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HBP : CONSEQUENCE SUR LA SEXUALITE DU CONJOINT.

Contexte :Les troubles mictionnels secondaires à une hypertrophie bénigne de la prostate sont retrouvés chez 20 à 25% de la population des hommes de plus de 50 ans. Il s’agit donc d’un problème de santé publique au nombreuses facettes diagnostiques, thérapeutiques, et économiques. La sévérité est estimé par le score obtenu à l’ IPSS, questionnaire reconnu et validé.

Objectif : Etudier sur une population nouvellement diagnostiqué les répercussion de la pathologie sur sa propre sexualité et sur celle de son conjoint.

Méthode : L’International Index of Erectil Function -IIEF- a été administré à chaque patient, les conjoint ont été interrogé sur leur Désir Sexuel -DS-, et sur la Satisfaction Global -OS-.

Résultats : Chez les patients HBP, toutes les dimensions due IIEF, sont dégradé selon la sévérité au score obtenu à l’ IPSS. Ceci est particulièrement vraie pour les dimensions DS( 52,8-46,6-35,2) et OS ( 69,6-57,3-40,4 ).

Chez les 391 femmes ayant répondu aux questions, l’absence de DS ou l’insatisfaction globale sont directement corrélée avec le score IIEF exprimé par leur partenaire pour les dimensions correspondantes. p<0,005

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Conclusion : La sexualité des patients HBP est dégradé selon la sévérité de la pathologie, en parallèle on retrouve cette dégradation exprimée par le conjoint.

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