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Les recommandations RAAC cystectomies sont maintenant en ligne. Elles vont vous permettre de vous engager dans ce mode de prise en charge pour vos patients (si vous ne le faites pas déjà). Faire de la RAAC, c'est diminuer la morbi-mortalité de vos patients et vos DMS. Vous verrez que, à terme tous vos patients pourront en bénéficier car la démarche engagée pour les interventions lourdes telle la cystectomie totale peut se décliner pour toutes les autres interventions. Faire de la RAAC c'est modifier votre prise en charge et vos pratiques en anticipant l'acte opératoire et en conduisant votre patient dans les meilleures conditions vers la chirurgie (préhabilitation), ce qui permettra ensuite une accélération du process (réalimentation rapide, mobilisation précoce, etc) au bénéfice du patient.

Vous pouvez aussi faire un audit de vos cystectomies. L'AFU a développé en collaboration avec le groupe GRACE, une grille pour cet audit. Elle est facile d'accès et d'utilisation. Elle est gratuite et il n'est pas nécessaire d'être membre du groupe GRACE. Vous pouvez la remplir au fur et à mesure de la prise en charge du patient, en impliquant votre équipe (anesthésiste, infirmière). L'AFU disposera ainsi d'une base de données importante.

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Les traitements et les prises en charges de l'hypertrophie bénigne de la prostate sont multiples. Le mot d'ordre des urologues est dorénavant de personnaliser au maximum le traitement du patient en fonction de ses symptômes.

L'hypertrophie bénigne de la prostate (HBP) est la pathologie la plus fréquente chez l'homme de plus de 60 ans, touchant plus de 2 millions de personnes en France. L'HBP est une pathologie bénigne (c'est-à-dire sans transformation cancéreuse) qui se situe sur la partie centrale de la prostate, et qui cause une augmentation du volume prostatique, par multiplication de cellules de la glande prostatique. Cette augmentation du volume peut causer différents symptômes, qui peuvent être obstructifs (difficultés de miction, sensation de poussée abdominale, temps d'attente avant miction…) ou irritatifs (brûlures mictionnelles, envies pressantes, réveils nocturnes, …).

Chaque année, 100 000 nouveaux cas sont diagnostiqués, en faisant la « star » des consultations d'urologie. Un premier rapport avait été écrit par l'AFU dans les années 80, mais avec l'évolution de la prise en charge, un nouveau rapport a été réalisé et diffusé lors du dernier Congrès Français d'Urologie (CFU). Cette pathologie ne menace plus désormais que très rarement le pronostic vital des patients. L'objectif est désormais de traiter la qualité de vie des patients, que ce soit à travers la prise en charge des symptômes ou des effets secondaires des traitements.

Mais « la tentation est donc de proposer une prise en charge très stéréotypée », soulignent les rapporteurs. Et pour éviter cela, ils insistent sur la nécessité d'une prise en charge personnalisée, adaptée notamment aux attentes des patients en fonction de leur âge, de leur mode de vie et de la gêne ressentie.

Le lever nocturne : une question au centre du débat

La nycturie caractérise le lever nocturne avec une envie d'uriner. Un des enjeux du rapport était de traiter de ce symptôme. « C'est un facteur de complications, de mortalité et de morbidité propre », a complété le Pr Grégoire Robert (Bordeaux) au CFU. « C'est à l'urologue que le médecin généraliste adresse le patient, et c'est à l'urologue de débrouiller les choses afin de savoir ce qui est de son ressort, et ce qui est du ressort d'autres spécialistes ». Attention notamment à ne pas confondre avec l'apnée du sommeil, autre cause de lever nocturne…

Les traitements médicamenteux comme chirurgicaux ne sont pas pleinement satisfaisants. C'est pourquoi il est nécessaire de mettre le patient devant toutes les options qui lui sont offertes, avec une information éclairée sur les bénéfices attendus et les risques associés à chaque prise en charge.
Et, parmi les risques, les troubles sexuels sont devenus une préoccupation majeure. « C'est même sans doute l'enjeu du futur », a estimé le Pr Aurélien Descazeaud (Limoges).

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Le prolapsus vaginal, qui consiste en une « descente d'organe » (vessie, rectum, utérus), est une pathologie secondaire au vieillissement des tissus de soutien du périnée, dont souffre plus d'une femme sur deux de plus de 50 ans.

Certains prolapsus sont asymptomatiques, alors que d'autres nécessiteront des traitements pour lutter contre les différents symptômes. Parmi les traitements en première intention figure la rééducation, notamment lorsqu'il existe une incontinence urinaire associée. Cette rééducation sera réalisée avec le kinésithérapeute, et consistera en un développement des muscles de soutien du pelvis par des exercices spécifiques ainsi qu'une stimulation électrique.

