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Chers collègues,
L'Agence National de Sécurité du Médicament (ANSM) a signalé le 9/05/2019 une pénurie nationale en Amétycine (mitomycine C) utilisée pour les instillations endovésicales. Celle-ci pourrait durer environ un mois.
L'épirubicine et la gemcitabine utilisées dans d'autres pays pour les instillations endovésicales ne disposent pas d'autorisation de mise sur le marché spécifique en France. Leur utilisation, même conforme aux protocoles décrits dans la littérature, engage la responsabilité individuelle du prescripteur en cas d'effet indésirable.
Pendant la pénurie, le Comité de Cancérologie de l'AFU recommande de surseoir aux instillations post-opératoires précoces (IPOP). Les instillations de BCG peuvent être utilisées pour les patients dont les risques de récidive et de progression le justifient (tumeur de risque intermédiaire). Pour les patients dont le programme d'instillations d'Amétycine a du être interrompu avant la quatrième instillation, le CCAFU recommande de réaliser une fibroscopie de contrôle et, si celle-ci est normale, de recommencer le programme de 8 instillations à son début.
Le Comité de Cancérologie de l'Association Française d'Urologie (CCAFU)
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L'éjaculation prématurée est la dysfonction la plus commune de la sexualité masculine. Les patients, souvent réticents à l'évocation de leurs problèmes, et les médecins, moins habitués à ce type de prise en charge, rendent ces troubles difficiles à diagnostiquer et à traiter. Le Dr Damien Carnicelli (Urologue-Andrologue et membre du CAMS AFU) résume les différents traitements disponibles pour les patients.
Ce n'est pas une maladie au sens médical du terme, et en ce sens rend la définition difficile à établir » rappelle Damien Carnicelli. « Le comportement sexuel masculin est en partie conditionné par sa physiologie. L'érection est un parfait exemple de mécanisme « réflexe » transitoire, sous l'influence des neurotransmetteurs ».
Une définition difficile
« Les premières études montraient une présence de ce trouble aux environs de 30 % de la population masculine, estimée désormais aux alentours de 4 % ». En 2007, une définition internationale est établie par l'International Society of Sexual Medicine. Elle est révisée en 2013 et associe une définition médicale et des conséquences personnelles négatives (la détresse, la peine, la frustration et/ou l'évitement de l'intimité? sexuelle. Pour le Dr Carnicelli, « réduire la sexualité masculine sur la durée n'a pas de sens
c'est tout l'intérêt de cette définition qui prend en compte la souffrance du patient et du partenaire ».
Plusieurs facteurs peuvent rentrer en cause dans cette pathologie. Des facteurs génétiques, psychologiques, et environnementaux peuvent aussi être provocateurs de ces troubles (stress, estime de soi, dysfonctions érectiles, peur de l'échec
).
Une prise en charge multiple
« Tout commence par une consultation dédiée, où l'on doit reformuler la plainte, rassurer le patient, et confirmer le diagnostic ». L'approche psycho-sexologique est la première ligne, permettant une meilleure communication avec son partenaire, et permettant de comprendre d'éventuels troubles psychologiques personnels. Les traitements interviennent en seconde ligne, sur des patients motivés, afin d'aider le couple.
Mais quel est le traitement pharmacologique idéal ? « Un traitement rapide et efficace lorsqu'il est pris avant un rapport à la demande, avec peu d'effets indésirables, et qui va augmenter la durée du rapport sans nuire à la nature même de l'éjaculation, et au plaisir ».
Les principaux traitements sont soit des anesthésiants locaux, soit des antidépresseurs.
D'autres traitements, nécessitant des injections ou gestes chirurgicaux, sont également disponibles en cas d'échec des médicaments.
La prise en charge de L'éjaculation prématurée est donc avant tout multiple, avec une thérapie comportementale de l'individu et du couple avec l'aide/complément d'un traitement.
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Les fiches infos traitements ont été mises à jour par le CA de l'AFU avec l'aide précieuse de plusieurs urologues experts lors du séminaire d'octobre 2018.
Elles sont incontournables en vue de programmer une intervention chirurgicale.
Elles fusionnent les fiches traitements et suites d'intervention et le formulaire de consentement éclairé.
