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    Numéro 1- Volume 24- pp. F1-F34 (Mars 2014)

    • Éditorial

      Progrès FMC, 2014, 1, 24, F1

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    • Sphincter urinaire artificiel AMS 800 ®  : que faire en cas de défaillance ? Présentation d’un algorithme diagnostique et thérapeutique devant une récidive de l’incontinence chez un patient porteur d’un sphincter urinaire artificiel

      Résumé
      Introduction

      Le sphincter urinaire artificiel AMS 800® (SUA) est le traitement de référence de l’incontinence urinaire sévère par insuffisance sphinctérienne de l’homme et de la femme si elle est associée à un urèthre fixé.

      Méthodes

      Après revue de la littérature, un algorithme devant une dysfonction d’un SUA a été établi.

      Résultats

      Il faut éliminer un défaut de manipulation, une infection urinaire basse, une modification du fonctionnement de l’appareil vésico-sphinctérien, vérifier l’intégrité du SUA par imagerie, éliminer une érosion uréthrale par cystoscopie. En cas de révision, si le SUA a moins de 5ans, il est possible de ne changer que l’élément défectueux, au-delà il paraît préférable de tout changer. En cas d’érosion, un état local septique nécessite d’explanter l’ensemble du SUA, sinon, il est possible de ne retirer que la manchette. Si l’urèthre a été abordé, il convient d’attendre 28jours avant d’activer le SUA.

      Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

      Sphincter urinaire artificiel AMS 800 ®  : que faire en cas de défaillance ? Présentation d’un algorithme diagnostique et thérapeutique devant une récidive de l’incontinence chez un patient porteur d’un sphincter urinaire artificiel

      Summary
      Introduction

      Artificial urinary sphincter AMS 800® (AUS) is the gold standard for severe urinary incontinence due to sphincteric insufficiency in men and when it is associated with a fixed urethra in women.

      Methods

      After reviewing the literature, we established an algorithm to deal with an AUS dysfunction.

      Results

      In case of incontinence recurrence, we should proceed step by step: excluding faulty handling, lower urinary tract infection or bladder dysfunction, checking out the device integrity by imaging, excluding urethral atrophy by cystoscopy. In case of urethral atrophy or device damage, if the sphincter age is less than 5 years, it seems possible to replace only the defective item. On the other hand, it seems better to change all the AUS if it is older. In case of urethral erosion and/or local sepsis, the AUS should be excluded. If the urethra has been surgically dissected, we suggest waiting 4 weeks before activating the AUS.

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    • Comment j’installe le patient pour une néphrolithotomie percutanée en position de lithotomie modifiée ?

      Résumé
      Introduction

      L’objectif de cet article est de décrire une nouvelle technique d’installation de patient en position de lithotomie modifiée pour néphrolithotomie percutanée.

      Matériels et méthodes

      La technique est décrite en détail, en exposant les points clés de l’installation du patient et de l’organisation du bloc opératoire, à partir de l’expérience personnelle de l’auteur sur plus de 200 cas.

      Résultats

      Au cours de la dernière décennie, la position de décubitus dorsal a été adoptée par un nombre croissant de centres urologiques pour la réalisation d’une chirurgie rénale percutanée. Cette installation a pour avantage d’éviter la nécessité de retourner le patient en position ventrale et aussi d’offrir simultanément un abord antérograde percutané et rétrograde transurétral aux voies urinaires. Néanmoins, les possibilités limitées pour l’apprentissage et l’absence de description précise ralentissent la diffusion de cette nouvelle technique.

      Conclusions

      Cette position a été adoptée non seulement par l’équipe chirurgicale mais aussi par l’équipe anesthésiste et par l’équipe paramédicale en raison de ses avantages (positionnement du patient, durée d’intervention, temps d’occupation du bloc opératoire…) qui définitivement ne nous feront pas revenir à une autre technique et qui vont permettre d’autres développements, entre autres, la mini-percutané.

      Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

      Comment j’installe le patient pour une néphrolithotomie percutanée en position de lithotomie modifiée ?

      Summary
      Introduction

      The aim of this communication is to describe the way to carry out the modified lithotomy positioning for percutaneous nephrolithotomy.

      Materials and methods

      The technique is described in detail, outlining the key points of patient setup and organizing the operating room, based on the personal experience of the author of more than 200 cases.

      Results

      During the last decade, supine position was adopted by a growing number of urological centers performing percutaneous renal surgery. This facility has the advantage of avoiding the need of returning the patient in prone position and also of providing simultaneous antegrade percutaneous and retrograde transurethral access to the urinary tract. However, the limited opportunities for learning and the lack of a precise description slow down the spread of this new technique.

      Conclusions

      This position has been adopted not only by the surgical team but also by the anesthesiologist team and paramedical staff due to its advantages (patient positioning, duration of intervention, operating room occupation time…) that definitely will not make us go back to another technique and which will allow further developments, especially mini-percutaneous nephrolithotomy.

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    • Le score de Gleason pour les nuls

      Résumé
      Introduction

      Le but de cet article est de faire un point actualisé sur la définition et la signification du score histopronostique de Gleason.

      Méthodes

      Données fondées sur des avis d’experts et des conférences de Consensus sur le thème et sélectionnés par l’auteur.

      Résultats

      Le score de Gleason est un facteur pronostique majeur du cancer de la prostate. Décrit par Donald Gleason en 1966, il a été modifié en 2005 par l’ISUP et comporte trois grades, de 3 à 5. Les règles de score varient : pour les biopsies, chaque biopsie doit avoir son score, constitué du grade le plus représenté et du grade le plus élevé. Pour la pièce de prostatectomie, chaque nodule tumoral doit avoir son score constitué des deux grades les plus représentés. Un troisième contingent peut être gradé s’il est de haut grade.

