L’objectif : sensibiliser le plus grand nombre et lutter contre les tabous qui trop souvent encore poussent les hommes à ne pas s’occuper de leur santé, surtout urologique.
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L'AFU soutien Octobre Rose pour promouvoir le diagnostic des cancers précoces.
Cancers du sein et de la prostate peuvent être provoqués par les mêmes gênes héréditaires.
Un dépistage pourrait vous être proposé, parlez-en.
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Rendez-vous samedi 3 juin 2023
Cher(e)s Collègues, Le Ventoux 2 est lancé !
Cette année encore, l’AFU s’engage pour sensibiliser le grand public à la santé de l’homme par le sport et à lutter contre le cancer de la prostate. Le samedi 3 juin 2023, avec un groupe plus important que l’année dernière, 500 cyclistes composés, entre autres, d’urologues, patients et cyclistes s’élanceront vers cette ascension mythique en compagnie de Bernard Hinault. Une campagne de sensibilisation sur l’importance du sport pour une bonne santé et sa place au moment de la maladie, et un appel au don en faveur de la recherche seront présentés.
Toute ascension est validée aussi bien à vélo musculaire, qu'à vélo électrique ou semi électrique ! Les loueurs de Bédoin louent tout type de vélo.
Nous vous attendons tous pour participer à cet évènement important de notre association en faveur de la recherche et pour les soins de nos patients.
Les inscriptions sont réservées aux membres de l’AFU et association de patients jusqu’au 15 mars puis seront ouvertes au grand public.
Le départ se fera à 09h30 le samedi 03 juin depuis le Village Vacances de Bédoin
Retour sur la campagne « Roulons contre le cancer de la prostate »
La volonté de notre association est de promouvoir via l’évènement du Ventoux la place du sport dans la santé et l’importance de promouvoir une sensibilisation au cancer de la prostate. Cette seconde édition a été un franc succès avec 450 personnes réunies, la présence de Bernard Hinault, plus grand champion cycliste français, les partenaires au rendez-vous, les retombées presse et des réseaux sociaux, une équipe d’encadrement exceptionnelle du Club de la Pomme et un temps favorable malgré les quelques gouttes de pluie rafraichissantes à l’arrivée ! Rajoutons que cet évènement sort des frontières par la présence des sociétés européenne et belge d’urologie. A l’ASCO, un petit groupe d’urologues et d’oncologues a aussi fait son « Ventoux » dans les rues de Chicago par l’initiative de Benjamin Pradère avec les maillots de l’AFU !
Les partenaires avaient répondu rapidement et favorablement et nous tenions à les remercier de leur engagement vers la communication grand public : Pierre Fabre Médicament, Bayer, Astellas, Janssen, Ferring et Besins Healtcare. Les associations de patients étaient aussi présentes avec l’ANAMACAP et CERHOM.
Notre association qui se veut se baser sur des preuves scientifiques, peut aisément rappeler que le sport et l’activité physique font partie de la prise en charge des patients atteints de cancer de la prostate : l’INCA avait publié dès 2017 un rapport sur les bénéfices de l’activité physique pendant et après le cancer, le niveau de preuves est suffisant pour que l’Activité Physique Adaptée à visée thérapeutique (APA) fasse aujourd’hui partie des traitements non médicamenteux du cancer (réduction des effets indésirables des chimiothérapies, lutte contre la fatigue, prévention de la dépression, réduction du risque de récidive…). Il a été clairement démontré que la pratique d’une activité sportive à tous les stades du cancer de la prostate a un impact positif : ralentir l’évolution de la maladie et surtout améliorer la qualité de vie des patients en limitant les effets secondaires des traitements. Dans le cancer métastatique traité par hormonothérapie, qui peut s’accompagner d’un syndrome métabolique, une ostéoporose, une sarcopénie, un risque cardiovasculaire, une fatigue ou une dépression, il est établi que l’activité physique régulière aide à lutter contre chacun de ces risques. L’APA est donc recommandée. Pour les cancers localisés, il est rapporté dans une publication de 2011 qui a suivi une population de 3 000 patients que l’activité physique régulière diminue d’un tiers environ tant la mortalité globale que la mortalité spécifique (cette diminution étant corrélée avec la fréquence et l’intensité de l’activité). Plus récemment une étude portant sur une cinquantaine de patients en surveillance active pour un cancer localisé a observé que les patients soumis à 12 semaines d’activité physique assez intense (1 heure, 3 fois par semaine) voyaient leur valeur de PSA discrètement diminuer.
