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Les cancers du rein (des cellules rénales, à différencier des cancers des voies urinaires) font partie des 10 cancers les plus fréquents, et peut exprimer en son sein des cellules très différentes au niveau génétique. Cette complexité cellulaire est une des limites de la thérapie dite « ciblée », qui va agir sur un seul type de mutation génétique. C'est que l'on appelle « l'hétérogénéité tumorale » à l'origine des récidives précoces de cancer.
Dans une étude, parue en octobre dans la revue internationale Science, deux équipes de recherche américaine se sont poser la question du profil génétique des métastases chez des patients qui n'étaient pas traités, et ont pu démontrer que les métastases présentaient en majorité les mêmes mutations, qu'on appelle « driver », conduisant la cellule tumorale à la métastase.
Pour un même patient, deux scénarios sont possibles. Les métastases peuvent descendre de la même population cellulaire du cancer du rein primitif, et partager ainsi les mêmes mutations « driver » (on qualifie ainsi les altérations ayant un impact majeur sur la progression de la maladie). Mais il est également possible qu'une différence de type de cellules tumorales au sein d'une même tumeur primitive donne lieu à une dissémination au niveau métastatique qui sera elle-même hétérogène, les métastases portant alors des mutations « driver » distinctes.
Des métastases homogènes
Pour réaliser cette étude, les équipes des Prs Bert Volgenstein (John Hopkins) et Martin Nowak (Harvard) ont récolté les données génétiques de 20 patients ayant eu au moins deux métastases non traitées et décédés de leur cancer : sein, colon-rectum, utérus, estomac, poumon, mélanome, pancréas et prostate. Au total, 76 métastases ont été analysées
En reconstituant l'histoire naturelle de la progression cancéreuse des patients, les chercheurs ont pu mettre en évidence que le cas de trouver des métastases avec des cellules hétérogènes au niveau génétique était un fait rare, avec un pourcentage de 10,5 % pour des patients atteint de quatre métastases détectables. Par ailleurs, cette probabilité est d'autant plus élevée que la tumeur primitive croît lentement au stade pré-métastatique.
Une bonne nouvelle pour la médecine de précision
« L'étude montre qu'il y a une homogénéité entre les métastases d'un même individu », résume le Pr Antoine Valeri, urologue à l'hôpital de la Cavale Blanche (CHRU Brest). « Ou dans le cas contraire, la part d'hétérogénéité concerne des gènes peu ou pas fonctionnels. ». Cela permet d'apprécier une frontière dans la complexité de la part génétique des cancers. On peut donc penser que les thérapies ciblées sur ces mutations auront des résultats constants sur la plupart des patients cancéreux.
D'autres travaux ont été développés dans le cancer de la prostate, poursuit l'urologue brestois, avec notamment la découverte d'un éventuel traitement qui lutterait contre des mutations retrouvées dans le cancer de la prostate. « Des travaux ont montré que 15 à 20 % des cancers de la prostate métastatiques pourraient avoir de telles altérations génétiques, et des essais thérapeutiques sont en cours. » La médecine de précision, bientôt une réalité dans le cancer de la prostate ?
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C'est ce que vient de démontrer l'Université de Chigago dans une étude sur la vie sexuelle des personnes âgées atteints de démence, montrant la persistance d'une activité sexuelle malgré la démence. Une sexualité non sans troubles, liés à l'âge avancé et à l'association à d'autres pathologies, qui ne vont pas être exprimés par ces patients, engendrant un défaut de prise en charge.
Les personnes âgées continuent d'avoir une vie sexuelle, même lorsqu'elles sont atteintes de troubles cognitifs. Ce sujet, rarement abordé, a fait récemment l'objet d'une étude, publiée en septembre dans The Journal of the American Geriatrics Society. Les chercheurs, spécialistes en gériatrie à l'université de Chicago, ont analysé les données d'un projet d'ampleur nationale sur les données sociales et médicales de personnes âgées, le National Social Life, Health and Aging Project (NSHAP), et ont ainsi pu réaliser une enquête annuelle portant sur un échantillon de sujets américains âgés vivant à domicile.
Les données sur les deux années 2010-2011 ont été analysés par les auteurs, et la population incluait 3196 personnes (53 % de femmes) âgés de 62 à 91 ans. Un test cognitif validé a été utilisé (le Montreal Cognitive Assessment) et a ainsi permis de classer les sujets selon leur statut cognitif : normal (55 % de l'échantillon), troubles cognitifs légers (27 %), et syndrome démentiel (18 %). Les personnes devaient toutes fournir un consentement après avoir reçu une information claire, loyale et appropriée, les sujets atteints de démence sévère étant donc exclus de l'étude.
Des patients sexuellement actifs
Au total, 83 % des hommes et 57 % des femmes déclaraient vivre avec un partenaire, mais seulement 72 % des hommes et 35 % des femmes atteints de démence. Dans le groupe « démence », 46 % des hommes et 18 % des femmes étaient sexuellement actifs (dans les 12 mois précédents l'enquête). Un autre résultat important était de voir que les personnes atteintes de démence et vivant en couple conservait une activité sexuelle : c'était le cas pour 59 % des hommes et 51 % des femmes déments.
