement de la recherche pharmaceutique, une volonté politique insuffisante, et - peut-être - un militantisme masculin en berne pour pousser à la mise au point de nouvelles méthodes contraceptives. Des solutions validées ou à l’étude laissent toutefois entrevoir quelques perspectives.
La piste de la contraception hormonale
Seule contraception de ce type ayant montré une efficacité scientifique reconnue par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), mais pas par la Haute autorité de santé (HAS), l’injection intramusculaire hebdomadaire de 200 mg d’énanthate de testostérone, pendant 18 mois. Le traitement agit par rétrocontrôle sur la production des hormones gonadotropes FSH (hormone folliculo-stimulante) et LH (hormone lutéinisante), réduisant ainsi celle – naturelle - de testostérone intratesticulaire. La diminution de cette dernière affecte les spermatides et perturbe leur maturation, ce qui altère la production et la qualité des spermatozoïdes. Quelques éléments à retenir sur cette contraception masculine ne bénéficiant pas d’AMM : la baisse de spermatozoïdes n’apparaît qu’après 3 mois de traitement, la méthode est efficace avec une limite temporelle, elle est réversible à 85 %, elle s’accompagne des effets secondaires classiques d’une hypertestostéronémie : acné, prise de poids, troubles du métabolisme lipidique… et nécessite un contrôle par spermogramme tous les 3 mois pendant 1 an.
Chaud devant
Autre alternative potentielle, la contraception thermique par remontée testiculaire ou CTRT, dite aussi « Slip Mieusset » du nom de son inventeur, l’andrologue toulousain Roger Mieusset. Cette méthode bénéficie d’un panel d’études cliniques suffisamment robustes pour espérer une validation scientifique, à court ou moyen terme.
Et l’anneau thermique et le slip chauffant, deux autres méthodes de remontée testiculaire inguinale, non validées ? « Ces techniques présentent l’avantage de la réversibilité, répond Jean-Pierre Graziana, avant de tempérer : elles ne sont pas dénuées de contraintes ». En effet, ces dispositifs doivent être portés pendant 15 heures d’affilée, ce qui implique également un spermogramme de contrôle tous les 3 mois, pendant 2 ans, puis tous les 6 mois ; des contre-indications existent comme des antécédents de varicocèle ou d’orchidopexie… L’urologue ajoute : « Si la réversibilité semble effective dans les études princeps, il persiste toujours une crainte sur le risque tératogène secondaire. » Une démarche de certification est en cours pour l’anneau, avec une possible mise sur le marché en 2028.
Et demain ?
On peut aussi mentionner le gel transcutané de testostérone couplé à un gel progestatif. Un essai international multicentrique d’efficacité contraceptive du gel est en cours, les résultats devraient être publiés début 20252. Dans le meilleur des cas, « il ne faut pas espérer de mise sur le marché avant 4 à 5 ans », prévient Jean-Pierre Graziana.
D’autres méthodes sont expérimentés chez l’animal, comme la vasectomie avec une valve actionnée à la demande, l’implant contraceptif, la pilule contraceptive, la contraception non-hormonale avec des antagonistes du récepteur de l’acide rétinoïque…
L’avenir dira si ces voies de recherche sont concluantes. À ce jour, la vasectomie reste la méthode validée la plus fiable. What else ? Rien, mon cher Clooney, rien, pour l’instant...
Pierre Derrouch
Cet article a été écrit à partir d’une présentation scientifique du Dr Jean-Pierre Graziana, lors des Journées d’andrologie et de médecine sexuelle de l’AFU, en septembre 2024.
[1] https://www.ameli.fr/medecin/actualites/sterilisation-masculine-une-etude-epi-phare-montre-le-recours-croissant-la-vasectomie-en-france
[2] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0010782423001373
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Vous n’avez pas pu venir au CFU ? Retrouvez tous les replays disponibles ici https://cfu-congres.com/replay/

https://cfu-congres.com/
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Deuxième édition pour la journée d'informations patients, à laquelle sont conviés patients hommes et femmes et leurs accompagnants. Une occasion privilégiée de rencontrer les associations de patients et des médecins experts dans toutes les aires thérapeutiques de l’urologie.

L’AFU organise pour la deuxième année, une journée portes ouvertes dédiée à tous les patients, hommes et femmes et à leurs accompagnants.
Objectifs de la journée :
- Informer les patients sur les pathologies urologiques grâce aux interventions d'experts.
- Sensibiliser à l'importance des nouvelles approches thérapeutiques, notamment les bienfaits du sport et de l’activité physique adaptée
- Favoriser les échanges entre patients, familles, professionnels de santé et associations, afin de partager des expériences et offrir des conseils adaptés.
