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    Numéro 12- Volume 25- pp. 673-720 (Octobre 2015)

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    • Prise en charge des lésions kystiques du rein : revue de la littérature

      Résumé
      Introduction

      Le diagnostic de plus en plus fréquent de kyste rénal implique de savoir identifier et prendre en charge de manière adéquate les lésions ayant un potentiel de malignité. Le but de cet article de revue est de réaliser une mise au point sur les caractéristiques morphologiques, histologiques et thérapeutiques des tumeurs kystiques du rein.

      Méthode

      Une revue systématique de la littérature sur PubMed et ScienceDirect a été effectuée. Les études prospectives et rétrospectives chez l’adulte, ainsi que les revues de la littérature ont été examinées.

      Résultats

      La classification de Bosniak, utilisée à travers le monde, permet un langage commun aux radiologues et urologues pour décrire les kystes rénaux selon leur potentiel de malignité. La probabilité de néoplasie est de 0, 15, 50 et 95 % pour les kystes de catégorie I, II, III et IV, respectivement. Il s’agit de carcinome de bas grade le plus souvent. Les kystes IIF (F pour follow -up ) sont malins dans 25 % des cas et nécessitent une surveillance par imagerie à 6 mois puis régulièrement pendant 5ans. Elle peut se faire par TDM, IRM ou échographie de contraste. La biopsie rénale, longtemps non recommandée dans les tumeurs kystiques, pourrait permettre de prévenir 40 % de chirurgies non nécessaires. Les kystes Bosniak I et II symptomatiques peuvent être traités par sclérothérapie ou résection du dôme saillant. Les catégories III et IV doivent bénéficier d’un traitement selon les règles d’exérèse carcinologique.

      Conclusion

      La catégorie IIF constitue la principale difficulté diagnostique et thérapeutique des tumeurs kystiques du rein. La biopsie permet un diagnostic fiable, sans risque carcinologique.

      Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

      Prise en charge des lésions kystiques du rein : revue de la littérature

      Summary
      Introduction

      The expansion of renal cysts diagnosis in the population entails to learn how to properly identify and treat potentially malignant lesions. The aim of this review article is to discuss anatomical and pathological characteristics as well as treatment of cystic renal tumors.

      Method

      A literature review of Medline publications on renal cysts and cystic tumors was conducted. Prospective and retrospective studies in adults, and previous reviews were analyzed.

      Results

      Bosniak classification of renal cysts is used worldwide among urologists and radiologists to categorize cystic lesions according to their potential malignancy. There is a 0, 15, 50 and 95 % chance of cancerous cells in Bosniak I, II, III, and IV, respectively. The most frequent pathology is renal cell carcinoma, usually low grade and low stage. Category IIF cysts (F for follow-up) have a 25 % chance of malignancy and require surveillance at 6months and regularly for 5years. The follow-up can be done with CT imaging, MRI or contrast enhanced ultrasonography. Cyst biopsy, which was not recommended for a long time, could prevent 40 % of unnecessary surgeries for benign lesions. Bosniak category I and II cysts can be treated if symptomatic, by sclerotherapy or laparoscopic deroofing of the cyst. Category III and IV lesions must be treated as malignant tumors with security margins.

      Conclusion

      Diagnosis and treatment of Bosniak category IIF renal cysts remain the primary challenge for physicians in cystic renal tumor management. Biopsies of renal cysts seem reliable, with no risk of malignant cell dissemination.

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    • Étiologies et résultats fonctionnels après réimplantation urétéro-vésicale chez l’adulte : revue de la littérature

      Résumé
      Introduction

      Les réimplantations urétéro-vésicales (RUV) chez l’adulte sont des interventions complexes le plus souvent décidées en cas de pathologie de l’uretère distal. L’objectif de ce travail était de proposer une mise au point concernant les indications de RUV, les différentes techniques chirurgicales et leurs résultats fonctionnels.

      Matériel et méthode

      Une recherche bibliographique a été effectuée à partir de PubMed, GoogleScholar et Embase avec les mots clés suivants : ureter  ; laparoscopy  ; robotics, reimplantation  ; surgery  ; obstruction  ; morbidity  ; complications  ; psoas hitch  ; Boari flap  ; ureteroneocystostomy .

      Résultats

      Dans plus de 50 % l’étiologie était une lésion de l’uretère d’origine iatrogène. Lorsque la perte de substance urétérale était inférieure à 2 cm, une RUV directe ou antireflux était la technique de choix. En cas de perte de substance supérieure à 2 cm, le lambeau de Boari ou la vessie psoïque était privilégié. Plusieurs voies d’abord chirurgicales étaient envisageables : ouverte, laparoscopique pure ou robot assistée. Les pertes sanguines estimées, la douleur et la durée moyenne de séjour semblaient être meilleures par voie cœlioscopique conventionnelle ou robot assistée. En revanche, les complications, la fonction rénale pré-/postopératoire, la durée opératoire semblaient équivalentes. La complication majeure la plus fréquemment retrouvée était la fuite sur anastomose.