Les trois pratiques les plus représentées étaient le coït vaginal (75% des patients quel que soit le statut cognitif), la stimulation manuelle par le partenaire (un peu moins de 50% chez les hommes et femmes démentes), et la masturbation (respectivement 25 % et 10 %).
Une prise en charge insuffisante
Autre constat : les trois-quarts des personnes âgées interrogées rapportaient un ou plusieurs problèmes d'ordre sexuel. Si le désintérêt pour le sexe frappait indépendamment du statut cognitif (60 % des hommes et 34 % des femmes), les troubles de l'érection touchaient moins les hommes déments (29 %) que les hommes du groupe « normal » (46 %). Il en allait de même pour les problèmes de sécheresse vaginale, qui concernaient 12 % des femmes démentes, contre 27 % dans le groupe « normal ».
Un problème qui n'est pas exprimé par les patients à leur médecin, avec des chiffres qui parlent pour eux: 17 % des hommes déments (contre 33 % dans le groupe « normal ») et 1,4 % des femmes démentes (contre 12 % dans le groupe « normal ») avaient consultés pour ces troubles sexuels. « Beaucoup connaissent des dysfonctions sexuelles qui ne sont pas diagnostiquées par un médecin mais pourraient être pris en charge », explique Stacy Tessler Lindau, gériatre à l'université de Chicago et auteur sénior de l'étude, dans les colonnes de Medscape US.
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Le saviez-vous ? Chez les femmes, le nombre de décès attribuables au tabac a doublé entre 2000 et 2014. La troisième édition du Mois Sans Tabac est l'occasion de rappeler les conséquences du tabagisme sur la santé et les soutiens associatifs possibles pour arrêter de fumer.
Cancers du poumon et maladies cardio-vasculaires explosent chez les consommatrices de tabac. Le nombre de décès liés à l'usage du tabac chez les femmes a été multiplié par 7, passant de 2 700 en 1980 (1 % de tous les décès) à 19 000 en 2010 (7 % de tous les décès)*. Chose surprenante, si les hommes ont tendance à moins fumer, ce n'est pas le cas des femmes, notamment celles âgées de 45 à 64 ans. Une femme sur quatre âgée de 18 à 75 ans consomme du tabac. Les chiffres parlent d'eux-mêmes : entre 2000 et 2014, la mortalité par cancer du poumon a augmenté de 71 % chez les femmes de 55 à 64 ans alors qu'elle a diminué de 15 % chez les hommes. L'incidence des infarctus du myocarde avant 65 ans a augmenté de 50 % chez les femmes (16 % chez les hommes). Le cancer du sein qui fait 12 000 victimes par an, ne sera bientôt plus le cancer féminin le plus meurtrier. Le cancer du poumon retire chaque année la vie à 10 000 femmes.
Un mois pour arrêter
Le Mois Sans Tabac compte cette année plus de 210 000 inscrits (33 % de plus qu'en 2017). L'occasion de rappeler aux femmes, aux futures mères, mais aussi aux hommes, les dangers du tabagisme sur la santé et d'accompagner les fumeurs dans leur démarche d'arrêt de la cigarette. Pour les encourager, il est important de noter que les effets bénéfiques de l'arrêt de la consommation de tabac sont rapidement constatables. A 8 heures de la dernière cigarette, l'oxygénation des cellules redevient normale et en 24 heures, l'organisme est débarrassé de toute nicotine. Quant au souffle, il s'améliore dès le troisième jour après l'arrêt.
Se faire aider
Entre 2016 et 2017, 1 million de fumeurs ont éteint leur dernière cigarette. Il en resterait 12 millions à convaincre du bienfondé de ce geste. Le sevrage tabagique nécessite un accompagnement. De nombreuses associations soutiennent les fumeurs qui veulent arrêter. Il ne faut pas hésiter à demander de l'aide en passant par son médecin traitant, un tabacologue ou en contactant l'une des nombreuses associations dont certaines ont des antennes régionales. A l'occasion du Mois Sans Tabac, véritable défi collectif, un kit d'arrêt est disponible dans les pharmacies. Plusieurs applications comme celle de l'Assurance Maladie (Tabac info service, l'appli), sont également téléchargeables sur l'App Store. Vous y trouverez des programmes d'e-coaching personnalisés, des conseils de tabacologues, des astuces et des mini-jeux, des vidéos de soutien et un suivi des bénéfices de l'arrêt du tabac au quotidien.
*Comité National contre le cancer
Quelques associations qui peuvent vous soutenir :
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Le service de prévention de la santé aux USA, recommande un dépistage individuel du cancer de la prostate chez les hommes qui le souhaitent entre 55 et 69 ans, accompagné d'une information éclairée sur les bénéfices et les risques liés aux traitements.