Parlez-en à vos patients !
Découvrez le programme
Lien d’inscription à partager à vos patients :
https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLScf_XCkwuuDNrjwEhx_xjjbl06N06CJlVPbKEjLPr0qyI1_aw/viewform
Informations pratiques :
Le 21 novembre 2024
De 10h à 16h
Hôtel Hyatt, Salle Regency 15
3, place du Général Koenig,
75017 Paris
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Une nouvelle campagne décomplexée pour inciter les hommes à prendre leur santé en main.

L'AFU reconduit cette année l'initiative d'un mois de la santé masculine dédié à la sensibilisation sur les pathologies urologiques masculines. Pour 2024, un nouveau nom, plus court et plus impactant : Novembre au Masculin.
En tant qu'urologues, vous avez un rôle central à jouer dans cette campagne, que ce soit en informant vos patients ou en participant activement aux différentes actions prévues. Toutes les initiatives locales dans vos régions sont les bienvenues pour renforcer cette démarche, que ce soit par des événements, des consultations de sensibilisation ou d'autres actions adaptées à votre environnement.
Votre implication sera précieuse pour favoriser la prévention, rappeler l’importance des dépistages réguliers et encourager les hommes à prendre soin de leur santé.
Téléchargez votre kit de communication comprenant une signature mail, un post pour vos réseaux sociaux et le logo de Novembre au Masculin.
Cette campagne bénéficie du soutien de nos partenaires Pierre Fabre, Bayer, et Ipsen.
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L'AFU vous informe de l’ouverture de l’Accès Précoce Padcev (enfortumab vedotin) en association avec le Keytruda (pembrolizumab), dans le traitement de première ligne des patients adultes atteints de carcinome urothélial no résécable ou métastatique et éligibles à une chimiothérapie à base de sels de platine (cisplatine ou carboplatine).
Cette association enfortumab vedotin + pembrolizumab a démontré sa supériorité par rapport à la chimiothérapie dans l'étude EV-302 dont les résultats vont ont été présentés et commentés par le groupe "urothélial" du CCAFU en mars 2024. Cet accès précoce fait suite à la décision du Collège de la HAS du 12 septembre 2024 concernant la spécialité Padcev.
Les demandes d’accès au traitement se font via la plateforme électronique en ligne de la CRO en charge du programme d’accès précoce ClinSearch https://www.ap-padcev.fr/portail/ commune pour demander l’association. Le formulaire électronique de demande d’accès au traitement pourra être complété en ligne sur la plateforme le 4 Octobre prochain. Dans cette attente, une procédure temporaire manuscrite a été mise en place à partir de laquelle vous pourrez télécharger le PUT validé par la HAS et le RCP, et accéder à la Fiche de demande d’accès.
Padcev peut provoquer des réactions cutanées indésirables sévères et potentiellement d’issue fatale, notamment le syndrome de Stevens-Johnson (SJS) et la nécrolyse épidermique toxique (NET), ces réactions cutanées surviennent principalement pendant le premier cycle de traitement, mais peuvent également survenir lors des cycles ultérieurs. Ces réactions cutanées indésirables sévères et potentiellement d’issue fatale peuvent évoluer rapidement si leur identification précoce et leur prise en charge sont retardées. Une intervention précoce est primordiale pour ces patients.
Dans le cadre de la minimisation du risque de réactions indésirables cutanées sévères, un kit d’information patient (notice et carte patient), diffusé sous l’autorité de l’ANSM, devra être remis au patient à chaque prescription. A l’enregistrement de votre prochain patient, vous recevrez les informations nécessaires à la remise de ce kit d’information patient.
Pour toutes questions relatives au portail, vous pouvez contacter ClinSearch par téléphone au 01 74 74 32 50 ou par messagerie électronique à l’adresse suivante : contact@ap-padcev.fr
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Cher(e)s Collègues,
En avant pour un nouveau challenge du Ventoux ! L’AFU continue son engagement avec une troisième édition de l’ascension cycliste du Mont Ventoux pour sensibiliser le grand public à la santé de l’homme par le sport et à lutter contre le cancer de la prostate.
Le samedi 7 septembre 2024, nous serons plus de 500 à nous retrouver au pied du Ventoux et à gravir en vélos musculaire ou à assistance électrique ce point clé du tour de France cycliste. Urologues, patients et cyclistes amateurs ou professionnels s’élanceront vers cette ascension en compagnie de Bernard Hinault portant les insignes de notre association et le message “roulons contre le cancer de la prostate”.
