Urofrance.org : le site de l'Association Française d'Urologie

Accueil > Pathologies urologiques > Cancer du rein

Cancer du rein

Questions / réponses

Les reins ont plusieurs fonctions. La principale est l’épuration du sang et la formation des urines. Ils sont également impliqués dans la régulation de la tension artérielle et la fabrication des globules rouges en synthétisant l’EPO.

Le cancer du rein est une tumeur maligne qui se développe dans les reins. Son nom médical est carcinome des cellules rénales. Une tumeur dans le rein peut aussi être bénigne.

Le cancer du rein est un terme générique. Il existe de nombreuses tumeurs du rein et des stades différents. Si la tumeur est limitée au rein et ne s’est pas propagée, c’est ce qu’on appelle le cancer du rein localisé. Dans le cancer du rein localement avancé, la tumeur s’est développée au dépend des tissus environnants, des veines, de la glande surrénale, ou des ganglions lymphatiques. Les médecins parlent de la maladie métastatique si le cancer s’est propagé soit à des ganglions lymphatiques lointains ou d’autres organes (les poumons, les os, le foie ou le cerveau).

Le cancer du rein est plus fréquent chez l’homme que la femme. La plupart des cancers du rein sont diagnostiquées entre 60 et 70 ans.

La plupart du temps, oui. Le rein restant va s’hypertrophier et travailler pour deux. La fonction de synthèse de l’EPO et la régulation de la tension artérielle ne sont pas modifiées par l’ablation d’un rein. En revanche, la fonction d’épuration peut être impactée s’il existe une maladie rénale préexistante.

Il est difficile de répondre à cette question, cela dépend de l’agressivité de la tumeur. Habituellement les tumeurs se développent lentement et grossissent en moyenne de 1 cm par an mais certaines sont plus agressives et vont se constituer en quelques mois.

Il n’y a pas de cause unique. Plusieurs facteurs de risque de cancer du rein sont cependant connus : L’âge, le tabac, l’obésité, l’hypertension artérielle et certaines maladies génétiques familiales. L’exposition professionnelle au trichloréthylène a également été évoquée comme un facteur de risque possible.

Oui, c’est une possibilité. Le chirurgien peut proposer une néphrectomie dite partielle (ablation uniquement de la tumeur) si la tumeur est bien limitée et si sa localisation dans le rein le permet.

Aujourd’hui la douleur est prise en charge très précocement et est contrôlée par les traitements donnés dans les suites de l’intervention. Il existe différents types de douleurs post-opératoires :

  • Les douleurs liées à l’incision de la peau et des muscles qui sont plus ou moins importantes en fonction de la taille de l’incision.
  • Les douleurs dans les épaules après coelioscopie et qui peuvent nécessiter de rester allongé pendant 24-48 heures.
  • Les douleurs liées à la reprise du transit intestinal.

Aujourd’hui, et en l’absence de métastase, il n’est pas proposé de traitement médical ou de radiothérapie complémentaire après chirurgie. Certains médicaments sont cependant en cours d’évaluation et pourraient vous être proposés dans le cadre de protocole de recherche.

Il n’y a pas de régime particulier recommandé. En revanche il est important de conserver une bonne hygiène de vie, d’avoir une activité physique régulière et le cas échéant d’arrêter de fumer.

L’urologue est un chirurgien. Il s’occupe des pathologies médicales et chirurgicales de l’appareil urologique. Le néphrologue est un médecin qui s’occupe principalement du fonctionnement des reins (gestion de l’insuffisance rénale, des dialyses etc…).

En moyenne, les reins ont pour hauteur 12 cm, largeur 6 cm, épaisseur 3 cm mais ces mensurations sont très variables d’un individu à l’autre.

Le cancer du rein est asymptomatique dans la plupart des cas, ce qui signifie qu’il n’y a pas de symptômes clairs pour l’indiquer.

La plupart des tumeurs rénales sont trouvées lors d’échographies de routine ou de procédures d’imagerie similaires pour d’autres affections, comme les maux de dos.