Lorsque la rééducation est insuffisante, la chirurgie est souvent nécessaire pour rétablir l'anatomie de la patiente et ainsi éviter des complications du prolapsus, altérant la qualité de vie. Cette chirurgie se fera soit par voie coelioscopique abdominale, c'est à dire par de petites incisions centimétriques qui permettent de faire passer un tube optique avec caméra et des instruments chirurgicaux afin de pouvoir opérer dans l'abdomen, soit par voie basse en passant par le vagin.

La voie basse est indiquée lorsqu'il y a une récidive de prolapsus, ou lorsque la cœlioscopie n'est pas possible (pour des raisons anesthésiques, ou lorsqu'il y a eu des interventions antérieures au niveau abdominal). La pose d'une plaque en polypropylène y est souvent associée. Malheureusement, ces plaques, bien que solides, peuvent entraîner de lourdes complications (érosion, douleurs, rétractions, rendant les rapports sexuels impossibles). Aux États-Unis notamment, ces prothèses, ayant été posées avant d'attendre un accord des hautes autorités de santé, étaient donc utilisées les premières années dans un cadre non réglementaire, avec des conséquences lourdes pour les premières patientes concernées par cette nouvelle technique opératoire.

Un encadrement des indications par l'Association Française d'Urologie

En France, et cela depuis 2016, la prothèse vaginale est une option secondaire dans la prise en charge des prolapsus, la société savante invitant à privilégier la voie coelioscopique, et à réserver les prothèses pour des situations bien choisies, et par des praticiens entraînés. Ces recommandations font suite à un état des lieux consensuel, après avoir été alerté des complications possibles de ces prothèses. Une patiente sur 30 environ est victime de complications, nécessitant une prise en charge chirurgicale dès les premiers symptômes, et de manière spécifique pour chaque patiente, étant donné la particularité de chaque complication. Les conséquences peuvent être lourdes, avec des altérations significatives, parfois bien plus importantes qu'avant l'intervention… Il est donc nécessaire pour le praticien d'évaluer la balance bénéfice-risque, d'informer sa patiente, avant d'envisager la pose d'une prothèse vaginale.

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La surveillance active est un des choix thérapeutiques se présentant à un patient avec un cancer de la prostate « localisé » (c'est à dire sans métastases), et de faible risque d'évolution du cancer (stade précoce du développement tumoral).

Depuis une dizaine d'années, la surveillance active prend une place de plus en plus importante dans le choix du patient et de son urologue, évitant l'exposition aux autres options thérapeutiques, parfois plus radicales telle la chirurgie ou la radiothérapie. Malgré des biopsies répétées, les patients conservent une certaine qualité de vie, la surveillance se faisant d'une manière plus ou moins prolongée. Les autres traitements permettent de traiter le cancer, mais ne sont pas sans complications (incontinence urinaire, troubles de l'érection…). C'est pourquoi la surveillance active rentre aujourd'hui dans les standards de traitement du cancer de la prostate.

Une sélection de plus en plus précise des patients

Les critères pour inclure un patient en surveillance active sont un PSA inférieur à 10 ng/ml, un toucher rectal ne mettant pas en évidence de tumeur localement avancée et des biopsies montrant des lésions cancéreuses peu agressives. Ces critères sont encore amenés à évoluer, car depuis cette année, l'IRM prend désormais une place obligatoire dans les recommandations de diagnostic. En effet, l'IRM est devenue un incontournable du bilan, contribuant à préciser la taille et l'agressivité du cancer, et orientant éventuellement l'urologue pour la réalisation de « biopsies ciblées » sur la tumeur en question.

Quel protocole de surveillance ?

Les contrôles se font tous les trois à six mois, avec un examen clinique et un dosage du PSA. L'IRM est également répétée au bout d'un an, et il faudra réaliser de nouvelles biopsies de confirmation, 18 mois après la première. Cette deuxième biopsie peut faire sortir le patient du protocole de surveillance active, si une lésion plus agressive est mise en évidence. Dans ce cas, seul un traitement curatif sera envisagé, avec le choix parmi les traitements précédemment cités. L'anxiété peut également être une contre-indication à la surveillance active, avec environ 10 % des patients qui en sortent pour cette raison. L'amélioration de l'évaluation initiale par imagerie et biopsies ciblées diminue ces risques de restadification, permettant une meilleure adhésion des patients.

La surveillance active apparaît donc comme l'option de choix pour des patients à un stade précoce de la maladie du fait d'une meilleure qualité de vie, et doit être considérée autant que les traitements du cancer localisé.

