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LA PROTHÈSE POSTÉRIEURE DANS LA PROMONTOFIXATION COELIOSCOPIQUE: “OU FAUT-IL EXACTEMENT SE FIXER?”

L’avènement des prothèses mises par voie basse dans le traitement des prolapsus génito-urinaire confirme que celles-ci sont indispensables pour un bon résultat anatomique à long terme.

La promontofixation coelioscopique fait partie des traitements reconnus et validés pour cela.

Si l’indication de la pose de la prothèse postérieure ne se pose plus (elle évite 30% de récidives postérieures), la fixation solide sur les muscles élévateurs de l’anus peut être responsable de troubles fonctionnels (difficulté d’exonération, constipation terminale les premières semaines) par un effet mécanique de « cravatage » du canal anal.

L’abord postérieur est souvent considéré comme un temps difficile. Ce film détaille les points techniques importants qui permettent de simplifier cet abord. Il montre une modification des points d’amarrages musculaires, plus antérolatéraux, permettant une amélioration nette des troubles fonctionnels post-opératoire précoces, sans altérer le contrôle anatomique.





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