Accueil > Publications > Numéro 2- Volume 21- pp. F37-F70 (Juin 2011)

    Numéro 2- Volume 21- pp. F37-F70 (Juin 2011)

    • Éditorial

      Progrès FMC, 2011, 2, 21, F37

      Lire l'article Ajouter à ma sélection Désélectionner
    • Lire l'article Ajouter à ma sélection Désélectionner
    • Particularités de la prise en charge de l’incontinence urinaire d’effort de la femme obèse

      Résumé

      L’obésité, définie comme un indice de masse corporelle (IMC) supérieur à 30kg/m2 voit son incidence augmenter régulièrement dans nos sociétés industrialisées. En urologie de la femme, l’obésité favorise tous les types d’incontinence ainsi que le prolapsus génital. Le risque relatif d’incontinence urinaire (IU) chez la femme ayant une obésité majeure est supérieur à 5. La prise en charge de l’IU d’effort chez la femme obèse a quelques particularités. La rééducation périnéale et la perte de poids représentent la première ligne de traitement. Une perte de poids de 10 % réduit de 50 % la fréquence des fuites urinaires. Malheureusement, cette perte de poids est souvent difficile et peu durable. La mise en place d’une bandelette sous-urétrale, s’il existe une IU d’effort avec hypermobilité urétrale est la seconde étape. Les résultats fonctionnels et le taux de complications sont identiques à la femme non-obèse à condition que l’IMC soit inférieur à 35. Au-delà, le taux de succès chute à environ 50 % avec un risque accru d’impériosités de novo et de complications postopératoires. Dans cette population de femmes très obèses, la chirurgie de l’obésité fait aussi bien, voire mieux que la chirurgie de l’incontinence. Sur le plan technique, la voie transobturatrice évite le risque accru de plaie vésicale propre à la voie rétropubienne. Par contre, il n’est pas exclu que la voie rétropubienne permette des résultats plus durables lorsque fonction sphinctérienne et mobilité urétrale sont faibles avec, chez ces femmes en surcharge pondérale, des régimes de pressions intra-abdominales élevés.

      Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

      Particularités de la prise en charge de l’incontinence urinaire d’effort de la femme obèse

      Abstract

      Obesity, defined as a BMI over 30, is an increasing health problem all over the world. In most studies, a stronger association is observed between increasing weight, urinary incontinence and genital prolapse. Urinary incontinence (UI) prevalence is greater than 5 for women obviously obese. Specifically, stress UI management needs specificities in this population. Weight loss and pelvic floor muscles training are the first step of treatment. A 10% weight loss induces a 50% reduction of episodes of leakage. Unfortunately, weight reduction is usually non-lasting. In stress UI with urethral mobility, sub-urethral sling should be the second step. BMI<35 seemed to be the best cutoff level. In that case, cure and complications rates are the same than in normal weight women. Above 35, there is a sharp decrease in cure rate (around 50%), and an increased risk of de novo urgencies and postoperative complications. For that obese women population, obesity surgery shows similar results than tension free vaginal tape. From a technical point of view, bladder injury is specific to retropubic access and should be avoided with transobturator access. On the other hand, retropubic access is likely to give longer lasting results on obese women whenever an intrinsic sphincter deficiency, a low urethral mobility and high intra-abdominal pressures are risk factors for failure.

    • Lire l'article Ajouter à ma sélection Désélectionner
    • Ponction du rein sous amplificateur de brillance lors d’une néphrolithotomie percutanée en décubitus dorsal

      Résumé

      La position de décubitus dorsal modifiée devient une technique de plus en plus utilisée à l’échelle mondiale pour la néphrolithotomie percutanée. Pour les urologues qui ne sont pas familiarisés à la création d’un accès rénal sous contrôle échographique ou qui n’ont pas accès à une échographe au bloc opératoire, la ponction des cavités rénales sous contrôle radioscopique en décubitus dorsal pourrait être un problème en l’absence d’une méthodologie bien définie. Nous décrivons une technique standardisée et reproductible basée sur l’inclinaison du bras de l’appareil de scopie vers la tête du patient durant la ponction d’un calice repéré et choisi.

      Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

      Ponction du rein sous amplificateur de brillance lors d’une néphrolithotomie percutanée en décubitus dorsal

      Abstract

      Supine position for percutaneous nephrolithotomy is becoming increasingly popular worldwide. For urologists not familiar with ultrasound guided access creation, puncture of the renal cavities under fluoroscopic control in supine position may be challenging in absence of well-known methodology. We describe a standardized and reproducible technique based on cephalad tilting of the C-arm during puncture of the targeted calyx.

    • Lire l'article Ajouter à ma sélection Désélectionner
    • Sténose de l’anastomose urétrovésicale après prostatectomie totale

      Résumé

      La sténose de l’anastomose urétrovésicale après prostatectomie totale est une complication qui peut altérer la qualité de vie. Dans la majorité des cas, elle est diagnostiquée, lors des troubles de la vidange vésicale, dans l’année qui suit la prostatectomie. Elle a plusieurs facteurs de risque endogènes (liés au patient) et exogènes (liés à l’intervention). Ces derniers peuvent être limités lors de la prostatectomie totale. L’urétrotomie à la lame froide est le traitement de première ligne. Les patients doivent être informés du risque de récidive, et de la nécessité de recourir à plus d’une intervention pour obtenir un résultat satisfaisant.

      Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

      Sténose de l’anastomose urétrovésicale après prostatectomie totale

      Abstract

      Anastomotic stricture is a quality of life threatening complication after radical prostatectomy. The diagnosis is usually set because of voiding dysfunction during the first year after the prostatectomy. Various endogenous (related to the patient) and exogenous (related to the procedure) risk factors have been reported. Some of them can be prevented. Cold-knife urethrotomy is the first line treatment. Patients should be informed that recurrence is common and they may need more than one procedure to achieve a satisfying result.

    • Lire l'article Ajouter à ma sélection Désélectionner
    • Chirurgie rénale cœlioscopique robot assistée : revue de la littérature

      Résumé

      La laparoscopie robot-assistée dans la chirurgie rénale est une technologie récente. Les indications de la chirurgie laparoscopique robot-assistée (CLRA) dans la chirurgie rénale ne sont pas encore bien codifiées et la chirurgie à ciel ouvert et la cœlioscopie traditionnelle restent encore bien souvent les techniques de référence. L’objectif de cet article était d’analyser la littérature sur la CLRA rénale afin de préciser ces indications. La CLRA n’apporte pas de bénéfice majeur dans la réalisation d’une néphrectomie élargie par rapport à la cœlioscopie. La difficulté technique de la néphrectomie partielle donne un avantage à la CLRA en particulier au niveau de la rapidité de la courbe d’apprentissage pour les tumeurs abordables en cœlioscopie. La CLRA paraît satisfaisante au niveau carcinologique lors d’une néphro-urétérectomie sans que cela soit encore démontré actuellement, son principal inconvénient par rapport à la laparoscopie est la nécessité d’un changement de position du robot voire du patient au cours de l’intervention. La pyéloplastie les cures de syndrome de la jonction pyélo-urétérale est facilitée par la CLRA, elle est en passe de devenir le nouveau « gold standard » grâce à la facilité technique de la suture intra corporelle. La néphrectomie d’un donneur vivant en CLRA se développe par sa facilité technique et d’apprentissage vis-à-vis de la cœlioscopie mais reste limitée par son coût.

      Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

      Chirurgie rénale cœlioscopique robot assistée : revue de la littérature

      Abstract

      The laparoscopy robot-assisted in the renal surgery is a recent technology. The indications of the laparoscopic surgery robot-assisted in the renal surgery are not codified yet and the open surgery and the traditional laparoscopic are still the recommended procedures. The objective of this article was to analyze the literature on the renal laparoscopic surgery robot assisted to specify the indications. The laparoscopic surgery robot-assisted does not bring major benefit in the realization of a total nephrectomy with regard to the conventional laparoscopy. The technical difficulty of the partial nephrectomy gives an advantage to the laparoscopic surgery robot assisted in particular at the level of the speed of the learning curve for the feasible tumors in laparoscopy. The laparoscopic surgery robot assisted countered satisfactory at the carcinologic level during a nephro-ureterectomy without demonstrating and the main disadvantage with regard to the laparoscopy is the necessity of a change of position of the robot and the patient during the procedure. The pyeloplasty by robot assisted laparoscopic surgery is becoming the new “gold standard” due to the technical ease of the suture. The live donor nephrectomy with the robot assisted laparoscopic surgery develops by its technical ease and of learning towards the laparoscopy but rest limited by its cost.

    • Lire l'article Ajouter à ma sélection Désélectionner
    • Patient sans fragment résiduel lithiasique : une utopie ?

      Résumé

      La maladie lithiasique est une pathologie fréquente dont la prise en charge est médicochirurgicale. L’objectif premier du traitement chirurgical est de rendre le patient sans fragment (SF). L’absence de définition précise d’un fragment résiduel (FR), la variabilité dans les moyens d’imagerie utilisés pour le détecter et le peu de données disponibles dans la littérature rendent difficile l’évaluation de son impact réel sur l’évolution de la maladie lithiasique. Il semble cependant que les FR de petite taille ont relativement peu d’influence sur la récidive d’un évènement lithiasique. De plus, la répétition des interventions chirurgicales engendre une augmentation des coûts et retentit de façon significative sur la qualité de vie des patients. La mise en place d’un traitement médical adapté est l’élément déterminant de la prévention des récidives lithiasiques et est très bien acceptée par le patient.

      Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

      Patient sans fragment résiduel lithiasique : une utopie ?

      Abstract

      Prevalence of stone disease is high and its management relies on both medical and surgical treatment. The primary objective of surgical treatment is to render the patient stone free. Assessing the impact of a residual fragment (RF) on the natural history of stone disease is difficult for several reasons: there is no consensus on the precise definition of a RF; there is a wide variability of imaging modalities used to assess a RF; and there is a lack of high quality studies on the impact of a RF. However, it seems that small size RF have little influence on stone recurrence. Given the decreased quality of life, the inherent morbidity and increased costs associated with repeated procedures, comprehensive metabolic evaluation and active medical management are the key elements for preventing recurrent stones and should be instituted in all patients with RF.

    • Hypertrophie bénigne – Cancer de prostate

      Progrès FMC, 2011, 2, 21, F59

      Lire l'article Ajouter à ma sélection Désélectionner
    • Tumeurs urothéliales

      Progrès FMC, 2011, 2, 21, F63

      Lire l'article Ajouter à ma sélection Désélectionner
    • Lire l'article Ajouter à ma sélection Désélectionner

    Vous pourrez également aimer

    Continuer votre lecture

    progres-fmc

    Contenu protégé