Chaque année, plus de 71 000 hommes sont touchés par le cancer de la prostate. Plus il est détecté tôt, plus il est traité. Le but du dépistage est d'identifier les patients ayant un cancer de la prostate localisé de haut risque et qui peuvent bénéficier d'un traitement qui préviendrait la morbidité et la mortalité en rapport avec un cancer avancé ou métastatique. Le service de prévention de la santé aux USA a voulu estimer les réels bénéfices et inconvénients d'un dépistage du cancer de la prostate à partir du PSA chez les hommes entre 55 et 69 ans.
Le dépistage, utile mais pour qui ?
Les résultats de l'étude américaine sont surprenants. Sur une période de 13 ans, pour 1000 hommes dépistés, 1,3 d'entre eux auront évité une mort par cancer de la prostate grâce au dépistage et 3 une évolution métastatique.
De plus, le dépistage entrainait un sur-traitement pour 20 à 50 % des hommes dépistés. Or les traitements ne sont pas sans effets secondaires, tels l'incontinence urinaire et la dysfonction érectile par exemple. Alors le dépistage pourquoi et pour qui ?
Le service de prévention de la santé aux USA, recommande un dépistage individuel pour les hommes entre 55 et 69 ans qui ont une plus forte chance d'en tirer un avantage réel. Mais seulement après une information éclairée sur les bénéfices et les inconvénients du dépistage. Pour les hommes de plus de 70 ans, le dépistage n'est pas recommandé. Cependant, une vigilance est requise pour les populations dites à risque, comme les patients avec un antécédent familial ou les patients avec une ascendance africaine.
Les recommandations européennes
Les données américaines et européennes ne sont pas entièrement identiques. La réduction de la mortalité observée pour l'Europe est plus conséquente, de 19 à 21 % contre 6 à 8 % pour l'étude américaine. Ces différences semblent être liées davantage au protocole d'essai et aux milieux de pratique qu'à l'efficacité du dépistage.
Les recommandations peuvent donc varier. Selon l'AFU, le diagnostic précoce est recommandé, pour les hommes entre 50 et 75 ans ayant une probabilité de survie prolongée de 10-15 ans. Ils doivent bénéficier d'une information éclairée sur les modalités, les enjeux et les risques éventuels. La démarche diagnostique associe la recherche de facteurs de risque comme les antécédents familiaux de cancer de la prostate et du sein, l'origine ethnique africaine ou afro-caribéenne, avec la réalisation d'un toucher rectal et du dosage du PSA.
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Si les douleurs pelviennes telles que l'endométriose, le syndrome prémenstruel, ou autres, sont fréquentes chez la femme, on sait moins que l'homme aussi peut en souffrir. Mais les hommes osent rarement évoquer ce sujet avec leur médecin
Il y a pourtant des solutions.
En France, le syndrome douloureux pelvien chronique (SDPC) reste relativement méconnu, malgré le fait qu'entre 10 000 et 50 000 nouveaux cas sont détectés chaque année, estime une enquête de l'AFU. Contrairement aux femmes, les hommes parlent peu des troubles affectant leur région génitale. Le sujet reste tabou. Mais le retentissement de ces douleurs peut être majeur, pouvant entraîner des syndromes dépressifs sévères.
Des douleurs fantômes
Brûlures au moment d'uriner, élancement au niveau des testicules, éjaculation douloureuse sont autant de formes que peut prendre ce syndrome. Lorsqu'elles durent plus de 6 mois, on parle de douleurs pelviennes chroniques. Le SDPC peut survenir à n'importe quel âge.
Ces douleurs inquiètent à juste titre les hommes qui redoutent de souffrir d'un cancer ou d'une autre affection grave. Parfois lors de l'examen clinique ou de l'interrogatoire, le médecin retrouvera les traces d'une infection ancienne, ou d'une chirurgie pelvienne. Mais dans la plupart des cas, il n'existe aucune cause connue. Tous les examens reviennent normaux. Il n'y a ni cancer, ni infection, ni aucun signe de maladie. Ils n'ont « rien » et pourtant la douleur est bien là.
Reconnaître la souffrance
Le SDPC doit être pris en charge par une équipe pluridisciplinaire, dont l'urologue est le pivot. La souffrance du patient doit être reconnue même si on ne trouve aucun substrat organique.
La simple écoute est déjà une part du traitement. Des méthodes non médicamenteuses telles que la sophrologie, l'hypnose, ou la neurostimulation peuvent offrir un soulagement ou du moins de retrouver la vie la plus normale possible, en complément des antidépresseurs, des morphiniques, ou encore des médicaments urologiques selon les symptômes du patient.
Chaque année aux Journées d'Andrologie et de Médecine Sexuelle ou JAMS, les médecins se réunissent pour discuter des avancées, les actualités et des découvertes en andrologie et médecine sexuelle pour faire avancer la prise en charge des patients.
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Le 20 Septembre était la journée européenne de la Prostate. L'occasion pour les patients et les internautes de poser leurs questions à des urologues de l'AFU sur un Facebook chat.
La prostate a réuni experts de l'AFU et patients le 20 septembre dernier, à l'occasion de la Journée européenne de la prostate. A destination du grand public, l'évènement « Parlons-en ! » délit les langues sur un sujet encore tabou et sensibilise sur les pathologies.