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Les tarifs de téléconsultation et de télé expertise ont été définis en juin 2018. Depuis le 15 septembre, les médecins peuvent proposer à leurs patients une consultation à distance remboursable par l'Assurance maladie. Cela devrait faciliter l'accès aux soins et réduire les délais d'accès à un spécialiste, notamment dans les zones à faible densité médicale.

On distingue la téléconsultation de la télé expertise. L'une consiste à voir son médecin à distance via des moyens de communication digitale, l'autre représente pour un professionnel de santé, la possibilité de solliciter l'avis d'un confrère en vue d'une meilleure prise en charge du patient. La télé expertise est conditionnée à l'utilisation par le praticien, d'une messagerie sécurisée et à l'accord préalable du patient. Dès février 2019, la télé expertise concernera les patients atteints d'affections de longue durée, de maladies rares, résident en EHPAD ou en institution médico-sociale ou encore dans des zones à faible densité médicale. Les détenus bénéficieront également du système de télé expertise qui sera étendu à l'ensemble de la population en 2020.

La télé consultation va permettre à un patient de voir son médecin, quelle que soit la spécialité, sans se déplacer ou en limitant les déplacements à un lieu de télé consultation proche si le médecin est géographiquement éloigné. Toutes les spécialités médicales sont concernées par la mise en place de la télé consultation. Sauf avis contraire du médecin qui souhaiterait un face à face dans une situation particulière, tous les rendez-vous médicaux peuvent se faire en télé consultation à la condition que le médecin connaisse son patient et l'ait déjà vu lors d'une consultation physique au cours des 12 derniers mois. La télé consultation s'inscrit dans le parcours de soins coordonné. Comme pour une consultation traditionnelle, un spécialiste ne sera donc télé consulté qu'après orientation du médecin traitant.

Les modalités de la télé consultation

D'un point de vue pratique, le patient ou son accompagnant (famille, ami, infirmier, médecin traitant…) doit disposer d'un ordinateur, d'une tablette ou d'un smartphone, équipés d'une webcam et connectés à internet. La connexion se fait via un site internet ou une application sécurisée. Hormis l'équipement, la date et l'heure de connexion qui sont envoyées au patient en amont, la téléconsultation se déroule comme une consultation traditionnelle, le patient ayant préalablement fait part de son consentement au médecin. Une ordonnance électronique peut être établie en fin de consultation pour prescrire des examens complémentaires ou la prise de médicaments. Comme pour toute consultation en cabinet, le praticien rédigera un compte rendu qui sera archivé dans le Dossier Médical Partagé (DMP) et transmis au médecin traitant. La prise en charge des dépenses de téléconsultation ne diffère pas des consultations en cabinet et le tarif est également le même : entre 23 € et 58,50 € selon la spécialité et le secteur d'exercice du médecin (secteur 1, secteur 2). Si le médecin traitant accompagne le patient lors d'une téléconsultation avec un spécialiste, il peut facturer sa consultation au tarif habituel en supplément de la consultation du spécialiste. La téléconsultation peut être réglée par chèque, virement bancaire ou paiement en ligne. La carte Vitale du patient ne peut en revanche être utilisée pour une téléconsultation. Pour assurer le remboursement de l'acte par l'Assurance maladie, le médecin traitant utilise les données préalablement enregistrées de son patient ou les communique en amont au spécialiste qui effectuera la téléconsultation.

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C'est ce que vient de démontrer l'Université de Chigago dans une étude sur la vie sexuelle des personnes âgées atteints de démence, montrant la persistance d'une activité sexuelle malgré la démence. Une sexualité non sans troubles, liés à l'âge avancé et à l'association à d'autres pathologies, qui ne vont pas être exprimés par ces patients, engendrant un défaut de prise en charge.

Les personnes âgées continuent d'avoir une vie sexuelle, même lorsqu'elles sont atteintes de troubles cognitifs. Ce sujet, rarement abordé, a fait récemment l'objet d'une étude, publiée en septembre dans The Journal of the American Geriatrics Society. Les chercheurs, spécialistes en gériatrie à l'université de Chicago, ont analysé les données d'un projet d'ampleur nationale sur les données sociales et médicales de personnes âgées, le National Social Life, Health and Aging Project (NSHAP), et ont ainsi pu réaliser une enquête annuelle portant sur un échantillon de sujets américains âgés vivant à domicile.

Les données sur les deux années 2010-2011 ont été analysés par les auteurs, et la population incluait 3196 personnes (53 % de femmes) âgés de 62 à 91 ans. Un test cognitif validé a été utilisé (le Montreal Cognitive Assessment) et a ainsi permis de classer les sujets selon leur statut cognitif : normal (55 % de l'échantillon), troubles cognitifs légers (27 %), et syndrome démentiel (18 %). Les personnes devaient toutes fournir un consentement après avoir reçu une information claire, loyale et appropriée, les sujets atteints de démence sévère étant donc exclus de l'étude.