Au fur et à mesure que la tumeur croît, vous pouvez ressentir une douleur constante dans le côté atteint. Vous pouvez sentir une masse abdominale, ou vous pouvez avoir du sang dans l’urine.

D’autres symptômes sont les suivants :

  • Pression artérielle élevée
  • Fièvre et sueurs nocturnes
  • Perte d’appétit
  • Perte de poids
  • Anémie

Ces symptômes sont appelés syndrome paranéoplasique : Ce sont des réactions liées à l’évolution de la tumeur.

Ces symptômes ne sont pas spécifiques du cancer du rein. Si vous avez un de ces symptômes, contactez votre médecin pour savoir ce qui les provoque.

Le médecin effectue un certain nombre d’examen pour caractériser la tumeur du rein. L’évaluation comprend les antécédents médicaux, des examens biologiques et des examens d’imagerie (Scanner appelé aussi tomodensitométrie, ou bien une IRM qui signifie imagerie par résonnance magnétique). Ces examens définiront la taille de la tumeur et si elle envahie les veines, les ganglions lymphatiques, ou les organes environnants. Ceci est important pour déterminer le traitement ultérieur. Le médecin peut également effectuer un examen physique et réaliser des examens sanguins et urinaires.

Les tumeurs rénales sont classées selon leur stade, leur sous-type et le degré d’agressivité des cellules tumorales. Ces trois éléments sont à la base de l’évaluation diagnostique et de la stratégie thérapeutique.

La stadification tumorale (nommée classification TNM) indique la façon dont la tumeur est avancée, et si elle s’est propagée à des ganglions lymphatiques ou à d’autres organes. L’urologue examine la taille et l’envahissement de la tumeur (T pour « Tumour »), basé sur 4 stades. Il détermine également si des ganglions lymphatiques sont affectés (N pour « Nodes ») ou si le cancer s’est propagé à d’autres parties de votre corps (M pour « Metastasis »).

Il existe différents sous-types de tumeurs rénales. La plupart des tumeurs rénales sont des carcinomes des cellules rénales (environ 80-85%). De ces derniers, le sous-type le plus commun est le carcinome rénal à cellules claires (80%), 10% sont des carcinomes des cellules rénales papillaires et 5% des carcinomes chromophobes. Les 5% restants de carcinomes à cellules rénales comprennent le carcinome rénal de Bellini et une variété de carcinomes rares et héréditaires.

Votre médecin évaluera également l’agressivité des cellules tumorales. Le grade de Fuhrman est le système le plus couramment utilisé pour déterminer cela. Le pathologiste grade votre tumeur de 1 à 4 (4 est le grade le plus agressif). Il existe également le grade ISUP, défini par le pathologiste.

La préparation à une consultation peut être très utile. Il vous aidera, vous et votre médecin, à mieux répondre à vos questions et préoccupations. Voici quelques choses que vous pouvez essayer :

  • Écrivez les questions que vous aimeriez poser au médecin (car il n’est pas rare une fois devant le médecin de les oublier). Écrire des questions peut aussi vous aider à organiser vos pensées
  • Si vous le pouvez, emmenez quelqu’un avec vous à la visite. Il est bon d’avoir quelqu’un pour discuter de ce que le médecin a dit et de plus, vous vous souviendrez probablement de choses différentes
  • Demandez des informations sur votre type spécifique de cancer et les options possibles de traitement
  • Si le médecin utilise des mots que vous ne comprenez pas, demandez-lui une explication

Toutes les décisions concernant votre traitement personnalisé sont prises après un examen attentif de la classification des tumeurs, du pronostic et de la disponibilité des options de traitement dans votre hôpital. Le facteur le plus important pour la sélection du traitement est le stade de la maladie.