Un format reconduit
Avec 34 questions posées, cinq vidéos et des milliers de vues, la campagne de communication visant à permettre au public de poser des questions autour de la prostate fut une belle réussite. Ce format adopté pour l'édition précédente, ainsi que pour la semaine de la continence urinaire en mars 2018 se reconduit avec succès.
Un clip de prévention, réalisé sur le ton de l'humour, invitait dès le 28 août à poser des questions sur les réseaux sociaux, mais également sur des sites d'information santé pour le grand public. Accumulant près de 100 000 vues et 240 partages uniquement sur Facebook, la campagne de prévention débute sur de solides bases.
Patients et spécialistes face-à-face
« Tous les visages de l'urologie étaient représentés : hommes, femmes, jeunes et moins jeunes », soulignait le Dr Christian Castagnola, vice-président délégué à la communication de l'AFU, présent toute l'après-midi pour le chat.
Les experts urologues , les Professeurs De la Taille, Gamé et Mongiat-Artus ainsi que les Docteurs Castagnola, Géraud, Bessede, Dominique, Pettenati et Pradère étaient sur le pont pour répondre au mieux aux questions qui portaient entre autre sur le rôle de la prostate, sur les maladies qui y sont associées comme le cancer, ou encore sur le déroulement d'une consultation chez l'urologue. Toutes les questions étaient bonnes à poser. Des exemples :
Pourquoi dit-on que la prostate est le point G de l'homme ?
Les Dr Bessede et Faix « Il n'existe pas de littérature scientifique confirmant l'existence d'une zone érogène au niveau de la prostate mais du plaisir est exprimé par certains hommes lors de la stimulation. »
Les femmes ont-elles une prostate ?
Les experts de l'AFU « Non, seuls les hommes ont une prostate. Les femmes n'en ont qu'un reliquat embryologique. »
Les érections seront-elles affectées obligatoirement par une ablation de la prostate ?
Les Drs Dominique, Géraud et Pradère « Les érections ne sont pas obligatoirement affectées par la prostatectomie. Cela va dépendre du stade de la maladie, de la possibilité de conserver les nerfs et de la qualité de vos érections antérieures. La conservation des nerfs ne garantit pas une récupération complète des érections naturelles. Des solutions permettent de retrouver des érections aidées et des rapports sexuels de qualité. »
Le cancer de la prostate et de la vessie sont-ils liés ?
Les Drs Castagnola et Géraud « Non, il s'agit de deux maladies cancéreuses d'origines différentes, avec des terrains différents. Toutefois, du fait de leur proximité anatomique, il peut y avoir envahissement de la prostate lors d'un cancer de la vessie et vice-versa. »
Une calcification au niveau de la prostate est-elle grave ?
Les Drs Bessede, Castagnola et Géraud « Les calcifications de la prostate sont fréquentes et bénignes. Elles ne sont pas liées à un symptôme en particulier ou à une maladie. Elles ne sont pas précurseurs de cancer de la prostate. Elles ne nécessitent pas de traitement spécifique. »
Retrouvez toutes les questions réponses sur la page Facebook de URO France. Le succès de cette nouvelle rencontre montre clairement que les deux rendez-vous annuels avec le grand public que sont la Semaine de la continence et la Journée européenne de la prostate permettent une rencontre utile entre usagers et urologues. À réitérer !
[post_title] => Campagne « prostate » : les urologues au contact des patients
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Le Centre d'Infection et d'Immunité de Lille, dirigé par le Professeur Camille Locht, organise LE CONGRES INTERNATIONAL DU BCG du 3 au 5 décembre 2018 à L'Institut Pasteur de Lille (1 rue du Professeur Calmette - 59019 Lille Cedex, France) à l'occasion de l'anniversaire des 110 ans des premiers travaux de Calmette et Guérin qui ont abouti à la découverte du Vaccin B.C.G.
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La mise en place des nouvelles règlementations en matière de protection des données touche particulièrement le milieu médical. Mais pas de panique : le patient n'a rien à faire et n'en fait que bénéfice.
Ces dernières années, les données ont été particulièrement vulnérables aux cyberattaques. En 2017, des logiciels particulièrement agressifs ont incité la Commission européenne à réfléchir à la protection des bases de données.
Le dossier médical des patients particulièrement prisé
Depuis le 25 mai dernier, le Règlement général sur la protection des données (RGPD) est entré en application, et les médecins doivent s'y plier, eux aussi. Ils sont en effet vulnérables, car ils manipulent des données de santé de leurs patients.
« On estime qu'un dossier médical peut se commercialiser à hauteur de 100 euros », précise le Dr Didier Legeais, président du syndicat national des chirurgiens urologues français. « Des informations intéressantes comme le numéro de sécurité sociale des patients et les données bancaires facilitent la production de fausses cartes Vitale et l'accès au phishing*, par exemple ».