Sans vouloir être une course ou une compétition, le rendez-vous du Ventoux que nous souhaitons annuel a pour but de rassembler les acteurs du monde médical avec les patients, les passionnés du vélo et toute personne qui souhaite participer avec Bernard Hinault qui restera notre ambassadeur. L’objectif de la prochaine édition qui aura lieu le 7 septembre 2024 sera d’inscrire cet évènement dans l’agenda des sportifs, de continuer à accroitre le nombre de participants, de dépasser les frontières par la présence d’urologues étrangers, et d’élargir la communication vers les media.
Voir la vidéo du Ventoux 2
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Voir les photos du Ventoux 2
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Pour la prise en charge des prolapsus des organes pelviens, le pessaire est un bon outil à proposer systématiquement à nos patientes symptomatiques.
Il évolue régulièrement, avec pour certains, notamment les cubes, une autonomie dans sa gestion simple à acquérir après une courte éducation thérapeutique.
Solution d’attente avant la chirurgie, particulièrement pour des patientes jeunes actives ; ou solution pérenne sur le plus long terme, bien utilisé, il est en général plébiscité.
[post_title] => HAS : une nouvelle fiche information patiente sur le prolapsus
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Chères et Chers confrères,
Les problématiques de tensions d’approvisionnement en BCG-Medac apparues le lundi 28 novembre ont été résolues grâce aux efforts conjoints du laboratoire MEDAC, de l'ANSM et de l'AFU. C'est à dire bien sûr des urologues et de leurs pharmaciens. La gestion de cette pénurie a été exemplaire puisqu’aucun patient n’a eu à subir un manque ou de retard de délivrance de BCG pour le traitement de son cancer de la vessie.
À partir de ce lundi 9 janvier 2023, nous pouvons à nouveau prescrire et instiller le BCG-Medac pour les patients qui doivent débuter un traitement d’induction ou d’entretien par BCG.
Pour les patients en cours de traitement d’induction par du SII-ONCO-BCG, le laboratoire tient à disposition de nos pharmacies un stock permettant de terminer la série de respectivement 6 instillations sans changer de souche de BCG, tel que cela a été préconisé par l’AFU auprès de l’ANSM.
Le sport, ou plutôt l’activité physique a bien des vertus pour la prise en charge de nos patients atteints de cancer. Mais sur quelles bases scientifiques s’appuient-ont aujourd’hui pour expliquer par exemple le bénéfice sur la survie ?
Quelles sont les données concernant le cancer de la prostate alors que le bénéfice est bien établi pour d’autres cancers tels que le sein ou le colon ?
Doit-on encourager l’activité physique, quand et comment ?
Devons-nous la prescrire et à qui ? Est-elle prise en charge et remboursée ?
Nous avons réuni, lors d'un webinaire dédié à la thématique, des intervenants spécialistes du sujet, d’horizons différents qui ont apporté leur éclairage singulier sur ce sujet encore mal connu des urologues.
Prostate, sein, ovaire : ces cancers ont parfois une origine génétique. Dans le cancer de prostate par exemple, l’hérédité a un fort impact. Le dépistage et l’enquête génétique des patients à risques peuvent sauver des vies. Les urologues doivent-ils les proposer à leurs patients ?
Selon le Dr Guillaume Ploussard, responsable du sous-comité prostate du comité de cancérologie de l’AFU, la réponse est nuancée. « La découverte d’un cancer du sein, de l’ovaire ou de la prostate dans une famille ne donne pas systématiquement lieu à une étude génétique sur les membres de cette même famille. Des critères précis conditionnent la nécessité de déclencher une enquête pour déceler une éventuelle anomalie du gène BRCA ». Le gène BRCA 1 expose au risque de développer un cancer du sein et de la prostate. Le BRCA 2 est associé au cancer du sein et de l’ovaire chez la femme et au cancer de la prostate dans une forme très agressive chez l’homme. Le risque de développer un cancer de prostate est de 1,3 fois supérieur si le patient est BRCA 1 et de 2,6 fois supérieur s’il est BRCA 2.