Les cancers du rein peuvent être traités par :

  • Néphrectomie partielle
  • Néphrectomie radicale
  • Néphrectomie de réduction tumorale
  • Surveillance active
  • Ablation par radiofréquence
  • Cryothérapie
  • Thérapie anti angiogénique
  • Immunothérapie
  • Chimiothérapie
  • Radiothérapie

La néphrectomie partielle est un type de chirurgie du cancer du rein dans lequel seule la tumeur est enlevée, laissant intact le tissu rénal sain. Il est recommandé dans la mesure du possible. Généralement, il est effectué si la tumeur est limitée au rein.

Après une néphrectomie partielle pour cancer du rein, votre médecin planifiera régulièrement des visites de suivi. Le suivi dure au moins 5 ans. Les examens habituels lors des visites de suivi sont des scanners thoraco-abdomino-pelvien, des échographies, des analyses sanguines ou urinaires.

La néphrectomie radicale ou élargie est un type de chirurgie pour le cancer du rein dans lequel le rein entier qui contient la tumeur est enlevé. Elle est généralement recommandée si la tumeur a augmenté à l’extérieur du rein. Il pourrait également être recommandé dans les cas où il n’est pas possible d’enlever la tumeur seule et laisser une partie du rein intacte. La plupart des gens peuvent vivre avec un seul rein qui fonctionne sans complications majeures.

Après une néphrectomie radicale ou élargie pour cancer du rein, votre médecin planifiera régulièrement des visites de suivi. Le suivi dure au moins 5 ans. Les examens habituels lors des visites de suivi sont des scanners thoraco-abdomino-pelvien, des échographies, des analyses sanguines ou urinaires.

La néphrectomie de réduction tumorale est une chirurgie recommandée pour le cancer du rein métastatique. Le but est de retirer le plus de tumeur possible. Pour ce faire, il peut être nécessaire d’enlever le rein, des métastases ainsi que des organes environnants.

La surveillance active est une forme de traitement dans laquelle le médecin surveille activement la tumeur. Il est recommandé si la chirurgie n’est pas la meilleure option pour vous et en cas de tumeur petite de moins de 4 cm.

Si la tumeur est agressive, vous avez besoin d’autres traitements et la surveillance n’est pas une option thérapeutique. Si vous êtes un bon candidat pour la surveillance active, votre docteur établira un calendrier de visite strict.

À chaque visite, l’urologue pose des questions au sujet de tout changement notable dans votre santé, effectue un examen physique, et discute des résultats de vos analyses sanguines. Avant chaque visite votre médecin planifiera régulièrement des visites de suivi. Les examens habituels lors des visites de suivi sont des scanners abdomino-pelviens, des échographies, des analyses sanguines ou urinaires.

Dans la plupart des cas, une visite de suivi est nécessaire tous les 3 mois la première année après le diagnostic. Dans les 2 années suivantes, les visites sont prévues tous les 6 mois, puis une fois par an.

L’ablation par radiofréquence (RFA) utilise la chaleur produite par les ondes radio à haute fréquence pour tuer les cellules cancéreuses.

Votre médecin peut suggérer un traitement si vous avez une petite tumeur du rein (moins de 4 cm) et que la chirurgie n’est pas la meilleure option pour vous. Il s’agit d’un traitement efficace et sûr pour les petites tumeurs rénales, mais il existe un risque que les cellules tumorales soient laissées dans le rein après le traitement par radiofréquence. Cela augmente le risque de récidive. L’ablation par radiofréquence peut être effectuée plus d’une fois en cas de récidive ou si le premier traitement a échoué.

Après ablation par radiofréquence, les visites de suivi sont prévues tous les 3 mois. Les examens habituels lors des visites de suivi sont des scanners abdomino-pelviens ou l’IRM, utilisés pour surveiller votre rein et détecter une éventuelle récidive locale.

La cryothérapie, également connue sous le nom de cryoablation, utilise un gaz liquéfié, le plus souvent de l’azote liquide ou de l’argon, pour tuer les cellules tumorales en les gelant.