Quelques obligations administratives, mais rien pour le patient
Le RGPD est conçu pour limiter ces risques. Le milieu médical se doit d'augmenter sa vigilance afin de sécuriser au mieux les données personnelles de ses patients. « Un responsable de la sécurité des données dans chaque cabinet ou société d'exercice doit être désigné pour mettre en place des procédures de contrôle », explique le Dr Legeais.
Les établissements de santé et les praticiens libéraux dans leur cabinet doivent appliquer les consignes du RGPD. Sans protection des données, ils peuvent théoriquement s'exposer à une peine allant jusqu'à 5 ans de prison et 300 000 euros d'amende !
Le médecin se doit de protéger son ordinateur et le secret médical
« Dans l'ensemble, ces mesures expliquées par l'Ordre des médecins et la Cnil, sont basées sur le bon sens », estime le Dr Didier Legeais, comme sécuriser leur ordinateur, faire des mises à jour régulières, limiter le contact de l'ordinateur avec des réseaux extérieurs ou des clés USB non sécurisées.
« Le RGPD est aussi l'occasion de rappeler aux médecins qu'ils traitent des données très sensibles et qu'ils doivent les sécuriser », souligne-t-il, le secret médical devant être protégé de manière absolue.
* Ou hameçonnage : grâce aux données recueillies, la victime reçoit un mail qu'elle croit provenir d'une personne de confiance, qui l'incite à fournir des données sensibles (mot de passe, numéro de carte de crédit, etc.)
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Dans le cadre des traitements des tumeurs de la vessie, une nouvelle étude basée sur des critères médico-économiques, valide l'utilisation de biomarqueurs pour cibler les patients qui seront les plus sensibles à la chimiothérapie néo-adjuvante et ainsi mieux guider les indications.
Aujourd'hui, la chimiothérapie néo-adjuvante, c'est à dire réalisée avant l'intervention chirurgicale, est recommandée pour toute tumeur de vessie infiltrante localisée, quel que soit le stade. Cependant, ce traitement présente de nombreux effets secondaires et des conséquences sur la réalisation de la cystectomie, ce qui peut présenter un frein à son développement et son utilisation. Il est donc important de pouvoir prédire l'efficacité et la tolérance de chaque patient à la thérapie pour les traiter au mieux. Bénéfique pour le patient, cette médecine personnalisée est également un choix médico-économique intéressant.
Un choix médico-économique intéressant
Dans une récente étude parue dans BJU International, des chercheurs ont évalué l'impact médico-économique potentiel de l'intégration de biomarqueurs dans une approche de sélection des patients à la chimiothérapie néo-adjuvante. Ils ont ainsi cherché à déterminer une stratégie avec une efficacité maximale pour un coût donné.
Comparant la cystectomie seule, la chimiothérapie néo-adjuvante systématique suivie d'une cystectomie, et la chimiothérapie néo-adjuvante guidée par 3 biomarqueurs, les auteurs montrent que la dernière approche pharmacogénétique est la meilleure stratégie. La survie globale augmente de l'ordre de 5,2 mois par rapport à la cystectomie seule et de l'ordre de 1,6 mois par rapport à la chimiothérapie néo-adjuvante systématique.
Au final, l'utilisation de ces marqueurs prédictifs pourrait permettre une sélection optimale des patients candidats à une chimiothérapie néo-adjuvante selon le concept de médecine personnalisée, avec un impact médico-économique non négligeable.
Quels biomarqueurs concernés
Dans l'étude, trois biomarqueurs potentiels ont été utilisé : la classification en sous-types moléculaires basée sur l'analyse ARN, la mutation ERCC2 et un panel de gènes de réparation de l'ADN. Ce dernier des trois biomarqueurs serait associé à une meilleure sensibilité à une chimiothérapie néoadjuvante à base de sels de platine et semble être le meilleur biomarqueur dans une stratégie coût-efficacité. Avec cette approche, 38% des patients recevraient une chimiothérapie néo-adjuvante ce qui correspondrait à un doublement par rapport aux pratiques actuelles aux US.
Cependant, pour le moment, en l'absence de données prospectives et en dehors d'essais cliniques, aucun marqueur moléculaire n'est validé et la chimiothérapie néo-adjuvante doit être proposée à tous les patients éligibles à une chimiothérapie à base de sels de platine afin d'optimiser la survie post-cystectomie.
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Meilleure récupération, convalescence plus courte, diminution des évènements indésirables et des réhospitalisations
la RAAC, ou récupération améliorée après chirurgie, est une nouvelle procédure incontournable dans le milieu chirurgical, qui devrait se développer dans les néphrectomies.
La pratique de la chirurgie évolue, et pas uniquement sur le plan technique. La prise en charge chirurgicale englobe tout un travail en amont, pendant et après l'acte chirurgical. Dans ce contexte, la RAAC (Récupération améliorée après chirurgie) ou fast track se développe, et apporte avec elle de nombreux bénéfices. « C'est un système gagnant-gagnant », estime le Pr Philippe Paparel du Centre hospitalier Lyon Sud. « Tout le monde s'y retrouve ». Et pour la néphrectomie partielle ou totale, elle fonctionne très bien.
