Objectif : Comparer l’activité moyenne des centres universitaires Français au nombre d’interventions coelioscopiques à réaliser avant la fin de la formation.

Matériel : Nous avons utilisé la méthode Delphi et les recommandations des universités canadiennes de Sherbrooke et Montréal pour recenser l’avis de 180 urologues concernant le nombre d’interventions à réaliser avant la fin du clinicat. Ces résultats ont été comparé à l’activité moyenne de 2 services universitaires d’urologie.

Résultats :

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Conclusions : Au vue des résultats, l’activité moyenne des centres universitaires en laparoscopie est insuffisante pour former les urologues à cette technique. Un des moyens consisterait à inclure l’activité de certains urologues libéraux à la formation des urologues. Ceci pose des soucis de prise en charge légale et financière. Ces propos méritent d’être atténués par l’activité grandissante des centres universitaires en coelioscopie.