Votre médecin peut suggérer une cryothérapie si vous avez une petite tumeur du rein (moins de 4 cm) et que la chirurgie n’est pas la meilleure option pour vous. La cryothérapie est un traitement efficace et sûr pour les petites tumeurs rénales, mais il existe un risque que les cellules tumorales soient laissées dans le rein après la procédure. Cela augmente le risque de récidive. La cryothérapie peut être effectuée plus d’une fois en cas de récidive ou si le premier traitement a échoué.

Après la cryothérapie, les visites de suivi sont prévues tous les 3 mois. Les examens habituels lors des visites de suivi sont des scanners abdomino-pelviens ou l’IRM, utilisés pour surveiller votre rein et détecter une éventuelle récidive locale.

Il s’agit de médicaments qui ralentissent la croissance tumorale ou qui peuvent diminuer la taille de la tumeur. Ils empêchent la formation de nouveaux vaisseaux sanguins qui alimentent le cancer et lui permettent de croître. La thérapie anti-angiogénique est souvent appelée thérapie ciblée parce qu’elle affecte principalement les cellules cancéreuses.

Ce traitement est recommandé si la tumeur est métastatique. Il peut être la meilleure option de traitement pour vous si vous ne pouvez pas subir une intervention chirurgicale ou si la tumeur ne peut pas être enlevée.

Ces médicaments influent sur la formation de nouveaux vaisseaux sanguins dans tout le corps, et ils causent de nombreux effets secondaires. La thyroïde, le cœur et la peau sont les plus fréquemment affectés.

Ces médicaments ralentissent la cicatrisation des plaies, donc vous ne pouvez commencer ce traitement qu’après cicatrisation complète dans les suites d’une intervention chirurgicale.

Un autre effet secondaire commun est la fatigue. Cela signifie que vous vous sentez plus fatigué que d’habitude, vous manquez d’énergie et le sommeil n’améliore pas cet état de fatigue. Vous pouvez également éprouver des douleurs articulaires, musculaires et dans la poitrine. La fatigue peut être un effet secondaire des médicaments, mais elle peut aussi être causée par la maladie.

Il est fréquent que vous vous sentiez nauséeux pendant le traitement. Vous pouvez également présenter une diarrhée ou une constipation. Si vous avez un de ces symptômes, faites le savoir à votre équipe médicale. Votre médecin peut vous donner des médicaments pour traiter ces symptômes.

L’immunothérapie est un type de traitement médicamenteux qui stimule le système immunitaire pour combattre les cellules tumorales. Ce traitement redonne à vos globules blancs le pouvoir de reconnaître le cancer comme un corps étranger et de le détruire.

L’immunothérapie peut causer plusieurs effets secondaires. Les plus courants sont la fatigue et les symptômes pseudo-grippaux, comme la fièvre et les frissons, les maux de tête et les douleurs articulaires ou musculaires.

Les autres effets secondaires du traitement peuvent être plus graves. Ils incluent des modifications biologiques de la numération formule sanguine, des nausées et vomissements, de la diarrhée, une dépression ou de l’anxiété. Votre médecin suit de près votre état de santé au cours du traitement.

La chimiothérapie est un type de traitement médicamenteux qui se compose d’un ou plusieurs produits chimiques qui sont toxiques pour les cellules. Il attaque toute cellule dans le corps qui se divise rapidement, ce qui comprend les cellules tumorales, mais aussi les cellules de croissance des cheveux et la moelle osseuse, entre autres. Il est généralement administré par voie intra-veineuse.

La chimiothérapie n’est généralement pas efficace pour le cancer du rein.

La radiothérapie endommage et tue le tissu cancéreux. Les tumeurs rénales ne sont généralement pas très sensibles à la radiothérapie. Pour cette raison, le traitement est seulement recommandé pour soulager les symptômes causés par la tumeur primaire ou les métastases qui ne peuvent pas être éliminées par la chirurgie. La radiothérapie pour le cancer du rein est généralement recommandée dans le cadre d’une approche de soins palliatifs.