Une nouvelle approche de la chirurgie
Le but, comme son nom l'indique est le rétablissement précoce des capacités des patients après la chirurgie. Toute l'équipe soignante se mobilise avant, pendant et après l'opération. Un travail pré-opératoire est mis en place, avec exercice physique et arrêt du tabac et de l'alcool notamment.
Par exemple, avec la procédure RAAC « nous ne posons plus de drains ni de sondes urinaires », explique le Pr Paparel. Le seul acte à réaliser, en dehors de l'opération robot-assistée, reste la pose du cathéter ! Dès le jour même, les patients sont réalimentés, leurs cicatrices sont mises à l'air le lendemain et si tout va bien, leur sortie peut être décidée.
Un gain pour les patients
« C'est une révolution dans l'approche de l'intervention », poursuit-il. « Le patient est maître de sa prise en charge ». Il est inclus à part entière dans le processus. Un livret lui permet de la suivre pas à pas. Résultat : « Une satisfaction des patients qui se plaignent moins de la douleur, malgré un retrait total de la morphine ».
De plus, « les études montrent que la procédure RAAC diminue le taux de complications : l'apport de la robotique diminue le risque de complications chirurgicales, et la procédure entraîne moins de risques médicaux », résume-t-il.
et pour le personnel soignant !
Pour l'urologue et l'équipe infirmière, le travail change également. Dans un contexte médico-économique qui vise à démédicaliser au maximum les interventions, la RAAC se traduit par moins de gestes techniques, moins de prescriptions, moins de soins, plus de relationnel, une hospitalisation plus courte
Ce qui allège le travail des équipes médicales et désencombre les hôpitaux.
Seulement une règle doit être respectée : la coordination des équipes multidisciplinaires. « La RAAC est comme un train », compare Philippe Paparel. « Les chirurgiens, kinés, anesthésistes, infirmiers et secrétaires en sont les wagons, et si l'un déraille, c'est le train en entier qui le suit. Le patient ne reste pas longtemps dans le service, il ne faut donc pas se louper. Cela demande de l'organisation, même quand tout roule. Ce n'est jamais de la routine ».
[post_title] => La néphrectomie avec RAAC : bien plus qu'une intervention chirurgicale
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Les traitements médicaux et chirurgicaux de l'infertilité masculine sont en pleine évolution. Les urologues en resteront logiquement des acteurs principaux et développeront la prise en charge de la spécialité.
L'urologue est un ambassadeur clé en matière de fertilité masculine aux côtés des gynécologues, biologistes, andrologues et endocrinologues. Le domaine est en pleine mutation et ils feront naturellement partie des acteurs de la transformation de la prise en charge de l'infertilité.
Un domaine en pleine (r)évolution
Pour Éric Huyghe, la spécialité urologique s'élargira pleinement à la fertilité masculine. « L'urologue a une activité riche, médico-chirurgicale, dans laquelle l'infertilité reste une activité secondaire », explique le Pr Éric Huyghe, urologue au CHU de Toulouse. « Mais nous commençons à comprendre les mécanismes de l'infertilité masculine, et nous entrevoyons enfin les moyens de l'inverser ».
Avec cette nouvelle révolution thérapeutique, il devient nécessaire d'avoir une véritable réflexion sur la place des traitements de l'infertilité masculine notamment dans la spécialité urologique. Les urologues adopteront instinctivement un rôle croissant dans la prescription des traitements et la prise en charge des patients. « L'urologue reste un interlocuteur important dans ce secteur », rappelle le Pr Éric Huyghe.
L'urologue d'autant plus présent
Corollaire de ces avancées, la contraception masculine va se développer. Les urologues seront en charge des nouvelles thérapies et auront une présence majeure auprès des patients. Ces avancées devraient également élargir le profil des patients concernés, notamment vers les plus jeunes en recherche de solutions.
L'AFU est attentive à ces évolutions et a le souci de rendre dynamique l'implication des praticiens pour une prise en charge optimum des hommes concernés.
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Votre intervention s'est mal passée, les suites de votre traitement ne se déroulent pas comme prévu, vous pensez être victime d'une erreur médicale ? N'ayez crainte : des solutions existent qui vous aideront à comprendre la situation et à trouver une issue favorable au problème avec le concours de l'équipe médicale.
« Il convient de distinguer l'erreur médicale de la faute médicale et de l'aléa thérapeutique. L'erreur médicale est une erreur liée à l'incertitude et aux impondérables de la médecine. L'aléa thérapeutique est un accident médical non fautif dû à la part de hasard et de risques qui existent lorsqu'un soin est prodigué. La faute médicale est similaire à l'erreur médicale néanmoins toutes les erreurs ne sont pas des fautes », explique Marion Lausberg, chargée des relations avec les usagers à la Direction Qualité, Risques et Usagers - Service des droits du patient du Centre Hospitalier René-Dubos de Pontoise.
De quoi s'agit-il ?