Des patients sexuellement actifs
Au total, 83 % des hommes et 57 % des femmes déclaraient vivre avec un partenaire, mais seulement 72 % des hommes et 35 % des femmes atteints de démence. Dans le groupe « démence », 46 % des hommes et 18 % des femmes étaient sexuellement actifs (dans les 12 mois précédents l'enquête). Un autre résultat important était de voir que les personnes atteintes de démence et vivant en couple conservait une activité sexuelle : c'était le cas pour 59 % des hommes et 51 % des femmes déments.
Les trois pratiques les plus représentées étaient le coït vaginal (75% des patients quel que soit le statut cognitif), la stimulation manuelle par le partenaire (un peu moins de 50% chez les hommes et femmes démentes), et la masturbation (respectivement 25 % et 10 %).

Une prise en charge insuffisante
Autre constat : les trois-quarts des personnes âgées interrogées rapportaient un ou plusieurs problèmes d'ordre sexuel. Si le désintérêt pour le sexe frappait indépendamment du statut cognitif (60 % des hommes et 34 % des femmes), les troubles de l'érection touchaient moins les hommes déments (29 %) que les hommes du groupe « normal » (46 %). Il en allait de même pour les problèmes de sécheresse vaginale, qui concernaient 12 % des femmes démentes, contre 27 % dans le groupe « normal ».
Un problème qui n'est pas exprimé par les patients à leur médecin, avec des chiffres qui parlent pour eux: 17 % des hommes déments (contre 33 % dans le groupe « normal ») et 1,4 % des femmes démentes (contre 12 % dans le groupe « normal ») avaient consultés pour ces troubles sexuels. « Beaucoup connaissent des dysfonctions sexuelles qui ne sont pas diagnostiquées par un médecin mais pourraient être pris en charge », explique Stacy Tessler Lindau, gériatre à l'université de Chicago et auteur sénior de l'étude, dans les colonnes de Medscape US.

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Les cancers du rein (des cellules rénales, à différencier des cancers des voies urinaires) font partie des 10 cancers les plus fréquents, et peut exprimer en son sein des cellules très différentes au niveau génétique. Cette complexité cellulaire est une des limites de la thérapie dite « ciblée », qui va agir sur un seul type de mutation génétique. C'est que l'on appelle « l'hétérogénéité tumorale » à l'origine des récidives précoces de cancer.

Dans une étude, parue en octobre dans la revue internationale Science, deux équipes de recherche américaine se sont poser la question du profil génétique des métastases chez des patients qui n'étaient pas traités, et ont pu démontrer que les métastases présentaient en majorité les mêmes mutations, qu'on appelle « driver », conduisant la cellule tumorale à la métastase.
Pour un même patient, deux scénarios sont possibles. Les métastases peuvent descendre de la même population cellulaire du cancer du rein primitif, et partager ainsi les mêmes mutations « driver » (on qualifie ainsi les altérations ayant un impact majeur sur la progression de la maladie). Mais il est également possible qu'une différence de type de cellules tumorales au sein d'une même tumeur primitive donne lieu à une dissémination au niveau métastatique qui sera elle-même hétérogène, les métastases portant alors des mutations « driver » distinctes.

Des métastases homogènes
Pour réaliser cette étude, les équipes des Prs Bert Volgenstein (John Hopkins) et Martin Nowak (Harvard) ont récolté les données génétiques de 20 patients ayant eu au moins deux métastases non traitées et décédés de leur cancer : sein, colon-rectum, utérus, estomac, poumon, mélanome, pancréas et prostate. Au total, 76 métastases ont été analysées

En reconstituant l'histoire naturelle de la progression cancéreuse des patients, les chercheurs ont pu mettre en évidence que le cas de trouver des métastases avec des cellules hétérogènes au niveau génétique était un fait rare, avec un pourcentage de 10,5 % pour des patients atteint de quatre métastases détectables. Par ailleurs, cette probabilité est d'autant plus élevée que la tumeur primitive croît lentement au stade pré-métastatique.

Une bonne nouvelle pour la médecine de précision
« L'étude montre qu'il y a une homogénéité entre les métastases d'un même individu », résume le Pr Antoine Valeri, urologue à l'hôpital de la Cavale Blanche (CHRU Brest). « Ou dans le cas contraire, la part d'hétérogénéité concerne des gènes peu ou pas fonctionnels. ». Cela permet d'apprécier une frontière dans la complexité de la part génétique des cancers. On peut donc penser que les thérapies ciblées sur ces mutations auront des résultats constants sur la plupart des patients cancéreux.
D'autres travaux ont été développés dans le cancer de la prostate, poursuit l'urologue brestois, avec notamment la découverte d'un éventuel traitement qui lutterait contre des mutations retrouvées dans le cancer de la prostate. « Des travaux ont montré que 15 à 20 % des cancers de la prostate métastatiques pourraient avoir de telles altérations génétiques, et des essais thérapeutiques sont en cours. » La médecine de précision, bientôt une réalité dans le cancer de la prostate ?