Ce qui doit alerter
Chez la femme, la survenue d’un cancer du sein bilatéral avant 40 ans impose la recherche de mutation du gène BRCA. Chez l’homme, c’est un cancer de prostate apparu précocement, avant 50 ans et sous une forme d’emblée agressive avec métastases qui doit alerter. Outre l’âge de survenue du cancer, d’autres critères justifient l’enquête génétique comme la présence de cancers associés (pancréas, sein, prostate et ovaire) chez le patient lui-même ou chez des membres de sa famille auxquels il est apparenté de premier ou second degré. Lorsque les critères sont réunis, « les sénologues vont systématiquement proposer l’enquête génétique aux femmes pour un dépistage très précoce de cancer de l’ovaire ou du sein, mais plus rarement aux hommes », fait remarquer le Pr Pierre Mongiat-Artus, membre honoraire du Comité de Cancérologie de l’AFU et responsable du comité d’éthique et de déontologie. « La présence d’un cancer du sein ou de l’ovaire dans une famille doit donner lieu à une enquête génétique chez les hommes également, car un cancer de prostate peut être développé », ajoute le spécialiste.
Le rôle de l’urologue
Lorsque la recherche de mutation du gène BRCA chez une femme s’avère positive et que la femme est porteuse de l’un des deux gènes, il y a donc une indication à faire tester les hommes de la famille. « S’il y a eu des cancers du sein sans recherche de mutation et que l’histoire familiale est importante avec plusieurs cas de cancers dans l’arbre généalogique, une attention particulière devra se poser sur les hommes et une recherche de mutation sera conseillée. Car, le risque de développer un cancer est élevé », explique le Dr Ploussard. Concrètement, soit la mutation est prouvée dans la famille et l’on va étudier cette même mutation chez son patient, soit la forme héréditaire est plausible et justifie également la recherche d’une anomalie de l’un des deux gènes BRCA. À charge donc pour les urologues d’interroger systématiquement leurs patients sur l’histoire familiale. Si des cancers de prostate, ovaire, sein ou pancréas existent chez plusieurs apparentés du premier degré et a fortiori dans le cas de cancers de prostate précoces ou de cancers du sein bilatéraux et précoces, l’urologue déclenche une consultation d’oncogénétique. Réalisée par un onco-généticien, l’enquête oncogénétique comprend un examen avec recherche sur les lymphocytes sanguins. Il est à noter tout de même que 30 % des patients mutés n’ont pas d’antécédents familiaux et que certaines familles comptent parfois trop peu de membres pour qu’il puisse y avoir une histoire familiale. Une extrême vigilance s’impose donc aux spécialistes.
Des Recommandations récentes
Le gène BRCA 2 représente 3 à 5 % des cancers de prostate diagnostiqués, soit environ 2 500 patients par an. Au vu de ces chiffres, depuis deux ans, les Recommandations insistent sur l’importance de proposer aux patients une enquête génétique. Alors que l’on dénombre en France 50 000 nouveaux cas de cancer de prostate chaque année, il serait inenvisageable d’adresser l’ensemble des patients en consultation d’oncogénétique. Ce, d’autant que l’enquête peut s’avérer longue en raison du manque de spécialistes. Une récente étude de l’INCa fait état d’un minimum de 6 mois d’attente (pouvant aller jusqu’à 1 an dans certaines régions) pour obtenir un rendez-vous avec un onco-généticien, auxquels il faut ajouter 6 mois supplémentaires nécessaires à la récupération du résultat de la prise de sang. Si les urologues sont habilités à prescrire le test génétique à la condition de fournir une information pertinente à leurs patients, ils respectent globalement la filière des onco-généticiens.
L’accompagnement du patient
Lorsqu’une mutation du gène BRCA est mise en exergue, l’onco-généticien propose au patient de contacter les membres de la famille et de tester aussi bien les hommes que les femmes.