Seul un juge ou un médecin-expert détermineront s'il s'agit d'une erreur médicale de la part de l'établissement de santé concerné. Ce n'est en effet pas le rôle de celui-ci de se prononcer sur sa propre responsabilité, ni de qualifier le fait. Mais dès lors que survient un événement indésirable au cours d'une prise en charge, de nombreuses procédures sont mises en place par l'établissement de soins pour répondre aux attentes et aux besoins légitimes du patient concerné. En effet, depuis la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, des explications sont dues à toute personne qui s'estime victime d'un dommage lié à sa prise en charge. L'article L.1142-4 du code de la santé publique prévoit que : « Toute personne victime ou s'estimant victime d'un dommage imputable à une activité de prévention, de diagnostic ou de soins ou ses ayants droit, si la personne est décédée, ou le cas échéant son représentant légal, doit être informée par le professionnel, l'établissement de santé, les services de santé ou l'organisme concerné sur les circonstances et les causes de ce dommage ».
L'annonce
Pour annoncer à son patient qu'il y a eu un problème dans sa prise en charge médicale, le médecin peut s'entourer de son chef de service ou du cadre de santé et se rendre au chevet du patient si celui-ci est toujours hospitalisé. Sinon il prendra rendez-vous avec lui. Evidemment, l'écoute, la disponibilité et la communication de l'équipe médicale permettent de désamorcer le conflit. « Le patient peut également être orienté vers la direction s'il souhaite avoir des informations complémentaires sur une éventuelle prise en charge du dommage qu'il estime avoir subi », explique Marion Lausberg. Malgré tous les efforts fournis par les professionnels de santé pour éviter d'entrer dans un conflit, le patient est libre de choisir la voie de recours qu'il souhaite.
La procédure
Au Centre Hospitalier René-Dubos de Pontoise par exemple, le service des droits du patient est à la disposition des patients mais également de l'équipe soignante/médicale. Une affiche apposée à l'entrée de chaque service de soins précise les coordonnées de cette entité. Ces informations sont également disponibles sur le site internet de l'établissement. Une procédure de traitement des plaintes et des réclamations est disponible sur le logiciel de gestion documentaire de l'établissement et accessible à tout professionnel de santé du Centre Hospitalier de Pontoise.
« Lorsqu'un patient me contacte pour évoquer les difficultés qu'il a rencontrées au cours de sa prise en charge, je l'invite systématiquement à me faire parvenir un courrier écrit relatant les faits », détaille Marion Lausberg. « Cela me permet, dès réception du courrier, de réaliser une étude personnalisée sur sa prise en charge. Cette étude est réalisée en lien avec le service de soins concerné mais également avec les médiateurs médicaux et non médicaux. La suite donnée est ainsi appropriée à la situation. Autrement dit, si je constate que la prise en charge peut conduire à un contentieux alors je saisis les médiateurs médicaux (2 médecins) et non médicaux (2 cadres de santé). Je propose aux patients d'être reçus par les médiateurs, ce qu'ils acceptent dans la majorité des cas. L'entretien de médiation permet ainsi de renouer le dialogue, de reprendre la prise en charge dans sa globalité et d'expliquer au patient les voies de recours qui s'offrent à lui. La médiation ne permet pas toujours d'éviter le contentieux mais elle cadre les choses par un compte-rendu qui reprend les termes de l'entretien et informe le patient des voies de recours. Néanmoins, je ne suis pas toujours informée des futurs contentieux puisqu'il arrive que les patients ne prennent pas contact avec le service des droits du patient et saisissent directement la voie de recours souhaitée ».
L'indemnisation
Il existe plusieurs voies d'indemnisation des patients victimes d'un préjudice. La première est l'assurance en responsabilité civile de l'établissement de santé concerné qui étudie, avec son accord, le dossier médical du patient avec l'aide d'un médecin conseil et se prononce sur la responsabilité de l'établissement. La Commission de Conciliation et d'Indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales (CCI) peut également être saisie par le patient. Après analyse du dossier par un ou plusieurs médecins-experts, la CCI rend un avis. Enfin, par l'intermédiaire d'un avocat, le patient peut déposer une requête auprès du Tribunal Administratif du lieu de survenue du dommage. Mais la procédure est longue et coûteuse car elle implique pour le patient de se faire représenter par un avocat à contrario de la procédure devant la CCI.
[post_title] => Que faire en cas de suspicion d'erreur médicale ?
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13 000 cancers du rein sont diagnostiqués chaque année en France. Parmi eux 20 % sont d'emblée métastatiques. Pour ces cancers, la prise en charge associe habituellement une néphrectomie suivie d'une thérapie ciblée. Mais l'étude française CARMENA va amener à revoir les indications de cette chirurgie.
La prise en charge des cancers du rein d'emblée métastatiques varie selon l'état de santé du patient, mais pour la plupart, le traitement de première intention consiste depuis 2005 en une néphrectomie (l'ablation du rein), suivie dans un second temps d'un traitement médical par Sunitinib.
Une remise en question de la chirurgie
« Lorsque les molécules sont sorties, elles ont rapidement montré leur capacité à ralentir la progression de la maladie. Nous nous sommes posés la question de savoir si la néphrectomie restait indispensable pour tous les patients », explique le Pr Arnaud Méjean, urologue à l'Hôpital Georges Pompidou. Fallait-il continuer à opérer les cancers du rein métastatiques ?