Voici la liste des premières fiches mises à jour disponibles sur Urofrance :
Biopsie échoguidée de la prostate
Cathétérisme sus pubien
Condylomes
Curage Ganglionnaire Inguinal
Curage rétropéritonéal pour masse résiduelle
Curage Ganglionnaire rétropéritonéal d'évaluation pour cancer du testicule
Cure endoscopique de reflux vésico-urétéral
Cure de diverticule de vessie
Orchidectomie partielle
Orchidectomie totale
Pénectomie partielle
Pénectomie totale
Prothèse testiculaire
Sondage vésical
Urétrocystoscopie chez l'homme/Cystoscopie
Urétrocystoscopie chez la femme/Cystoscopie
Pour les télécharger : /lurologie-grandpublic/fiches-patient/fiches-traitements.html
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Depuis maintenant plus de 4 ans, l'équipe du CHU de Toulouse a développé une technique de résection en-bloc des tumeurs de vessie (en un seul morceau), par l'intermédiaire du Pr Malavaud et du Dr Roumiguié. Présentation de la technique avec le Dr Roumiguié du CHU de Toulouse.
La résection de tumeurs de vessie se fait par voie endoscopique, à l'aide d'un résecteur. Le résecteur est un instrument semi-circulaire qui passe par les voies naturelles, sectionnant une tumeur grâce à un courant électrique. Jusqu'à présent, les tumeurs sont découpées en plusieurs morceaux, récupérés également par les voies naturelles. Cette intervention pose plusieurs problèmes : obtenir une résection assez profonde, jusqu'au muscle de la vessie, sans laisser de tumeur, et éviter des complications post opératoires telles que les saignements de la paroi vésicale, qui peuvent engendrer une hospitalisation prolongée et parfois une nouvelle chirurgie. Une alternative à la résection classique semble avoir trouver sa place à Toulouse, avec la résection bipolaire en-bloc des polypes de vessie.
Une même technique opératoire pour toutes les résections
La technique de résection en-bloc se base sur l'utilisation d'une anse avec un courant électrique particulier, et une incision circulaire faite autour de la tumeur, avec une marge de 5 à 10 mm « Les points importants lors d'une résection en-bloc sont la manière d'aborder la tumeur, avec une « dissection » totalement nouvelle. Il faut également avoir une section brève et précise, et parfois s'aider de la caméra afin de pousser ou soulever la tumeur » précise le Dr Roumiguié.
Des résultats et des bénéfices
Présentée en novembre dernier lors du dernier congrès français d'Urologie, cette technique avait déjà fait l'objet d'une évaluation après les 30 premiers patients, deux ans auparavant (1). Cette étude avait montré de bons résultats, et seulement 10 % de complications, tous grades confondus.
Depuis, cette technique a fait ses preuves, avec les nombreux avantages qu'elle propose, telle la conservation de la structure entière de la tumeur (2). « Cela permet une analyse complète de la profondeur de la tumeur ainsi que de son extension au sein du tissu vésical et bien entendu de savoir si l'on a retiré l'ensemble de la tumeur ou non. Cette technique est également utile dans la confirmation de présence de muscle dans les résections pour caractériser une tumeur agressive », explique le Dr Roumiguié.
La résection du polype en-bloc respecte les grandes règles de la chirurgie réalisée pour des cancers, avec un retrait complet de la tumeur (a contrario de la résection classique) et permet donc de mieux stadifier la tumeur, quand on sait les difficultés que peuvent s'avérer l'analyse de ces tissus, la présence ou non de muscle, et les multiples morceaux envoyés par le chirurgien. Ce travail de stadification est essentiel pour le pronostic et pour la suite de la prise en charge.
La résection en-bloc a donc de beaux jours devant elle pour les résections de tumeurs de vessie
Références
1. Présentation CFU 2017 : Résultats d'une expérience de la résection transurétrale de vessie en-bloc : à propos de 30 patients B Covin et al.
2. Présentation ESOU 2019 (European Section of Onco Urology): Is en-bloc TURB the best staging tool? Malavaud B et al.
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L'immunothérapie permet de cibler un phénomène naturel, celui de l'activation du système immunitaire face aux agressions telles que le développement de cellules cancéreuses. Le point en urologie sur les dernières études et les nouveautés présentées lors du dernier Congrès de l'Association Française d'Urologie par le Pr Yann Neuzillet (Foch, Paris).