La course, organisée par le Vélo Club La Pomme Marseille, prévoit deux parcours afin que chacun trouve son rythme et puisse gravir le Ventoux, de façon adaptée à son niveau d’entraînement et en toute sécurité.
Nouveauté de cette année, la veille, en fin de journée, une réunion scientifique sera consacrée au grand public sur l’effet du sport dans l’évolution du cancer de la prostate et les nouveautés dans le diagnostic et le traitement de ce dernier.
Samedi matin, tous en selle pour l’ascension ! Nous vous y attendons nombreux pour représenter notre association et porter les messages importants de prévention. Un appel au don sera une nouvelle fois lancé pour le fonds d’innovation afin de porter au prochain congrès d’urologie des projets de recherche d’envergure, impliquant directement nos pratiques et les traitements de nos patients.
Les inscriptions sont d’ores et déjà ouvertes. N’hésitez donc pas à vous inscrire, à inscrire votre famille, vos proches et vos patients et à relayer sur les réseaux sociaux cette action dynamique de l’AFU.
S'inscrire ici.
Le départ se fera à 09h30 le samedi 7 septembre 2024 depuis le Village Vacances de Bédoin !!!
Alexandre de la Taille
Président de l’Association Française d’Urologie
Découvrir l'after movie de 2023
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Depuis quelques années, le mois de mai est consacré à la sensibilisation au cancer de la vessie et ses symptômes. La campagne de communication porte cette année sur l’urgence d’agir dès les premiers signes d'hématurie. Ce message sera relayé dans la presse.
Pour cette édition 2024, une journée patient sera organisée en collaboration avec l’association Cancer Vessie France, le Jeudi 2 mai à la MUR mais également en webinaire.
Voici le programme, que vous pouvez également télécharger ici :
10h00 : accueil des participants
10h30 : ouverture de la journée d’informations aux patients
Modération Yann Neuzillet
- Explication des recommandations aux patients : "pourquoi les traitements des CaV sont du 'sur-mesure' et quelles sont les critères pris en compte pour les personnaliser ?"
Alexandra Masson-Lecomte et Francois Audenet
- Rôle/place des associations AFU et CVF pour les patients et leurs aidants
Benjamin Pradère et Pascale Dansart
12h30 : Déjeuner
13h30 : Reprise
Modération Yann Neuzillet
- Réponses aux questions fréquentes des patients (avec Cancer Vessie France)
Mathieu Roumiguié et Thomas Seisen
- La recherche : quelles innovations (diagnostiques et thérapeutiques) et comment y avoir accès via les essais et études cliniques ?
Evanguelos Xylinas et Constance Thibault
15h30 conclusion
N’hésitez pas à en parler à vos patients et à demander le kit de com (affiche + badge + bannières réseaux sociaux) !
Découvrir la conférence de presse du 18/04/2024
https://www.youtube.com/watch?v=TlMlU2kw4ro
Journée d'informations patient - cancer de la vessie - 2 mai 2024
Replay - Matin
https://www.youtube.com/watch?v=n3arEl8lHU8
Replay - Après-midi
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Du vendredi 13 septembre 2024 au samedi 14 septembre 2024
Paris, Maison de l'Urologie
Découvrir l'évènement
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Pendant plusieurs décennies, la chimiothérapie à base de sels de platine s’était imposée comme le traitement de première ligne des carcinomes urothéliaux localement avancés ou métastatiques. Suite à la présentation des résultats spectaculaires de l’étude EV-302, évaluant la combinaison enfortumab vedotin + pembrolizumab, lors du dernier congrès de l’ESMO, il faut s’attendre à voir arriver dans les prochaines recommandations des sociétés savantes, cette combinaison en première ligne de traitement du carcinome urothélial métastatique ou localement avancé.
T.Powles et al. N Engl J Med 2024 ; 390:875-88
Suite à la publication de l’article dans le New England Journal Of Medecine par T. Powles, le 7 mars 2024, le groupe vessie du CCAFU a souhaité recueillir l’avis d’expert du Dr Constance Thibault (Oncologue à l’HEGP, Membre du groupe urothélial du CCAFU et du GETUG).