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Le saviez-vous ? Chez les femmes, le nombre de décès attribuables au tabac a doublé entre 2000 et 2014. La troisième édition du Mois Sans Tabac est l'occasion de rappeler les conséquences du tabagisme sur la santé et les soutiens associatifs possibles pour arrêter de fumer.

Cancers du poumon et maladies cardio-vasculaires explosent chez les consommatrices de tabac. Le nombre de décès liés à l'usage du tabac chez les femmes a été multiplié par 7, passant de 2 700 en 1980 (1 % de tous les décès) à 19 000 en 2010 (7 % de tous les décès)*. Chose surprenante, si les hommes ont tendance à moins fumer, ce n'est pas le cas des femmes, notamment celles âgées de 45 à 64 ans. Une femme sur quatre âgée de 18 à 75 ans consomme du tabac. Les chiffres parlent d'eux-mêmes : entre 2000 et 2014, la mortalité par cancer du poumon a augmenté de 71 % chez les femmes de 55 à 64 ans alors qu'elle a diminué de 15 % chez les hommes. L'incidence des infarctus du myocarde avant 65 ans a augmenté de 50 % chez les femmes (16 % chez les hommes). Le cancer du sein qui fait 12 000 victimes par an, ne sera bientôt plus le cancer féminin le plus meurtrier. Le cancer du poumon retire chaque année la vie à 10 000 femmes.

Un mois pour arrêter
Le Mois Sans Tabac compte cette année plus de 210 000 inscrits (33 % de plus qu'en 2017). L'occasion de rappeler aux femmes, aux futures mères, mais aussi aux hommes, les dangers du tabagisme sur la santé et d'accompagner les fumeurs dans leur démarche d'arrêt de la cigarette. Pour les encourager, il est important de noter que les effets bénéfiques de l'arrêt de la consommation de tabac sont rapidement constatables. A 8 heures de la dernière cigarette, l'oxygénation des cellules redevient normale et en 24 heures, l'organisme est débarrassé de toute nicotine. Quant au souffle, il s'améliore dès le troisième jour après l'arrêt.

Se faire aider
Entre 2016 et 2017, 1 million de fumeurs ont éteint leur dernière cigarette. Il en resterait 12 millions à convaincre du bienfondé de ce geste. Le sevrage tabagique nécessite un accompagnement. De nombreuses associations soutiennent les fumeurs qui veulent arrêter. Il ne faut pas hésiter à demander de l'aide en passant par son médecin traitant, un tabacologue ou en contactant l'une des nombreuses associations dont certaines ont des antennes régionales. A l'occasion du Mois Sans Tabac, véritable défi collectif, un kit d'arrêt est disponible dans les pharmacies. Plusieurs applications comme celle de l'Assurance Maladie (Tabac info service, l'appli), sont également téléchargeables sur l'App Store. Vous y trouverez des programmes d'e-coaching personnalisés, des conseils de tabacologues, des astuces et des mini-jeux, des vidéos de soutien et un suivi des bénéfices de l'arrêt du tabac au quotidien. 

*Comité National contre le cancer

Quelques associations qui peuvent vous soutenir :

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Le service de prévention de la santé aux USA, recommande un dépistage individuel du cancer de la prostate chez les hommes qui le souhaitent entre 55 et 69 ans, accompagné d'une information éclairée sur les bénéfices et les risques liés aux traitements.

Chaque année, plus de 71 000 hommes sont touchés par le cancer de la prostate. Plus il est détecté tôt, plus il est traité. Le but du dépistage est d'identifier les patients ayant un cancer de la prostate localisé de haut risque et qui peuvent bénéficier d'un traitement qui préviendrait la morbidité et la mortalité en rapport avec un cancer avancé ou métastatique. Le service de prévention de la santé aux USA a voulu estimer les réels bénéfices et inconvénients d'un dépistage du cancer de la prostate à partir du PSA chez les hommes entre 55 et 69 ans.