Quant au patient porteur d’une mutation du gène BRCA et en particulier s’il est BRCA 2, il est réadressé à son urologue qui met en place un programme de dépistage annuel dès 40 ans avec dosage de PSA, toucher rectal et souvent IRM prostatique. « Concernant les IRM, leur fréquence n’est pas encore clairement déterminée en France alors que le PSA s’avère parfois trompeur », remarque le Dr Ploussard. « Dans les pays scandinaves, les dépistages systématiques avec IRM annuelles sont déjà instaurés pour les hommes avec mutations ». Lorsque la maladie survient chez les patients BRCA 2, même si elle n’apparait pas comme étant très agressive au moment du diagnostic, la surveillance active peut être déconseillée. « Ce sont souvent des patients que l’on traite précocement car on connaît le risque d’agressivité de la maladie. Ils peuvent maintenant bénéficier à un stade avancé de traitements ciblés avec des molécules adaptées et très efficaces ». Un argument en faveur de l’enquête génétique qui va permettre au patient d’être traité rapidement sur la base d’une thérapeutique spécifique.
Vanessa Avrillon
11-10-2022
Crédit photo : AdobeStock_390566015
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À compter du mardi 15 février, il n'est plus nécessaire de documenter le score CCAFU lors de votre prescription de BCG.
L'ANSM annonce en effet la remise à disposition du BCG MEDAC en poudre et solvant pour suspension pour administration intra-vésicale.
La gestion de l'approvisionnement en BCG par MEDAC, l'ANSM et l'AFU a porté ses fruits puisqu'aucun cas de défaut de produit n'a été in fine recensé depuis 1er février dernier. Afin d’éviter toute rupture, et en accord avec l’ANSM et l’AFU, le laboratoire MEDAC a mis à disposition du marché français, à titre exceptionnel et transitoire, depuis le 15 juin 2021, une spécialité initialement destinée au marché danois, le BCG Culture SSI 4 vials (4 flacons).
Depuis début octobre, le laboratoire MEDAC ne délivre que du BCG-Medac. Afin d’anticiper un retour à la normale, c’est-à-dire une distribution exclusivement de BCG-Medac, nous allons passer par une dernière phase où le laboratoire MEDAC ne distribuera que du BCG SSI et ce dès le 16 décembre 2021, pour une période de 4 à 6 semaines. La livraison de cette spécialité reste indispensable pour que tous les patients reçoivent les traitements attendus. Nous basculerons ensuite sur le BCG-Medac de façon pérenne.
Pour ne pas compromettre ce retour à la normale et ne pas gâcher du produit, toutes les unités de BCG SSI devront être utilisées avant de commander du BCG-Medac. Aucune reprise de flacon de BCG Culture SSI ne sera autorisée une fois le BCG-Medac à nouveau disponible.
Les modalités de reconstitution du BCG Culture SSI - attention à l’équivalence des doses (4 flacons de BCG danois = 1 flacon BCG Medac) - sont rappelées ci-dessous :
Le calendrier des instillations demeure inchangé et fonction du risque des TVNIM :
• Pour les patients déjà traités par BCG-Medac : Il est possible d'assurer la poursuite du traitement d'un(e) patient(e) en changeant la souche instillée Medac/danois en cours de traitement.
• Lors du retour à la normale de la production de BCG-Medac, le switch du BCG danois vers le BCG-Medac pourra s’effectuer en changeant la souche instillée en cours de traitement et en respectant les équivalences de doses.
Les pharmaciens de PUI sont simultanément informés de cette modification de souche pour la BCG thérapie endovésicale. Pour toute question ou information complémentaire, nous vous invitons à nous contacter le laboratoire MEDAC au 04 37 66 14 70.
Bien sincèrement
Crédit photo : Adobe Stock - Bernard Chantal
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Depuis les restrictions concernant les prothèses de prolapsus par voie vaginale par la FDA en 2019, puis par l’HAS en février 2020, nos instances règlementent progressivement les usages des matériaux prothétiques en pelvi-périnéologie.