      Conclusion

      Les techniques de RUV sont désormais bien codifiées même s’il s’agit d’une intervention assez rare en pratique courante. Les résultats fonctionnels sont satisfaisants d’après la littérature et la morbidité de plus en plus réduite mais le niveau de preuve des études disponibles est faible.

      Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

      Étiologies et résultats fonctionnels après réimplantation urétéro-vésicale chez l’adulte : revue de la littérature

      Summary
      Objectives

      Vesico-ureteral reimplantations (VUR) for adults are complex procedures, often practicing for distal ureteral lesions. Our goal was to synthesis the main indications for VUR, different techniques and their functional outcomes.

      Material and methods

      A literature review in English by Medline, Embase and Google scholar was performed using the following keywords: ureter; laparoscopy; robotics, reimplantation; surgery; obstruction; morbidity; complications; psoas hitch; Boari flap; ureteroneocystostomy.

      Results

      In more than half of the cases, aetiology was a iatrogenic ureteral lesion. When the ureteral defect was less than 2 cm, direct or non-refluxing VUR was the technique of choice. If defect was superior than 2 cm the Boari flap or vesicopsoas hitch were preferred. Several surgical approaches were feasible: open, laparoscopic only, robot assisted laparoscopic. Estimated blood loss, pain and mean hospital stay seemed better with conventional or robotic coelioscopy. Nevertheless, complications, pre-/post-operative renal function and mean operative time seemed similar. The most frequent major complication was the anastomotic urine leakage.

      Conclusions

      The VUR techniques are well codified now even if it's a rare procedure. Functional outcomes are satisfied according to literature and morbidity is more and more decreasing but the level of evidence of the studies is low.

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    • Azoospermie et antécédent de cure de hernie inguinale chez l’adulte

      Résumé
      Contexte

      La cure de hernie inguinale fait partie des interventions chirurgicales les plus fréquemment pratiquées dans le monde. Il est reconnu que toute intervention chirurgicale dans la région du pelvis ou des bourses représente un facteur de risque potentiel d’infertilité masculine.

      Méthode

      Étude rétrospective reprenant les patients azoospermes ayant eu une cure de hernie inguinale uni- ou bilatérale postpubertaire et ayant consulté dans notre centre entre janvier 1990 et janvier 2011 pour bilan d’infertilité.

      Résultats

      Parmi les 69 patients azoospermes ayant un antécédent de cure de chirurgie inguinale pour hernie postpubertaire, 60 patients ont eu une extraction chirurgicale de spermatozoïdes et qui s’est révélée positive dans 75 % (n =45). Ce taux d’extraction positive chutait dans le sous-groupe de patients ayant des facteurs de risque d’infertilité (61,4 %) ainsi que dans celui ayant eu une cure de hernie inguinale bilatérale (67,9 %). Il n’y avait pas de différence statistiquement significative du taux d’extraction positive de spermatozoïdes selon la technique chirurgicale utilisée ni selon la mise en place ou non de matériel prothétique (p >0,05).

      Conclusion

      L’obstruction des canaux déférents due à une cure de hernie inguinale représentait une cause iatrogène possible d’infertilité masculine qui était rare et sous-estimée. L’influence de l’utilisation d’une prothèse de polypropylène n’a pas été clairement démontrée. La prise en charge de ces patients repose sur la prévention afin de repérer les patients à risque d’infertilité et de proposer le cas échéant une cryopréservation de sperme.

      Niveau de preuve

      5.

      Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

      Azoospermie et antécédent de cure de hernie inguinale chez l’adulte

      Summary
      Background

      Inguinal hernia repair is one of the most performed surgeries in the world. It is recognized that any surgery of the pelvic floor may represent a risk factor of male infertility.

      Method

      Retrospective study of patients with azoospermia and a history of adult inguinal hernia repair surgery and referred to our center between January 1990 and January 2011 for infertility.

      Results

      Among 69 azoospermia patients with history of adult inguinal hernia repair surgery, 60 patients underwent surgical extraction of sperm that was successful in 75% (45/60). Positive extraction rate decreases in the subgroup of patients with risk factors for infertility (61.4%) as well as in the group with bilateral inguinal hernia (67.9%). There was no statistically significant difference in the positive rate of sperm retrieval according to surgical technique or according to the use of polypropylene mesh (P >0.05).

      Conclusion

      The obstruction of the vas deferens due to an inguinal hernia repair was a potential iatrogenic cause of male infertility that was rare and underestimated. The influence of using a polypropylene mesh was not clearly demonstrated. The management of these patients is based on prevention in order to identify patients with risk factors of infertility in order to propose a presurgery cryopreservation of sperm.