L'année 2018 a été riche pour l'immunothérapie, avec un prix Nobel de Médecine attribué à Allison et Honjo pour leurs travaux sur ce nouveau type de traitement anti-cancéreux. L'immunothérapie permet de renforcer le système immunitaire afin de reconnaitre des cellules présentant une agression au sein de l'organisme. En urologie, de nombreuses études ont été publiées concernant les cancers de la vessie et des voies urinaires. Le résumé avec le Pr Yann Neuzillet.
L'immunothérapie dans les cancers métastatiques
« Le cancer de la vessie reste une pathologie très variée, allant de la petite tumeur localisée jusqu'au cancer métastatique, en passant par la récidive cancéreuse agressive.
Concernant les patients métastatiques, il existe une période où ces derniers deviennent réfractaires à la chimiothérapie, diminuant drastiquement leur espérance de vie à quelques mois. »
De nombreuses études préliminaires ont été réalisées sur deux types d'immunothérapie (le Pembrolizumab et l'Atézolizumab), avec des résultats surprenants sur la survie globale, permettant de passer à des études de plus grande ampleur. Ces dernières n'ont retrouvé des résultats positifs que pour le Pembrolizumab1. « Le principal problème de l'étude de l'Atézolizumab était avant tout un défaut de méthodologie » souligne le Pr Neuzillet.
Les résultats montraient une réponse objective pour 28,6% des patients sous Pembrolizumab, avec des preuves suffisantes pour en faire un traitement de référence. Malheureusement la Haute Autorité de Santé refuse pour l'instant le remboursement, rendant ce médicament difficile à prescrire dans un établissement de santé.
D'autres études sont également en cours pour débuter par l'immunothérapie chez des patients métastasiques, avec des résultats préliminaires montrant un taux de réponse de 55% pour des patients sélectionnés. On sélectionne alors une population de patients possédant un certain type de marqueurs tumoraux.
L'immunothérapie en traitement d'appoint et avant la chirurgie pour les cancers localisés
L'immunothérapie agissant à tous les stades de la maladie, des essais sont aussi réalisés en traitement après ou avant chirurgie ; certaines études montraient jusqu'à 42% de disparition de la tumeur avant chirurgie, et jusqu'à plus de 50% chez les patients avec une forte expression du récepteur concerné.
Des résultats encourageants pour l'immunothérapie, qui est donc appelée à devenir l'un des outil thérapeutique de référence dans les prochaines années en onco-urologie.
Références
1 Del Alba G, A., Velasco G, Lainez N, Maroto P, Morales-Barrera R, Muñoz-Langa J et al.
SEOM Clinical Guideline for Treatment of Muscle-Invasive and Metastatic Urothelial Bladder Cancer.
Clinical & Translational Oncology: Official Publication of the Federation of Spanish Oncology Societies and of the National Cancer Institute of Mexico, December 18, 2018.
2 Galsky MD, Powles T, Li S, Hennicken D, Sonpavde G.
A Phase 3, Open-label, Randomized Study of Nivolumab Combined With Ipilimumab, or With Standard of Care Chemotherapy, Versus Standard of Care Chemotherapy in Participants With Previously Untreated Unresectable or Metastatic Urothelial Carcinoma. Journal of clinical oncology (en cours).
3 Necchi A, Anichini A, Raggi D, Briganti A, Massa S, Lucianò R et al.
Pembrolizumab as Neoadjuvant Therapy Before Radical Cystectomy in Patients With Muscle-Invasive Urothelial Bladder Carcinoma (PURE-01): An Open-Label, Single-Arm, Phase II Study. Journal of Clinical Oncology: Official Journal of the American Society of Clinical Oncology, October 20, 2018, JCO1801148.
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Pour la cinquième année, l'AFU a organisé un Facebook chat destiné aux patients à l'occasion de la semaine de la continence. Cette année, elle a répondu à des questions plus polémiques, notamment sur les complications des prothèses vaginales.