Le dépistage, utile mais pour qui ?
Les résultats de l'étude américaine sont surprenants. Sur une période de 13 ans, pour 1000 hommes dépistés, 1,3 d'entre eux auront évité une mort par cancer de la prostate grâce au dépistage et 3 une évolution métastatique.
De plus, le dépistage entrainait un sur-traitement pour 20 à 50 % des hommes dépistés. Or les traitements ne sont pas sans effets secondaires, tels l'incontinence urinaire et la dysfonction érectile par exemple. Alors le dépistage pourquoi et pour qui ?
Le service de prévention de la santé aux USA, recommande un dépistage individuel pour les hommes entre 55 et 69 ans qui ont une plus forte chance d'en tirer un avantage réel. Mais seulement après une information éclairée sur les bénéfices et les inconvénients du dépistage. Pour les hommes de plus de 70 ans, le dépistage n'est pas recommandé. Cependant, une vigilance est requise pour les populations dites à risque, comme les patients avec un antécédent familial ou les patients avec une ascendance africaine.

Les recommandations européennes
Les données américaines et européennes ne sont pas entièrement identiques. La réduction de la mortalité observée pour l'Europe est plus conséquente, de 19 à 21 % contre 6 à 8 % pour l'étude américaine. Ces différences semblent être liées davantage au protocole d'essai et aux milieux de pratique qu'à l'efficacité du dépistage.
Les recommandations peuvent donc varier. Selon l'AFU, le diagnostic précoce est recommandé, pour les hommes entre 50 et 75 ans ayant une probabilité de survie prolongée de 10-15 ans. Ils doivent bénéficier d'une information éclairée sur les modalités, les enjeux et les risques éventuels. La démarche diagnostique associe la recherche de facteurs de risque comme les antécédents familiaux de cancer de la prostate et du sein, l'origine ethnique africaine ou afro-caribéenne, avec la réalisation d'un toucher rectal et du dosage du PSA.

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Si les douleurs pelviennes telles que l'endométriose, le syndrome prémenstruel, ou autres, sont fréquentes chez la femme, on sait moins que l'homme aussi peut en souffrir. Mais les hommes osent rarement évoquer ce sujet avec leur médecin… Il y a pourtant des solutions.

En France, le syndrome douloureux pelvien chronique (SDPC) reste relativement méconnu, malgré le fait qu'entre 10 000 et 50 000 nouveaux cas sont détectés chaque année, estime une enquête de l'AFU. Contrairement aux femmes, les hommes parlent peu des troubles affectant leur région génitale. Le sujet reste tabou. Mais le retentissement de ces douleurs peut être majeur, pouvant entraîner des syndromes dépressifs sévères.

Des douleurs fantômes

Brûlures au moment d'uriner, élancement au niveau des testicules, éjaculation douloureuse sont autant de formes que peut prendre ce syndrome. Lorsqu'elles durent plus de 6 mois, on parle de douleurs pelviennes chroniques. Le SDPC peut survenir à n'importe quel âge.

Ces douleurs inquiètent à juste titre les hommes qui redoutent de souffrir d'un cancer ou d'une autre affection grave. Parfois lors de l'examen clinique ou de l'interrogatoire, le médecin retrouvera les traces d'une infection ancienne, ou d'une chirurgie pelvienne. Mais dans la plupart des cas, il n'existe aucune cause connue. Tous les examens reviennent normaux. Il n'y a ni cancer, ni infection, ni aucun signe de maladie. Ils n'ont « rien » et pourtant la douleur est bien là.

Reconnaître la souffrance

Le SDPC doit être pris en charge par une équipe pluridisciplinaire, dont l'urologue est le pivot. La souffrance du patient doit être reconnue même si on ne trouve aucun substrat organique.

La simple écoute est déjà une part du traitement. Des méthodes non médicamenteuses telles que la sophrologie, l'hypnose, ou la neurostimulation peuvent offrir un soulagement ou du moins de retrouver la vie la plus normale possible, en complément des antidépresseurs, des morphiniques, ou encore des médicaments urologiques selon les symptômes du patient.

Chaque année aux Journées d'Andrologie et de Médecine Sexuelle ou JAMS, les médecins se réunissent pour discuter des avancées, les actualités et des découvertes en andrologie et médecine sexuelle pour faire avancer la prise en charge des patients.

 

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Le 20 Septembre était la journée européenne de la Prostate. L'occasion pour les patients et les internautes de poser leurs questions à des urologues de l'AFU sur un Facebook chat.

La prostate a réuni experts de l'AFU et patients le 20 septembre dernier, à l'occasion de la Journée européenne de la prostate. A destination du grand public, l'évènement « Parlons-en ! » délit les langues sur un sujet encore tabou et sensibilise sur les pathologies.

Un format reconduit

Avec 34 questions posées, cinq vidéos et des milliers de vues, la campagne de communication visant à permettre au public de poser des questions autour de la prostate fut une belle réussite. Ce format adopté pour l'édition précédente, ainsi que pour la semaine de la continence urinaire en mars 2018 se reconduit avec succès.