Le pronostic des carcinomes urothéliaux métastatiques a été nettement amélioré depuis l’arrivée des anti-PD(L)-1, d’abord avec le pembrolizumab en 2ème ligne de traitement après la chimiothérapie, puis avec l’avelumab en traitement de maintenance chez les patients ne progressant pas sous chimiothérapie par sels de platine.(1,2) Plus récemment, une nouvelle classe thérapeutique a émergé en oncologie : les anticorps conjugués, avec en tête de liste l’enfortumab vedotin (EV). Cet ADC comprend un anticorps ciblant la nectine-4 (protéine exprimée par la quasi-totalité des cellules tumorales urothéliales) couplé au MMAE, un cytotoxique appartenant à la classe des poisons du fuseau. L’étude EV-301 avait démontré sa supériorité par rapport à la chimiothérapie chez des patients prétraités par chimiothérapie et immunothérapie et conduit à l’obtention d’un AMM européenne, avec la mise en place d’un accès précoce en France depuis 2021.(3) L’étude de phase 1 EV-103 avait rapporté des résultats très prometteurs de l’association EV+ Pembrolizumab en 1ère ligne de traitement avec un taux de réponse objective de 70%.(4) Une étude de phase III (EV-302) a donc été menée afin d’évaluer l’efficacité de cette association en 1ère ligne de traitement dans les carcinomes urothéliaux métastatiques, avec des résultats spectaculaires présentés lors du dernier congrès européen de cancérologie en octobre 2023.
Dans cette étude ouverte, 886 patients avec un carcinome urothélial métastatique naïfs de traitement ont été randomisés entre un traitement toutes les 3 semaines par EV (1,25 mg/kg à J1, J 8) + pembrolizumab (200 mg à J1) (EV+P) ou une chimiothérapie par gemcitabine + un sel de platine (cisplatine ou carboplatine). Étant donné le changement de standard de traitement avec l’avènement de l’avelumab en maintenance, un amendement a été effectué afin que les patients randomisés après l’amendement dans le bras standard puissent recevoir une maintenance par avelumab s’ils ne progressaient pas sous chimiothérapie (soit au total 30% des patients inclus dans le bras chimiothérapie). Le critère de jugement principal était composite et associait la survie sans progression (évaluée par revue centralisée en aveugle) (SSP) et la survie globale (SG).
Après un suivi médian relativement court de 17,2 mois, la médiane de SG et la SSP ont été doublées dans le bras EV+P par rapport au bras chimiothérapie, passant de respectivement 16,1 mois à 31,5 mois (HR= 0.47; IC95% 0,38-0,58; p<0.001) et 6,3 mois à 12,5 mois (HR=0.45; IC95% 0,38-0,54; p<0.001)(Figure 1). L’analyse en sous-groupe montre que l’ensemble des patients tire un bénéfice de cette nouvelle association, quel que soit : les sites métastatiques (ganglionnaires exclusifs ou non ; avec métastases hépatiques ou non), l’éligibilité au cisplatine, le statut PD-L1 (évalué par le score CPS) ou encore le primitif tumoral (vessie vs haut appareil urinaire). La médiane de durée de traitement était de 9 mois dans le bras EV+P (soit 12 cycles) vs 4,1 mois dans le bras chimiothérapie (soit 6 cycles). Le taux de réponse objective était aussi nettement meilleur sous EV+P (68%) que sous chimiothérapie (44%), avec notamment 29% de réponse complète sous EV+P. La médiane de durée de réponse sous EV+P n’était pas encore atteinte mais les auteurs rapportent que les deux tiers des patients (67%) étaient encore en réponse à 12 mois, alors qu’ils n’étaient que 35% dans le bras chimiothérapie. Concernant le profil de tolérance des traitements, les effets secondaires reliés au traitement les plus fréquents tous grades confondus sous EV+P étaient : la neuropathie (50%), le prurit (40%), et l’alopécie (33%). En comparaison à la chimiothérapie, les effets secondaires liés au traitement de grade ≥ 3 étaient moins fréquents sous EV+P (69,5% vs 55,9%). Les plus fréquents sous EV+P étaient le rash maculo-papuleux (8%) et l’hyperglycémie (5%). Dans le bras EV+P, ils ont été à l’origine d’une baisse de dose chez 40% des patients et un arrêt de traitement chez 35%.
Ces résultats spectaculaires avec une diminution de 50% du risque de progression et de décès et un doublement de la survie sans progression et de la survie globale vont donc positionner cette nouvelle association par enfortumab vedotin + pembrolizumab comme le nouveau standard de traitement de 1ère ligne de référence dans le carcinome urothélial métastatique. Le profil de tolérance semble acceptable, avec néanmoins une vigilance nécessaire en raison de la survenue de neuropathie chez la moitié des patients (symptômes particulièrement invalidant pour les patients), ainsi que le rash cutané dont l’évolution peut parfois être sévère voire fatale. La FDA a d’ores et déjà octroyé une autorisation de mise sur le marché aux Etats-Unis pour cette association en 1ère ligne de traitement chez l’ensemble des patients. L’EMA devrait aussi prochainement rendre un avis favorable. Reste à savoir si un accès précoce sera possible en France afin que nos patients puissent en bénéficier rapidement.