L'AFU a instauré deux grands rendez-vous annuels avec les patients. L'un, en septembre, à l'occasion de la Journée européenne de la prostate, et l'autre, en mars, pour la semaine de la continence. Pour informer au mieux les patients, qui n'osent parfois pas consulter leur urologue, ce rendez-vous est centré sur un Facebook chat.
La cinquième édition, organisée le 21 mars, a réuni les experts de l'AFU autour de l'incontinence urinaire, mais aussi autour de la descente d'organes, et des différents types de matériaux utilisés. « Par rapport aux autres années, nous avons abordé un sujet plus polémique », explique Christian Castagnola, vice-président de l'AFU en charge de la communication. « Je pense que c'était important de réaffirmer la position de l'AFU, qui n'a jamais ignoré les problèmes avec les implants ».
Le Facebook chat était donc aussi l'occasion d'ouvrir un espace de discussion pour expliquer cette position face à des patients parfois inquiets, et pour préciser les risques liés aux implants médicaux. De nombreuses questions ont été posés durant ce chat, allant d'informations sur la musculation du périnée aux complications sur les bandelettes luttant contre l'incontinence. Un nombre important d'interrogations sur les prothèses vaginales et le « Implant File » ont permis aux patientes d'être mieux informées.
La sexualité était également abordée, sujet souvent tabou et dont l'anonymat a permis aux femmes d'avoir enfin des réponses à des questions parfois « gênantes » en consultation.
Un premier pas pour s'informer
Le dispositif mis en place est maintenant rôdé. Christian Castagnola et Xavier Gamé, Secrétaire général, ont tourné quatre vidéos annonçant l'événement. Début mars, deux spots d'information un sur l'incontinence urinaire et l'autre sur le prolapsus qui ont touché plus de 50 000 personnes, avaient également été mis en ligne. Ensuite, le 21 mars, les experts bénévoles de l'AFU qui se sont rendus disponibles pour l'occasion Xavier Gamé, Véronique Phé, Marc Géraud et Adrien Vidart ont répondu à 39 questions sur la soixantaine posée par les internautes (les autres étant souvent redondantes).
Cette fois encore, l'événement organisé par l'AFU a permis aux patients qui ressentent de la honte sur ces pathologies de s'informer anonymement et d'obtenir des réponses précises. Et, à défaut, parce que le Facebook chat n'est pas une consultation, il en aura certainement aidé d'autres à faire ce premier pas vers un urologue.
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Réalisée en décembre dernier pour le compte de la startup TripleW, une enquête Ifop* en dit long sur la perception de l'incontinence urinaire par les français et leurs attentes en matière de prévention.
Près de la moitié des français (43 %) considère l'incontinence urinaire comme un sujet tabou. Plus on est jeune, plus le sujet est perçu comme gênant. 57 % des moins de 35 ans sont de cet avis alors que plus on avance en âge, moins l'incontinence serait un sujet gênant. Les 50-64 ans sont 37 % à trouver le sujet tabou alors qu'ils ne sont plus que 30 % après 65 ans.
Sujet tabou mais très répandu !
Il est intéressant de comparer ces chiffres à l'importante proportion de personnes impactées par les fuites urinaires. Le sujet est largement tabou alors que l'enquête Ifop précise pourtant que plus d'un français sur trois (37 %) âgé de 18 ans et plus est concerné par le phénomène d'incontinence urinaire. Si seulement 9 % de cette catégorie d'âge déclare être personnellement touché, les plus jeunes sont 19 % à l'être par l'intermédiaire d'une personne de leur entourage familial, amical ou professionnel et 11% par l'intermédiaire de plusieurs personnes dans leur environnement proche. L'âge avançant, c'est à titre personnel que les français sont impactés par les fuites urinaires. 13 % des 65-74 ans interrogés dans le cadre de l'enquête et 23 % des 75 ans et plus se déclarent eux-mêmes concernés.