      Discussion et conclusion

      Avant traitement, c’est à partir du score de Gleason, associé au stade clinique et au dosage du PSA que va se définir la stratégie thérapeutique pour un patient atteint de cancer de la prostate. Le score de Gleason restera comme il a été défini (score histopronostique), le principal sinon le plus puissant facteur pronostique du cancer de la prostate.

      Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

      Le score de Gleason pour les nuls

      Summary
      Introduction

      The aim is to present an up-to-date definition and signification of the Gleason score.

      Methods

      Analysis of expert and consensus meeting conclusions on the subject, selectionned by the author.

      Results

      Gleason score is a major prognosis factor of prostate cancer. Described in 1966 by Donald Gleason, this score was modified by ISUP in 2005 and included now three grades from 3 to 5. The attribution of a score observes different rules: each prostate biopsy receives score, formed by the most significant grade and the higher grade. For radical prostatectomy specimen, each tumoral node receives a score, formed by the two most significant grade. A third grade can be reported in case of high grade.

      Discussion and conclusion

      Treatment of prostate cancer is based on Gleason score, clinical staging, and PSA level. Gleason score is still one of the most important and the most powerful factor of prognosis of prostate cancer.

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    • Comment je sélectionne les meilleurs patients candidats à une cure d’incontinence urinaire par bandelettes sous-urétrales ?

      Résumé
      Introduction

      Les bandelettes sous-uréthrales chez l’homme, notamment implantées par voie transobturatrice, ont désormais une place de premier plan dans la stratégie thérapeutique pour la prise en charge d’une incontinence urinaire d’effort chez l’homme après chirurgie prostatique. Les facteurs prédictifs de réussite sont une question clé.

      Méthodes

      Revue de la littérature évaluant les articles relatifs aux facteurs pronostiques de réussite d’un traitement par bandelette sous-uréthrale chez l’homme.

      Résultats

      Si les résultats obtenus sont globalement favorables, il existe des situations d’échec de la technique, et la sélection des patients est cruciale. Bien que dépourvue d’études comparatives bien menées, la littérature récente suggère des pistes importantes pour identifier les patients les plus à même de bénéficier de ce traitement : une incontinence après prostatectomie totale légère à modéré, un patient vierge de traitement chirurgical antérieur, de radiothérapie adjuvante, de sténose uréthrale ou anastomotique, avec une fonction sphinctérienne résiduelle préservée, préférant une option mini-invasive.

      Discussion

      La confirmation de ces données pourra dans le futur permettra d’affiner encore le meilleur profil de patient candidat au traitement par bandelette sous-uréthrale.

      Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

      Comment je sélectionne les meilleurs patients candidats à une cure d’incontinence urinaire par bandelettes sous-urétrales ?

      Summary
      Introduction

      Male slings have been highlighted as a first line option for surgical management of stress urinary incontinence after prostatic surgery. Predictive factors of failure/success are important to consider.

      Methods

      A literature review about the papers dealing with prognostic factors of male sling implantation.

      Results

      Although showing good results, male sling implantation fails to improve symptoms in about 25% of patients. Therefore, careful patient selection is mandatory. In the current literature, based on cohort, single-arm studies, some patients characteristics have been identified as predictive of favorable outcomes. The patient should be keen to undergo an innovative, mini-invasive surgical treatment, and present with mild to moderate incontinence symptoms, with no history of pelvic radiation therapy, urethral stenosis or anastomotic stricture, and good residual sphincter function.

      Discussion

      If confirmed in further studies, these hypotheses could contribute to further refine the role of male slings in surgical management of stress urinary incontinence.

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    • Intérêt du bloc analgésique du cordon spermatique dans la prise en charge des douleurs épididymo-testiculaires chroniques

      Résumé
      Introduction

      Le bloc du cordon spermatique est fréquemment utilisé dans le cadre de l’analgésie postopératoire après chirurgie épididymo-testiculaire.

      Matériel et méthodes

      Ce travail discute de l’intérêt de cette technique dans la prise en charge des douleurs épididymo-testiculaires chronique.

      Résultats

      Le bloc du cordon spermatique, réalisé préférentiellement par une approche échoguidée, est une technique d’analgésie efficace pour traiter les douleurs dont l’origine est épididymo-testiculaire. Cette technique d’ALR peut être à l’heure actuelle proposée comme test prédictif de l’efficacité d’une microdénervation chirurgicale.

      Conclusion

      Une évaluation de l’efficacité analgésique de ce bloc sur le long terme (en administration unique ou répétée dans le temps) permettra éventuellement de proposer cette technique comme alternative à d’autres traitements, notamment chirurgical, dans les douleurs épididymo-testiculaires chroniques.

      Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

      Intérêt du bloc analgésique du cordon spermatique dans la prise en charge des douleurs épididymo-testiculaires chroniques

      Summary
      Introduction

      Spermatic cord block is usually used to treat epididymo-testicular pain after surgery.

      Material and methods

      This work reviews the usefulness of this technique in the management of chronic epididymo-testicular pain.

      Results

      Spermatic cord block, with ultrasound-guided approach, is a good technique to treat epididymo-testicular pain. This block could have been proposed as a predictive test for the effectiveness of surgical microdenervation.

      Conclusion

      An analgesic efficacy assessment of this block (single or repeated administration) is necessary before proposing this technique for chronic scrotal content pain.

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    • Tumeurs urothéliales

      Progrès FMC, 2014, 1, 24, F31

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    • Cancer du rein, lithiase urinaire

      Progrès FMC, 2014, 1, 24, F33

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    • CV2 – Editorial Board

      Progrès FMC, 2014, 1, 24, CO2

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