Un clip de prévention, réalisé sur le ton de l'humour, invitait dès le 28 août à poser des questions sur les réseaux sociaux, mais également sur des sites d'information santé pour le grand public. Accumulant près de 100 000 vues et 240 partages uniquement sur Facebook, la campagne de prévention débute sur de solides bases.

Patients et spécialistes face-à-face

« Tous les visages de l'urologie étaient représentés : hommes, femmes, jeunes et moins jeunes », soulignait le Dr Christian Castagnola, vice-président délégué à la communication de l'AFU, présent toute l'après-midi pour le chat.

Les experts urologues , les Professeurs De la Taille, Gamé et Mongiat-Artus ainsi que les Docteurs Castagnola, Géraud, Bessede, Dominique, Pettenati et Pradère étaient sur le pont pour répondre au mieux aux questions qui portaient entre autre sur le rôle de la prostate, sur les maladies qui y sont associées comme le cancer, ou encore sur le déroulement d'une consultation chez l'urologue. Toutes les questions étaient bonnes à poser. Des exemples :

Pourquoi dit-on que la prostate est le point G de l'homme ?
Les Dr Bessede et Faix « Il n'existe pas de littérature scientifique confirmant l'existence d'une zone érogène au niveau de la prostate mais du plaisir est exprimé par certains hommes lors de la stimulation. »

Les femmes ont-elles une prostate ?
Les experts de l'AFU  « Non, seuls les hommes ont une prostate. Les femmes n'en ont qu'un reliquat embryologique. »

Les érections seront-elles affectées obligatoirement par une ablation de la prostate ?
Les Drs Dominique, Géraud et Pradère « Les érections ne sont pas obligatoirement affectées par la prostatectomie. Cela va dépendre du stade de la maladie, de la possibilité de conserver les nerfs et de la qualité de vos érections antérieures. La conservation des nerfs ne garantit pas une récupération complète des érections naturelles. Des solutions permettent de retrouver des érections aidées et des rapports sexuels de qualité. »

Le cancer de la prostate et de la vessie sont-ils liés ?
Les Drs Castagnola et Géraud « Non, il s'agit de deux maladies cancéreuses d'origines différentes, avec des terrains différents. Toutefois, du fait de leur proximité anatomique, il peut y avoir envahissement de la prostate lors d'un cancer de la vessie et vice-versa. »

Une calcification au niveau de la prostate est-elle grave ?
Les Drs Bessede, Castagnola et Géraud « Les calcifications de la prostate sont fréquentes et bénignes. Elles ne sont pas liées à un symptôme en particulier ou à une maladie. Elles ne sont pas précurseurs de cancer de la prostate. Elles ne nécessitent pas de traitement spécifique. »

Retrouvez toutes les questions réponses sur la page Facebook de URO France. Le succès de cette nouvelle rencontre montre clairement que les deux rendez-vous annuels avec le grand public que sont la Semaine de la continence et la Journée européenne de la prostate permettent une rencontre utile entre usagers et urologues. À réitérer !

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Le Centre d'Infection et d'Immunité de Lille, dirigé par le Professeur Camille Locht, organise LE CONGRES INTERNATIONAL DU BCG du 3 au 5 décembre 2018 à L'Institut Pasteur de Lille (1 rue du Professeur Calmette - 59019 Lille Cedex, France) à l'occasion de l'anniversaire des 110 ans des premiers travaux de Calmette et Guérin qui ont abouti à la découverte du Vaccin B.C.G.

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La mise en place des nouvelles règlementations en matière de protection des données touche particulièrement le milieu médical. Mais pas de panique : le patient n'a rien à faire et n'en fait que bénéfice.

Ces dernières années, les données ont été particulièrement vulnérables aux cyberattaques. En 2017, des logiciels particulièrement agressifs ont incité la Commission européenne à réfléchir à la protection des bases de données.

Le dossier médical des patients particulièrement prisé

Depuis le 25 mai dernier, le Règlement général sur la protection des données (RGPD) est entré en application, et les médecins doivent s'y plier, eux aussi. Ils sont en effet vulnérables, car ils manipulent des données de santé de leurs patients.

« On estime qu'un dossier médical peut se commercialiser à hauteur de 100 euros », précise le Dr Didier Legeais, président du syndicat national des chirurgiens urologues français. « Des informations intéressantes comme le numéro de sécurité sociale des patients et les données bancaires facilitent la production de fausses cartes Vitale et l'accès au phishing*, par exemple ».

Quelques obligations administratives, mais rien pour le patient

Le RGPD est conçu pour limiter ces risques. Le milieu médical se doit d'augmenter sa vigilance afin de sécuriser au mieux les données personnelles de ses patients. « Un responsable de la sécurité des données dans chaque cabinet ou société d'exercice doit être désigné pour mettre en place des procédures de contrôle », explique le Dr Legeais.