L'attente de solutions
Cette enquête avait entre autres pour objectif de comprendre les attentes des français en matière de solutions préventives possibles pour conserver une bonne qualité de vie malgré l'incontinence. Il en ressort que parmi les attentes des personnes souffrant d'incontinence urinaire, la capacité à prédire l'envie d'uriner avant que le problème ne survienne, arrive en tête des plébiscitassions (42 %). Cette proportion s'élève avec l'âge et passe loin devant le besoin de contrôler ou de mesurer à tout moment l'accumulation d'urine dans la vessie (19 %). Ainsi, pouvoir prédire la miction avant qu'elle ne survienne par le biais d'une technologie particulière, serait un confort majeur pour les personnes souffrant d'incontinence urinaire. Limiter l'usage des couches n'est une priorité que pour 15 % des personnes interrogées.
*Les français et l'incontinence urinaire, étude réalisée par l'Ifop pour l'agence Mille Soixante Quatre, en décembre 2018, auprès d'un échantillon de 1014 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
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L'incontinence urinaire touche plus de la moitié des personnes de plus de 65 ans. Elle est une source fréquente de consultations en urologie. Un problème qui n'est pas à négliger car cela peut avoir des conséquences sur la qualité de vie, ce qui en fait une des priorités des gériatres.
Les personnes âgées constituent une part importante de la consultation d'un urologue, que ce soit pour des fuites urinaires, des difficultés de miction, ou tous les symptômes directement ou indirectement reliés. La prise en charge peut s'avérer très difficile du fait de leurs conditions, qui peuvent être complètement différentes. Avant toute prise en charge médicale, il faut considérer la personne âgée dans sa globalité. Il est important de peser la balance bénéfice/risque en fonction de leurs fragilités et des autres pathologies (Hypertension artérielle, diabète, insuffisance rénale,
).
Par exemple, en cas d'incontinence par urgenturie*, un traitement médical est le plus souvent prescrit d'emblée. Le Dr Cyrielle Rambaud (gériatre, CHU Nice) rappelle les règles de prudence : « Certains médicaments, comme les anticholinergiques, ne sont pas à bannir chez la personne âgée mais leur prescription doit être raisonnable et raisonnée. En effet, les anticholinergiques peuvent conduire à une aggravation de troubles cognitifs ou à une confusion chez les patients présentant une fragilité préexistante. Le risque sera d'autant plus grand si le patient prend d'autres traitements, car il peut exister une accumulation d'autres traitements ayant des propriétés anticholinergiques ».
Cette prescription doit reposer sur des échelles, qui classent les médicaments en plusieurs catégories en fonction de leur dose active. « La qualité de vie chez les personnes âgées est à privilégier. Il faut pouvoir dépister les fragilités de ces derniers, et informer non seulement le patient mais également l'entourage, des effets secondaires potentiels des traitements instaurés. Un suivi régulier est également essentiel avec réévaluation du traitement, les perdus de vue étant souvent les plus fragiles et à risque de décompensation globale. »
Une prise en charge multidisciplinaire
Il est utile de mettre en place une discussion entre l'urologue et le gériatre avant la prise de décision thérapeutique médicale ou chirurgicale. L'important est de de ne pas brûler les étapes et de pouvoir dépister les patients à risque pour éviter d'éventuelles complications gériatriques.
La personne âgée est par définition un patient complexe pouvant présenter de nombreuses fragilités. Savoir privilégier la qualité de vie est le plus important, afin de ne pas traiter seulement un « symptôme » mais bien une personne dans sa globalité
*Fuites dans des situations particulières, comme lors du contact avec le froid, associée à d'autres symptômes comme les mictions fréquentes et/ou nocturnes
[post_title] => L'incontinence urinaire de la personne âgée : le point de vue du gériatre
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Assurer aux patients une prise en charge médicale et chirurgicale optimale est un enjeu majeur pour l'Association Française d'Urologie. Au travers d'ateliers de simulation, l'AFU offre aux urologues la possibilité de se perfectionner aux gestes techniques et d'apprendre à maîtriser les événements indésirables lorsqu'ils surviennent malgré tout.