      Level of evidence

      5.

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    • Quels sont les facteurs prédictifs de la douleur lors du traitement des calculs rénaux par lithotritie extracorporelle ?

      Résumé
      But

      Identifier les facteurs prédictifs de la douleur au cours de la lithotripsie extracorporelle (LEC), permettant de sélectionner les patients qui nécessitent une analgésie.

      Méthodes

      Il s’agit d’une étude prospective réalisée sur une période de 13 mois. Ont été inclus dans cette étude cent patients porteurs des lithiases rénales traitées par un lithotripteur électromagnétique (siemens ; lithoskop). Pour l’étude de la douleur subjective provoquée par la LEC aux différents temps de la séance, une Échelle visuelle analogique (EVA) a été utilisée aux différents temps (T) de la séance (T0 avant la séance, T1 à 500coups et T2 à 1500coups, T fin de traitement). Une séance a été considérée non douloureuse si EVA≤3. Pour identifier les facteurs prédictifs de la survenue de douleurs pendant la séance de LEC, nous avons proposé d’établir les corrélations entre la douleur et les différentes caractéristiques des patients, des calculs rénaux et de l’onde de choc.

      Résultats

      L’étude analytique a montré que la douleur a été corrélée au sexe féminin, au score de l’anxiété, à la distance peau calcul, à la distance pariétale et à l’énergie de l’onde de choc. Alors que l’âge, le tour de taille, les Circonstances de découvertes (CDD), la projection du calcul sur la côte et le nombre des coups n’avaient pas d’impacts sur le niveau de douleur.

      Conclusion

      Notre étude a montré que même avec un lithotripteur électromagnétique de troisième génération ; la LEC est encore douloureuse amenant à l’arrêt de la séance dans 29 % des cas. Au bout de cette étude, quatre facteurs majeurs prédictifs de douleur et pouvant amener au recours à la sédo-analgésie, dès le début de la séance, ont été identifiés.

      Niveau de preuve

      3.

      Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

      Quels sont les facteurs prédictifs de la douleur lors du traitement des calculs rénaux par lithotritie extracorporelle ?

      Summary
      Purpose

      Identify predictors for selecting patients who requires analgesia during lithotripsy.

      Methods

      This is a prospective study over a period of 13 months, 100 patients with kidney stones treated by an electromagnetic lithotripter (siemens; lithoskop) were selected. For the study of subjective pain caused by the ESWL at different times of the session, a visual analog scale (VAS) was used at different times (T) of the session (T0 before shots, T1 at 500 shots, T2 at 1500 shots, T end of treatment). A session was considered painless if VAS≤3. To identify predictors, were investigated association between pain and the different characteristics of patients, kidney stones and the shock wave specifications.

      Results

      The analytical study showed that pain was correlated with female gender, anxiety score, skin distance stones, parietal distance and the energy of the shock wave. While age, waist circumference, the circumstance found, the projection of stones on the rib and the number of shots had no impact on the level of pain.

      Conclusion

      Our study showed that even with an electromagnetic lithotripter third generation; ESWL is still painful leading to the interruption of the session in 29% of cases. Four major predictors of pain leading to the use of sedo-analgesia early in the session were identified.

      Level of evidence

      3.

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    • Apport des auto-dilatations dans le traitement des sténoses de l’urètre

      Résumé
      But

      Les sténoses de l’urètre (SU) ont un caractère récidivant. L’urétroplastie est souvent proposée en cas de récidive. Cette étude cherchait à étudier l’intérêt des auto-dilatations (AD) dans l’évolution des SU après urétrotomie interne (UOI).

      Méthodes

      Étude monocentrique rétrospective de 2008 à 2013 chez des patients ayant eu une UOI pour traiter une SU confirmée par débitmétrie et fibroscopie. Certains pratiquaient des AD en plus de l’UOI pour éviter la récidive. Le suivi était assuré lors de consultations par évaluation subjective (du patient et du chirurgien) et par débitmétrie. Les re-sténose étaient confirmées par débitmétrie et fibroscopie.

      Résultats

      Quatre-vingt-treize patients avec une SU traitée par UOI seule (50 patients) ou associée à des AD (43) étaient inclus. Les SU étaient majoritairement d’origine iatrogène (75 %), courtes<10mm (84 %), uniques (74 %) et primitives (50,5 %). Le suivi moyen était de 99,3±72,8 semaines. Dix-huit patients (19 %) présentaient une récidive symptomatique objectivée par débitmétrie (débit maximal [Qmax] post-UI moyen=20±10,5mL/s, Qmax moyen des récidives=6,25±2,8mL/s [p <0,001]), 8 dans le groupe UOI seule et 10 dans le groupe UOI+AD. Les taux de récidives étaient comparables dans les 2 groupes UOI (16 %) UOI+AD (23 %) (p =0,46). Le délai de récidive moyen était de 81,1±87 semaines et était différent dans les 2 groupes : UOI 76,8±76,3 semaines, UOI+AD 83,3±93,9 (p =0,014). Une analyse des récidives pour des SU primitives montrait que le taux de récidives était statistiquement non différent : 18 % pour le groupe UOI+AD vs 14 % pour les UOI. Une analyse des récidives pour des SU multi-récidivantes montrait un taux de 26 %, comparable dans les 2 groupes (p =1).