Dr Constance THIBAULT, Oncologie Médicale HEGP - APHP, Membre du Comité de Cancérologie de l'AFU.
Crédit photo : AdobeStock_504664687
Figure 1 : courbe de survie globale

- Bellmunt J, de Wit R, Vaughn DJ, Fradet Y, Lee JL, Fong L, et al. Pembrolizumab as Second-Line Therapy for Advanced Urothelial Carcinoma. N Engl J Med. 16 mars 2017;376(11):1015‑26.
- Powles T, Park SH, Voog E, Caserta C, Valderrama BP, Gurney H, et al. Avelumab Maintenance Therapy for Advanced or Metastatic Urothelial Carcinoma. N Engl J Med. 24 sept 2020;383(13):1218‑30.
- Powles T, Rosenberg JE, Sonpavde GP, Loriot Y, Durán I, Lee JL, et al. Enfortumab Vedotin in Previously Treated Advanced Urothelial Carcinoma. N Engl J Med. 25 mars 2021;384(12):1125‑35.
- Hoimes CJ, Flaig TW, Friedlander TW, Bilen MA. Enfortumab Vedotin Plus Pembrolizumab in Previously Untreated Advanced Urothelial Cancer. J Clin Oncol Off J Am Soc Clin Oncol. 2023;41(1):22‑31.
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Le 4 février 2025, la Journée mondiale contre le cancer, organisée depuis 2000 par l’Union internationale contre le cancer (UICC), offrira une occasion aux professionnels de santé, notamment aux urologues, d’encourager un dépistage précoce et d’éviter les comportements à risque. Cet événement, devenu l’une des initiatives de santé publique les plus suivies à l’échelle mondiale, s’inscrit dans une campagne triennale intitulée « Unis par l’Unique ».
Cette édition met en avant l’importance d’une approche personnalisée des soins. L’idée centrale : chaque personne touchée par un cancer traverse une expérience singulière, influencée par des aspects médicaux, sociaux et personnels. La campagne invite à « voir la personne avant le patient », en favorisant des systèmes de santé qui intègrent non seulement les besoins cliniques, mais également les dimensions psychologiques et sociales des malades.
La Journée mondiale contre le cancer est un support utile pour renouveler les messages essentiels sur la prévention. En sensibilisant le public aux cancers tels que ceux de la prostate, du rein et de la vessie, les professionnels de santé peuvent souligner que des gestes simples, comme des bilans médicaux réguliers et l’adoption d’un mode de vie sain incluant une activité physique, permettent de réduire les risques.
Parmi les initiatives marquantes de cette journée, on retrouve le défi « Upside-Down » (À l’envers), incitant le public à partager des images illustrant les bouleversements causés par le cancer. En complément, de nombreuses actions, en présentiel ou en ligne, seront menées à travers le monde pour pour promouvoir les pratiques adaptées et les avancées scientifiques.
Des outils pour sensibiliser et informer
Cette journée permet également de rappeler que l’AFU propose aux patients et à leur entourage des supports pour s’informer et prévenir : vidéos, podcasts et fiches pédagogiques sur les pathologies urologiques. Les professionnels de santé peuvent tirer parti de cette journée pour intensifier leurs campagnes de sensibilisation, que ce soit en consultation ou au sein des collectivités locales et associations professionnelles.…
Les organisations et les soignants peuvent également utiliser les outils fournis par l’UICC, comme des kits informatifs, des infographies et des modèles pour les réseaux sociaux. En diffusant ces supports ou en participant à des campagnes comme celle du hashtag #WorldCancerDay, ils contribuent à renforcer l’impact des messages de sensibilisation.
Selon Benjamin Pradère, membre du comité de communication de l’Association française d’urologie, « la Journée mondiale contre le cancer est une opportunité pour insister sur l’importance du dépistage précoce et d’un accompagnement adapté. Sensibiliser les patients lors des consultations ou à travers des actions, comme celles régulièrement proposées par l’AFU sur diverses pathologies urologiques, aide à établir un lien de confiance et à répondre de manière précise aux interrogations des malades. »
Pour plus d’informations sur la campagne et les actions associées, consultez le site officiel : worldcancerday.org.
Un mot sur l’Union internationale contre le cancer
Créée en 1933, l’UICC est la plus grande organisation mondiale dédiée à la lutte contre le cancer. Elle rassemble plus de 1 100 membres dans 170 pays. Dotée d’un statut consultatif auprès des Nations Unies et collaborant avec l’OMS et d’autres institutions internationales, Elle coordonne des campagnes comme la Journée mondiale contre le cancer pour informer et mobiliser.
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