Dans sa pratique quotidienne, le médecin doit savoir prévenir les risques d'effets indésirables liés aux actes médicaux et chirurgicaux. Il en va de la protection des patients bien sûr, mais aussi de celle des urologues qui effectuent les actes. En tant qu'organisme accréditeur et en partenariat avec la Haute Autorité de Santé (HAS), l'AFU propose aux urologues de s'inscrire dans une démarche d'accréditation, procédure permettant de se former aux bons gestes et aux bonnes pratiques. Il s'agit d'une démarche volontaire de gestion des risques entamée par les médecins et les équipes médicales. Ils n'y sont pas contraints, mais en s'inscrivant dans une démarche d'accréditation, en identifiant et en déclarant tous les événements indésirables associés à leur pratique médicale, ils contribuent à améliorer la qualité et la sécurité des soins. L'objectif ultime de l'accréditation, formation validant le DPC (développement professionnel continu) des médecins, est d'assurer aux patients une prise en charge la plus sécurisée possible.
Des ateliers de simulation
Pour apprendre à bien faire, l'AFU organise pour les urologues, des ateliers de simulation en gestion des risques. Il s'agit pour les médecins, de se perfectionner tant dans les gestes techniques que dans les procédures et les interventions. Cette stratégie d'enseignement par la simulation des gestes répond à la recommandation « jamais la première fois sur le patient ». A l'instar d'un pilote d'avion qui se forme sur un simulateur de vol, le médecin s'exerce lui aussi sur un simulateur avant d'effectuer le geste sur un patient. Ainsi, la simulation permet d'appréhender la gestion des risques, d'analyser et prévenir l'ensemble des facteurs susceptibles de causer un événement indésirable ou un accident médical. Cette formation a également pour objectif d'aider les urologues à développer leurs aptitudes à travailler et communiquer en équipe.
Pour en savoir plus sur l'accréditation des médecins : https://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_2837407/fr/le-point-sur-l-accreditation-des-medecins-en-3-questions
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Votre pathologie vous contraint à commander régulièrement du matériel urologique spécialisé ? Sachez que de nombreuses sociétés distributrices de produits spécialisés en urologie offrent, en plus de la livraison de matériels, un service de conseil et d'accompagnement des patients.
Différents prestataires spécialisés dans le matériel urologique se partagent le marché français. Certains ont une implantation nationale, d'autres interviennent au plan régional ou local. Ils proposent des services variés allant de l'approvisionnement pur et simple en matériel, aux conseils pratiques sur l'utilisation des produits, en passant par des soutiens purement administratifs. En offrant une écoute et un accompagnement des patients spécifiques à leur pathologie, ces fournisseurs contribuent à créer un lien entre l'hôpital et le domicile. Ils viennent en aide aux malades dès leur sortie d'hospitalisation en facilitant un quotidien qui peut être perturbé par l'utilisation nouvelle de matériels urinaires, induite par la maladie. Les commandes et renouvellement de produits spécifiques peuvent être passés directement via les sites internet ou en contactant le service client par téléphone, avec l'ordonnance remise par le médecin. Dans la plupart des cas, aucune avance de frais n'est nécessaire et aucun dépassement sur les matériels n'est facturé. Les fournisseurs livrent les produits au domicile des patients et se font rembourser directement par les organismes payeurs dont ceux-ci dépendent. Seul impératif, disposer de l'original de l'ordonnance.
Du conseil aux patients
Distributrices de matériel, ces sociétés offrent aussi un service de conseils aux patients. Travaillant en étroite collaboration avec les médecins traitants et les infirmières qui suivent les malades, les équipes médicotechniques des fournisseurs de matériels renseignent les malades sur la bonne utilisation des produits, leur appareillage, les soins ou les règles d'hygiène et de prévention des effets indésirables liés aux matériels. Cet accompagnement à l'apprentissage des gestes peut se révéler être un soutien précieux, notamment au sortir de l'hôpital lorsque les techniques d'appareillage ne sont pas encore bien maîtrisées. Certaines sociétés soulagent également les patients des contraintes administratives liées à leur prise en charge : vérification des dates de validité des ordonnances, remplissage des feuilles de soin, conseils pour une prise en charge optimum par les organismes payeurs, maintien des droits dans le temps, suivi des échéances d'expiration des droits (ALD, AT)
Les pathologies expliquées
Pour compléter le service rendu aux patients, les sites internet des fournisseurs en matériel urinaire sont une source précieuse de renseignements médicaux et pratiques sur les différentes pathologies urinaires. Pour chaque pathologie, les sites répertorient une définition précise et accessible à tous, un descriptif des principaux produits référencés et de leur utilisation, ainsi que des fiches pratiques et des conseils précieux pour limiter les désagréments liés à la maladie et améliorer le quotidien des patients. Enfin, de nombreuses vidéos sous forme de tutoriaux en ligne expliquent le fonctionnement et l'utilisation des matériels.
