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Indicateurs de santé en urologie : vers une meilleure efficience

Coordonnateurs :

Patrick COLOBY, Jean-Luc MOREAU, Xavier RÉBILLARD

Participants :

  • Représentants de l’AFU : Bertrand LUKACS, Pascal RISCHMANN
  • Représentant(s) de l’HAS
  • Représentant(s) de l’UNCAM
  • Representant(s) de l’INCA
  • Représentant(s) de la DHOS
  • Représentant(s) de la DGS

Programme :

  • 9.35 Introduction

    Patrick COLOBY

  • Comment savoir ce que l’on fait ?

    • 9.40 Expérience de OBSERVA PUR
    • 9.50 Discussion avec le Panel
  • Comment savoir si “ce que l’on fait” est fait dans les règles de bonne pratique ?

    • 10.00 L’évaluation des pratiques par des “indicateurs de qualité” : exemple du cancer de la prostate
    • 10.10 Discussion avec le Panel
  • Comment savoir si “ce que l’on fait” est fait au meilleur coût ?

    • 10.20 Analyse des coûts de prise en charge du cancer de la prostate
    • 10.30 Discussion avec le Panel
  • Comment savoir si “ce que l’on fait” améliore la santé globale ?

    • 10.40 Exemple d’indicateurs de santé globale
    • 10.50 Discussion avec le Panel
  • Conclusion

    Patrick COLOBY

Objectifs pédagogiques :

L’objectif d’une politique de santé efficiente est de pouvoir assurer une prise en charge optimale des patients associant efficacité médicale, qualité des pratiques et des soins et meilleur coût.

L’OMS définit la qualité comme la capacité de “garantir à chaque patient l’assortiment d’actes thérapeutiques… lui assurant le meilleur résultat en termes de santé, conformément à l’état actuel de la science, au meilleur coût pour le même résultat, au moindre risque iatrogénique, pour sa plus grande satisfaction en termes de procédures, résultats, contacts humains… “.

Nous devons pour cela pouvoir répondre aux questions suivantes :

  • Sait-on ce que l’on fait ?
    • L’étude des bases de données en santé (PMSI, SNIRAM, …) à partir de requêtes pertinentes, avec ou sans chaînage, peut-elle permettre d’avoir une meilleure connaissance de ce que les urologues produisent ?
    • Comment peut-on faire en pratique ces analyses des bases de données existantes ?
    • Peut-on définir des “indicateurs épidémiologiques” pertinents de notre activité ?
    • Quel est le rôle respectif des professionnels et des instances ?
  • Est-ce que “ce que l’on fait” est fait dans les règles de bonnes pratiques ?
    • Comment définir un socle commun d’indicateurs de qualité et les thèmes prioritaires ?
    • Le recueil de ces données, permettant aux professionnels de comparer leurs résultats et leurs modes de prise en charge, démarche dite de benchmarking par rapport aux règles et aux résultats agrégés de l’ensemble des collègues dans des situations comparables, nécessite-t-il la constitution de bases de données communes ?
    • Comment constituer ces bases de données ou registres ?
    • Quel est le rôle respectif des professionnels et des instances ?
  • Est-ce que “ce que l’on fait” est fait au meilleur coût ?
    • Comment apprécier le coût d’une pratique ?
    • Le tarif de remboursement va t-il modifier la pratique s’il ne correspond pas au coût ?
    • Peut-on définir des “indicateurs médico-économiques” de suivi de nos pratiques ?
    • Nouvelles technologies et économie de santé ?
    • Quel est le rôle respectif des professionnels et des instances ?
    • Peut-on intégrer les coûts dans le choix du traitement ?
  • Est-ce que “ce que l’on fait” améliore la santé globale ?
    • Peut-on définir des « indicateurs de santé globale » en urologie ?
    • Quel est le rôle respectif des professionnels et des instances ?

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