Les établissements de santé et les praticiens libéraux dans leur cabinet doivent appliquer les consignes du RGPD. Sans protection des données, ils peuvent théoriquement s'exposer à une peine allant jusqu'à 5 ans de prison et 300 000 euros d'amende !

Le médecin se doit de protéger son ordinateur et le secret médical

« Dans l'ensemble, ces mesures expliquées par l'Ordre des médecins et la Cnil, sont basées sur le bon sens », estime le Dr Didier Legeais, comme sécuriser leur ordinateur, faire des mises à jour régulières, limiter le contact de l'ordinateur avec des réseaux extérieurs ou des clés USB non sécurisées.

« Le RGPD est aussi l'occasion de rappeler aux médecins qu'ils traitent des données très sensibles et qu'ils doivent les sécuriser », souligne-t-il, le secret médical devant être protégé de manière absolue.

 

* Ou hameçonnage : grâce aux données recueillies, la victime reçoit un mail qu'elle croit provenir d'une personne de confiance, qui l'incite à fournir des données sensibles (mot de passe, numéro de carte de crédit, etc.)

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Les recommandations RAAC cystectomies sont maintenant en ligne. Elles vont vous permettre de vous engager dans ce mode de prise en charge pour vos patients (si vous ne le faites pas déjà). Faire de la RAAC, c'est diminuer la morbi-mortalité de vos patients et vos DMS. Vous verrez que, à terme tous vos patients pourront en bénéficier car la démarche engagée pour les interventions lourdes telle la cystectomie totale peut se décliner pour toutes les autres interventions. Faire de la RAAC c'est modifier votre prise en charge et vos pratiques en anticipant l'acte opératoire et en conduisant votre patient dans les meilleures conditions vers la chirurgie (préhabilitation), ce qui permettra ensuite une accélération du process (réalimentation rapide, mobilisation précoce, etc) au bénéfice du patient.

Vous pouvez aussi faire un audit de vos cystectomies. L'AFU a développé en collaboration avec le groupe GRACE, une grille pour cet audit. Elle est facile d'accès et d'utilisation. Elle est gratuite et il n'est pas nécessaire d'être membre du groupe GRACE. Vous pouvez la remplir au fur et à mesure de la prise en charge du patient, en impliquant votre équipe (anesthésiste, infirmière). L'AFU disposera ainsi d'une base de données importante.

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  • Dépistage du cancer de la prostate : pour ou contre ?

    31 octobre 2018 - Articles d'actualité

    Le service de prévention de la santé aux USA, recommande un dépistage individuel du cancer de la prostate chez les hommes qui le souhaitent entre 55 et 69 ans, accompagné d’une information éclairée sur les bénéfices et les risques liés aux traitements. Chaque année, plus de 71 000 hommes sont touchés par le cancer de […]

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  • Douleurs pelviennes chroniques, l’homme aussi

    31 octobre 2018 - Articles d'actualité

    Si les douleurs pelviennes telles que l’endométriose, le syndrome prémenstruel, ou autres, sont fréquentes chez la femme, on sait moins que l’homme aussi peut en souffrir. Mais les hommes osent rarement évoquer ce sujet avec leur médecin… Il y a pourtant des solutions. En France, le syndrome douloureux pelvien chronique (SDPC) reste relativement méconnu, malgré […]

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  • Campagne « prostate » : les urologues au contact des patients

    28 octobre 2018 - Articles d'actualité

    Le 20 Septembre était la journée européenne de la Prostate. L’occasion pour les patients et les internautes de poser leurs questions à des urologues de l’AFU sur un Facebook chat. La prostate a réuni experts de l’AFU et patients le 20 septembre dernier, à l’occasion de la Journée européenne de la prostate. A destination du […]

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  • Congrès international du BCG

    25 octobre 2018 - Articles d'actualité

    Le Centre d’Infection et d’Immunité de Lille, dirigé par le Professeur Camille Locht, organise LE CONGRES INTERNATIONAL DU BCG du 3 au 5 décembre 2018 à L’Institut Pasteur de Lille (1 rue du Professeur Calmette – 59019 Lille Cedex, France) à l’occasion de l’anniversaire des 110 ans des premiers travaux de Calmette et Guérin qui ont […]

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  • RGPD : quels aménagements pour le milieu médical ?

    15 septembre 2018 - Articles d'actualité

    La mise en place des nouvelles règlementations en matière de protection des données touche particulièrement le milieu médical. Mais pas de panique : le patient n’a rien à faire et n’en fait que bénéfice. Ces dernières années, les données ont été particulièrement vulnérables aux cyberattaques. En 2017, des logiciels particulièrement agressifs ont incité la Commission européenne […]

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