Pour connaître le fournisseur intervenant dans votre région ou plus spécialisé dans votre pathologie, demandez conseil à votre urologue.
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Un essai clinique, nommé RAZOR, comparait deux techniques chirurgicales pour l'ablation de la vessie dans le cadre d'un cancer. Ces deux techniques étaient soient l'utilisation d'un robot chirurgical, soit la technique classique avec incision abdominale (ou « voie ouverte »), et les résultats montrent une équivalence des deux techniques en terme de résultats cancérologiques.
Le cancer de la vessie, lorsqu'il est encore au stade local, mais invasif (c'est à dire infiltrant des tissus profonds de la vessie) nécessite une chirurgie d'ablation de la vessie, avec une dérivation urinaire, qui va être continente ou incontinente selon l'indication opératoire ainsi que le désir du patient. Plusieurs techniques sont disponibles, à savoir la « chirurgie ouverte » (grande incision abdominale), la coelioscopie et la chirurgie robotique, deux techniques moins invasives sur le plan chirurgical.
L'essai RAZOR est la première étude qui permet de « randomiser » les patients, c'est-à-dire placer les patients soit dans le groupe avec chirurgie ouverte soit dans le groupe avec chirurgie robotique. Le critère de jugement se basait sur la comparaison de la survie sans progression (c'est-à-dire l'absence de récidive de cancer) à 2 ans entre les deux groupes.
Entre 2011 et 2014, 159 et 153 patients ont été inclus respectivement dans le bras robot et ouvert. Tous les patients ont bénéficié d'une dérivation urinaire selon la même technique chirurgicale, qui était une approche réalisée à l'extérieur du corps du patient. Les patients ont été répartis au hasard entre les établissements (n = 15). Les chirurgiens ayant participé à l'étude devaient avoir effectué au moins 10 chirurgies d'ablation de vessie par voie ouverte et robot-assistée au cours de l'année précédant l'étude.
Des résultats encourageants pour l'apport du robot dans la chirurgie de cancer de vessie
Les deux populations de patients étaient comparables en termes de caractéristiques. La survie sans progression sur deux ans était de 72,3 % dans le groupe robot et de 71,6 % dans le groupe ouvert, ce qui mettait en évidence l'équivalence de ces deux techniques. Aucune différence n'a également été mise en valeur concernant les complications globales ou graves, la qualité de vie, et l'ablation complète du cancer (« marges chirurgicales »).
Les recommandations de l'Association Française d'Urologie, mises à jour en 2018, montrent une équivalence des deux techniques en matière de résultats carcinologiques, et semblent pencher vers la chirurgie mini-invasive en termes de diminutions de pertes sanguines. Néanmoins, la voie mini-invasive est toujours en cours d'évaluation, et la voie d'abord doit être réalisée en fonction de l'expérience du chirurgien.
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Une étude parue dans un grand journal scientifique (Lancet) a confirmé que la résistance des bactéries aux antibiotiques augmente les risques de décès liés aux infections. Cela va amener les praticiens à modifier leur pratique face à une infection.
La résistance aux antibiotiques est une mutation des bactéries, qui leur permet de survivre face à un traitement par antibiotique. Lorsqu'une infection contient une bactérie résistante, le traitement est plus complexe pour le médecin, qui doit parfois utiliser un traitement intraveineux pour traiter la maladie.
La résistance aux antibiotiques entraîne une augmentation des dépenses médicales, une prolongation des hospitalisations et une hausse de la mortalité.
Depuis de nombreuses années, trop d'antibiotiques ont été utilisés à tort par les médecins, rendant cette résistance plus commune. La sonnette d'alarme a été tirée par l'ensemble de la communauté scientifique et des instances de santé, soucieuses de l'arrivée d'une « ère post antibiotique ». Cette ère verrait la mortalité liée aux infections augmenter. Un rapport a même été écrit par l'Organisation Mondiale de la Santé en 2014.
