Adénomectomie cœlioscopique avec contrôle vasculaire pour l’hyperplasie bénigne de la prostate
Objectifs
L’adénoïdectomie cœlioscopique était décrit par la première fois en 2002. Ses avantages sont aujourd’hui très claires : perte sanguine moindre, temps de cathéter et d’irrigation moindres, bien comme le temps de hospitalisation aussi moindre. Notre objectif est démontrer la technique cœlioscopique fait avec contrôle vasculaire des artères capsulaires et, en conséquence, encore plus avantages.
Méthodes
Le patient reste en position de Trendelemburg, cinq trocarts sont placés à la région hypogastrique de l’abdomen. La suture hémostatique est exécutée aux positions de 4 et 8 heures à la capsule prostatique. Il est possible une suture optionnelle aux complexes veineux dorsale. Ensuite une incision longitudinale dans la face postérieure de la capsule prostatique.
Résultats
Quatre cent deux patients ont étés opérés par cette technique, dont l’amélioration du IPSS et les flux urinaires sont évidents. Cela montre l’efficacité de cette technique. Le IPSS médian préopératoire était 26,57 et puis passe à 4,54 au postopératoire. Le « Q Max » médian préopératoire était 4,79 contre 22,78 au postopératoire. Les taux des complications sont faibles, dont la principal est l’éjaculation rétrograde (81 % des patients). C’est important de remarquer que cela est une complication inhérente a presque toutes las techniques d’ablation prostatique. Entre les autres complications rencontrées sont : ilium prolongée (2,5 %), rétention urinaire pour caillot (1,5 %), cathéterisation prolongée (1,5 %) et septicémie (0,5 % des patients) (Tableaux 1-3).
Conclusion
L’adénectomie cœlioscopique se montre comme une alternative très efficace pour le traitement de prostates volumineux. Les résultas sont si durable et bons que des chirurgies ouvertes, et avec toutes les avantages d’une procédure minimalement invasive.