Ainsi est paru, au journal officiel, le 23 octobre 2020 l’arrêté (annexe 1), réglementant la pose des bandelettes sous urétrales pour le traitement chirurgical de l’incontinence urinaire d’effort chez la femme. Puis, plus récemment, le 22 septembre 2021, l’arrêté (annexe 2) réglementant la pose d’implants de suspension destinés au traitement du prolapsus des organes pelviens chez la femme par voie haute (promontofixation) est à appliquer pour nous tous, chirurgiens urologues, gynécologues, et digestifs dès maintenant.
Cette évolution s’inscrit dans la ligne des recommandations de l’HAS sur la prise en charge thérapeutique des prolapsus génitaux de la femme dont la note de synthèse est parue en juin 2021 (annexe 3A, annexe 3B, annexe 3C, annexe 3D), suite à un travail pluridisciplinaire (Loic Le Normand -uro-, Xavier Fritel -gynéco-, Anne Cecile Pizzoferrato -gynéco-, Caroline Thuillier -uro-, Aurélien Vénara -chirurgien digestif-) avec un large comité de relecture (chirurgiens des 3 spécialités concernées, médecins généralistes, kiné, sages-femmes, association de patients…).
Comme pour les indications de cure d’incontinence, toutes les décisions de cures de prolapsus prothétiques par voie haute (promontofixation par voie coelioscopique recommandée sauf contre-indication) doivent être prises en concertation par une équipe pluridisciplinaire de pelvi périnéologie. Celle-ci doit comprendre, au minimum, un médecin spécialisé en urologie, un médecin spécialisé en gynécologie-obstétrique, et si besoin un médecin ou un masseur kinésithérapeute spécialiste de la réadaptation des troubles de la statique pelvienne. En cas de troubles recto-anaux invalidants, un médecin spécialisé en gastro-entérologie ou un chirurgien digestif doit être présent. L’établissement de santé est autorisé à pratiquer cette activité de soins par son ARS territoriale s’il est capable d’assurer l’ensemble de la prise en charge (évaluation, bilan, respect des recommandations, acte chirurgical par des chirurgiens formés et habitués à la pose d’implants de suspension, suivi post-implantation).
La patiente doit être dument informée, notamment des différents traitements conservateurs possibles, du risque de récidive, et recevoir les conclusions de la concertation pluridisciplinaire. Elle doit disposer d’un délai de réflexion suffisant, sans que celui-ci soit précisément défini.
Concernant le péri-opératoire : la patiente doit recevoir un document permettant l’identification de l’implant, le lieu, la date d’implantation et le nom du chirurgien ayant réalisé l’intervention.
Pour le post-opératoire, une consultation de contrôle systématique est à programmer à 1 mois postopératoire. Une consultation à 1 an au minimum est ensuite à prévoir. Cette dernière peut être faite par un médecin généraliste ou un médecin spécialiste.
Enfin, pour les explantations et les complications graves post-implantation, elles doivent être prises en charge par des centres et des chirurgiens formés et habitués à ces prises en charges complexes impérativement pluridisciplinaires.
Le CUROPF, travaille actuellement pour nous proposer une fiche standardisée (comme pour les cures d’incontinence : annexe 4) qui nous permettra d’être exhaustif lors de nos réunions de concertation pluridisciplinaires.
Nous rappelons, que les fiches AFU « intervention/info patient » disponibles sur le site de l’association française d’urologie sont un élément d’information important, qui peut être tracé dans le dossier.
Dr Caroline Thuillierpour le CUROPF : CThuillier1@chu-grenoble.fr
L’objectif : sensibiliser le plus grand nombre et lutter contre les tabous qui trop souvent encore poussent les hommes à ne pas s’occuper de leur santé, surtout urologique.
L’objectif : sensibiliser le plus grand nombre et lutter contre les tabous qui trop souvent encore poussent les hommes à ne pas s’occuper de leur santé, surtout urologique.
L’AFU soutien Octobre Rose pour promouvoir le diagnostic des cancers précoces. Cancers du sein et de la prostate peuvent être provoqués par les mêmes gênes héréditaires. Un dépistage pourrait vous être proposé, parlez-en.
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