Jusqu'à présent, aucune étude de grande ampleur n'avait prouvé cette théorie, jusqu'à cette étude publiée dans le Lancet par Cassini. Il est donc urgent pour les médecins de changer leur manière d'appréhender une infection.
Une estimation inquiétante
L'objectif de l'étude était d'estimer le nombre d'infections et de décès causés par des bactéries résistantes sur l'année 2015. Huit espèces bactériennes étaient identifiées.
671 689 cas d'infections ont été rapportés, responsables de 33 110 décès. Deux bactéries ont été mis en évidence, E Coli et K. Pneumoniae, avec des résistances diverses.
Les patients les plus touchés par ces infections étaient ceux aux âges extrêmes de la vie : avant 4 ans et après 50 ans. La France était le 5e pays en termes d'espérance de vie liés à l'exposition face à des bactéries résistantes.
Autre chiffre important, le nombre d'infections et de décès entre 2007 et 2015 a été multiplié entre 3 et 6 selon le type de bactérie
L'incidence importante des infections montre que tous les urologues seront confrontés à la gestion des infections résistantes, peut-être même plus qu'à la cancérologie dans certains centres !
Les bactéries quotidiennement rencontrées telles que E. coli, K. pneumoniae et P. aeruginosa doivent être traitées de manière plus rationnelle par l'ensemble des praticiens. Des recherches sont en cours pour évaluer la part génétique des résistances des bactéries.
Au niveau individuel, il faut également faire attention à ne jamais utiliser des médicaments qui n'ont pas été prescrits par un médecin, mais également prévenir les infections en se lavant régulièrement les mains ainsi que les aliments que l'on consomme.
[post_title] => La résistance aux antibiotiques : le risque se confirme !
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Les recommandations RAAC cystectomies sont maintenant en ligne. Elles vont vous permettre de vous engager dans ce mode de prise en charge pour vos patients (si vous ne le faites pas déjà). Faire de la RAAC, c'est diminuer la morbi-mortalité de vos patients et vos DMS. Vous verrez que, à terme tous vos patients pourront en bénéficier car la démarche engagée pour les interventions lourdes telle la cystectomie totale peut se décliner pour toutes les autres interventions. Faire de la RAAC c'est modifier votre prise en charge et vos pratiques en anticipant l'acte opératoire et en conduisant votre patient dans les meilleures conditions vers la chirurgie (préhabilitation), ce qui permettra ensuite une accélération du process (réalimentation rapide, mobilisation précoce, etc) au bénéfice du patient.
Vous pouvez aussi faire un audit de vos cystectomies. L'AFU a développé en collaboration avec le groupe GRACE, une grille pour cet audit. Elle est facile d'accès et d'utilisation. Elle est gratuite et il n'est pas nécessaire d'être membre du groupe GRACE. Vous pouvez la remplir au fur et à mesure de la prise en charge du patient, en impliquant votre équipe (anesthésiste, infirmière). L'AFU disposera ainsi d'une base de données importante.
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Chers collègues,
L'Agence National de Sécurité du Médicament (ANSM) a signalé le 9/05/2019 une pénurie nationale en Amétycine (mitomycine C) utilisée pour les instillations endovésicales. Celle-ci pourrait durer environ un mois.
L'épirubicine et la gemcitabine utilisées dans d'autres pays pour les instillations endovésicales ne disposent pas d'autorisation de mise sur le marché spécifique en France. Leur utilisation, même conforme aux protocoles décrits dans la littérature, engage la responsabilité individuelle du prescripteur en cas d'effet indésirable.
Pendant la pénurie, le Comité de Cancérologie de l'AFU recommande de surseoir aux instillations post-opératoires précoces (IPOP). Les instillations de BCG peuvent être utilisées pour les patients dont les risques de récidive et de progression le justifient (tumeur de risque intermédiaire). Pour les patients dont le programme d'instillations d'Amétycine a du être interrompu avant la quatrième instillation, le CCAFU recommande de réaliser une fibroscopie de contrôle et, si celle-ci est normale, de recommencer le programme de 8 instillations à son début.
Le Comité de Cancérologie de l'Association Française d'Urologie (CCAFU)
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