Si vous avez un cancer du rein métastatique, votre médecin peut vous suggérer de participer à un essai clinique. Il s’agit d’un type d’étude où les nouveaux médicaments sont évalués. Il pourrait aussi s’agir d’une étude sur la séquence ou la dose de traitements médicamenteux existants.

Votre médecin vous fournira toutes les informations dont vous pourriez avoir besoin avant de participer à un essai. Vos symptômes et l’état général seront surveillés plus souvent et plus étroitement que pendant le traitement régulier.

Il est important de savoir que vous pouvez interrompre votre participation à un essai clinique à tout moment. Vous n’aurez pas besoin d’expliquer vos raisons.

Le diagnostic de cancer présente un impact majeur sur votre vie et celle de vos proches. Il peut causer des sentiments d’anxiété, d’incertitude, de peur ou même de dépression. Le traitement du cancer est éprouvant et affectera votre travail et votre vie sociale. Pour trouver du soutien, demandez conseil à votre médecin. Il est en mesure de vous donner des informations sur les associations de patients ou d’autres personnes qui peuvent vous aider tel le soutien psychologique, ou résoudre des questions pratiques.

Vous pouvez être inquiet de la maladie et de son pronostic, de l’impact du traitement. Il est fréquent de s’inquiéter du risque de récidive du cancer. La plupart des personnes qui présentent un cancer, ou leurs proches, nous témoignent ces soucis. Si vous êtes inquiet, contactez votre médecin et parler des risques de récidive du cancer, du besoin de soutien psychologique. Une association de patients peut vous aider à répondre à toutes ces questions.

Pendant le traitement, vous serez en arrêt de travail. Parlez avec votre chef du moyen de retourner travailler, du délai, de l’adaptation du temps de travail ou du poste.

La chirurgie et le traitement du cancer peuvent affecter votre sexualité. Par exemple, les hommes peuvent éprouver la dysfonction érectile comme effet secondaire du traitement anti-angiogénique. La dépression ou la fatigue peuvent également avoir un effet négatif sur votre vie sexuelle. Il est important que vous en parliez dans votre couple.

Parfois, la guérison du cancer du rein n’est pas possible. Lorsque le traitement ne fonctionne pas, une démarche de soins palliatifs vous est proposée.

Le soin palliatif est un projet de soin dont l’objectif est d’améliorer votre qualité de vie même si le cancer ne peut être guéri. Lors de cette démarche de soin palliatif, vous et vos proches êtes soutenus par une équipe pluridisciplinaire. Ensemble, vous abordez les questions physiques, psychologiques, sociales et spirituelles. Celà comprend le contrôle de vos symptômes et le traitement médical de la douleur. L’équipe de soins palliatifs peut fournir des soins à l’hôpital ou à votre domicile.

Un diagnostic de cancer affecte non seulement le patient, mais aussi les personnes qui les entourent. Vous pouvez offrir un soutien de différentes façons. Parfois, vous pouvez aider avec des choses pratiques comme l’aide dans les tâches de la vie quotidienne (la lessive, le jardinage, ou les courses…)

Il peut également être utile d’aller chez le médecin ensemble. Vous pouvez aider en l’emmenant en voiture ou l’aider à formuler des questions lors de la consultation. Être là pour la consultation peut également être bon. Vous pouvez reformuler les propos du médecin après la consultation. Vous pourriez également demander au médecin comment le traitement peut influer sur votre vie en termes de soins et d’effets psychologiques.

Les associations de patients peuvent également aider avec des questions plus pratiques et un soutien psychologique.

Le diagnostic et le traitement du cancer est éprouvant. Votre vie est bouleversée par la survenue du cancer. Des questions sur le pronostic, les effets du traitement, et même la possibilité de mourir se posent. En tant que famille ou amis, vous pouvez être là et écouter. Si vous pensez avoir besoin de quelqu’un à qui parler, approchez votre médecin de famille ou l’équipe médicale pour obtenir de l’aide. Les associations de patients offrent également le soutien aux membres de la famille ou aux amis des malades atteints de cancer.

ARTICLES

Contenu protégé