Il y a plus de 10 ans, le Pr Arnaud Méjean met donc en route l'étude CARMENA, « CAncer, Rein, MEtastase, Nephrectomie, Antiangiogénique), afin de déterminer, si, pour certains patients, un traitement par Sunitinib seul était ou non équivalent à l'association de la chirurgie et de cette thérapie ciblée.
Le sunitinib seul ne fait pas pire
et peut-être même mieux !
Entre 2009 et 2017, 450 patients ont donc été recrutés, dont la moitié ont subi une ablation du rein et un traitement au Sunitinib (le traitement standard), et l'autre simplement reçu du Sunitinib.
Les résultats ont montré un taux de réponse similaire dans les deux cas. « Tous les éléments étudiés survie globale, PFS, bénéfice clinique
ne montrent pas d'infériorité pour le Sunitinib seul », souligne Arnaud Méjean. Les résultats sur les patients n'ayant pas subi d'intervention chirurgicale ne sont pas moins bons. Ils étaient même, sur certains points, meilleurs.
Vers une évolution des pratiques
Cette étude devrait donc conduire à une révision des standards dans le domaine de la prise en charge du cancer du rein d'emblée métastatique. Elle devrait d'ailleurs bientôt l'être : « les recommandations françaises mises à jour sortiront en septembre, et il est attendu que ces résultats soient pris en compte », indique Arnaud Méjean.
Cette étude CARMENA est donc majeure. Au-delà de la France, elle devrait changer les pratiques partout ailleurs. Elle a, en plus, le mérite d'être une étude académique, financée en grande partie par le programme hospitalier de recherche clinique (PHRC), l'URC Paris Descartes et l'AP-HP, et non sponsorisée par les laboratoires. L'AFU se réjouit d'y avoir contribué.
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Les cancers du rein (des cellules rénales, à différencier des cancers des voies urinaires) font partie des 10 cancers les plus fréquents, et peut exprimer en son sein des cellules très différentes au niveau génétique. Cette complexité cellulaire est une des limites de la thérapie dite « ciblée », qui va agir sur un seul type de mutation génétique. C'est que l'on appelle « l'hétérogénéité tumorale » à l'origine des récidives précoces de cancer.
Dans une étude, parue en octobre dans la revue internationale Science, deux équipes de recherche américaine se sont poser la question du profil génétique des métastases chez des patients qui n'étaient pas traités, et ont pu démontrer que les métastases présentaient en majorité les mêmes mutations, qu'on appelle « driver », conduisant la cellule tumorale à la métastase.
Pour un même patient, deux scénarios sont possibles. Les métastases peuvent descendre de la même population cellulaire du cancer du rein primitif, et partager ainsi les mêmes mutations « driver » (on qualifie ainsi les altérations ayant un impact majeur sur la progression de la maladie). Mais il est également possible qu'une différence de type de cellules tumorales au sein d'une même tumeur primitive donne lieu à une dissémination au niveau métastatique qui sera elle-même hétérogène, les métastases portant alors des mutations « driver » distinctes.
Des métastases homogènes
Pour réaliser cette étude, les équipes des Prs Bert Volgenstein (John Hopkins) et Martin Nowak (Harvard) ont récolté les données génétiques de 20 patients ayant eu au moins deux métastases non traitées et décédés de leur cancer : sein, colon-rectum, utérus, estomac, poumon, mélanome, pancréas et prostate. Au total, 76 métastases ont été analysées
En reconstituant l'histoire naturelle de la progression cancéreuse des patients, les chercheurs ont pu mettre en évidence que le cas de trouver des métastases avec des cellules hétérogènes au niveau génétique était un fait rare, avec un pourcentage de 10,5 % pour des patients atteint de quatre métastases détectables. Par ailleurs, cette probabilité est d'autant plus élevée que la tumeur primitive croît lentement au stade pré-métastatique.
Une bonne nouvelle pour la médecine de précision
« L'étude montre qu'il y a une homogénéité entre les métastases d'un même individu », résume le Pr Antoine Valeri, urologue à l'hôpital de la Cavale Blanche (CHRU Brest). « Ou dans le cas contraire, la part d'hétérogénéité concerne des gènes peu ou pas fonctionnels. ». Cela permet d'apprécier une frontière dans la complexité de la part génétique des cancers. On peut donc penser que les thérapies ciblées sur ces mutations auront des résultats constants sur la plupart des patients cancéreux.
D'autres travaux ont été développés dans le cancer de la prostate, poursuit l'urologue brestois, avec notamment la découverte d'un éventuel traitement qui lutterait contre des mutations retrouvées dans le cancer de la prostate. « Des travaux ont montré que 15 à 20 % des cancers de la prostate métastatiques pourraient avoir de telles altérations génétiques, et des essais thérapeutiques sont en cours. » La médecine de précision, bientôt une réalité dans le cancer de la prostate ?
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