      Conclusion

      Après UOI les SU récidivaient chez 1 patient sur 5 après 18 mois surtout si elles étaient compliquées (multiples, récidivantes, étendues). Les AD n’apportaient pas de bénéfice en termes de récidive (pour la population générale et pour les SU primitives) par rapport aux UOI seules mais semblaient prolonger le délai sans récidive (76,8 semaines vs 83,3 semaines).

      Niveau de preuve

      5.

      Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

      Apport des auto-dilatations dans le traitement des sténoses de l’urètre

      Summary
      Objectives

      Urethral stenosis has a recurrent character. The urethroplasty is often proposed for repeat stenosis. This study seeks to explore the interest of clean intermittent self-catheterization in the evolution of urethral stenosis after urethrotomy.

      Methods

      Single-center retrospective study from 2008 to 2013, concerning patients who received urethrotomy to treat urethral stenosis which was confirmed by endoscopy and a flow chart. Some accomplished self-catheterization in addition to urethrotomy to prevent recurrence. The monitoring was provided during consultation by a subjective assessment (patient and surgeon) and a flow chart. The restenosis were confirmed by endoscopy and flow chart.

      Results

      Ninety-three patients treated with urethrotomy alone (50 patients) or associated with self-catheterization (43) was included. Urethral stenosis were mostly iatrogenic (75%), short <10mm (84%), single (74%) and primary (50.5%). Mean follow-up was 99.3±72.8 weeks. Eighteen patients (19%) had symptomatic recurrence suspected by flow chart with a mean Qmax at recurrence was 6.25±2.8mL/s (P <0.001), 8 in urethrotomy group and 10 in the urethrotomy+self-catheterization group. Recurrence rates were comparable in the 2 groups, urethrotomy (16%) urethrotomy+self-catheterization (23%) (P =0.46). The mean time to recurrence was 81.1±87 weeks and was different in the 2 groups: 76.8±76.3 weeks in urethrotomy group, 83.3±93.9 in urethrotomy+self-catheterization group (P =0.014). An analysis recurrence for the primitive urethral stenosis showed that the recurrence rate was not statistically different: 18% for urethrotomy+self-catheterization group vs 14% for urethrotomy group. An analysis of recurrent relapses for urethral stenosis showed a rate of 26%, comparable in the 2 groups (P =1).

      Conclusion

      After urethrotomy, urethral stenosis recurs in 1 patient over 5, after 18 months especially if they were complicated (multiple, recurrent, extended). Self-catheterization do not provide benefit in terms of recurrence (for the general population and for primitive urethral stenosis) compared to only urethrotomy but seem to extend the time without recurrence (76.8 weeks vs 83.3 weeks).

      Level of evidence

      5.

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    • Métastase d’une tumeur primitive dans un carcinome rénal : un évènement rare et surprenant

      Résumé

      Les cas de métastases de tumeur se développant au sein d’une autre tumeur sont très rares. Nous rapportons trois cas de tumeurs développées au sein de carcinome rénal à cellules claires : deux cas de carcinomes mammaires et un cas d’adénocarcinome sigmoïdien. Nous avons donc objectivé une prévalence de 1,5 % des tumeurs rénales de notre série. Il s’agit d’une situation rare mais à prendre en compte dans la pratique quotidienne car elle modifie la prise en charge oncologique proposée au patient. Après revue de la littérature, le carcinome rénal à cellules claires s’avère être la tumeur réceptrice la plus fréquente du fait de sa vascularisation et sa richesse en lipides et glycogène. Plusieurs mécanismes physiopathologiques peuvent expliquer ce phénomène, mais beaucoup restent encore inconnus. Connaître ce phénomène permet d’en améliorer le diagnostic et ainsi la prise en charge des patients atteints de plusieurs cancers.

      Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

      Métastase d’une tumeur primitive dans un carcinome rénal : un évènement rare et surprenant

      Summary

      Tumor-to-tumor metastasis is a very rare event. We report three cases of tumor metastasizing in a clear cell renal cell carcinoma: two breast carcinomas and a sigmoid carcinoma. So we objectified a prevalence of 1.5% of renal tumors in our series. It's a rare situation but to be considered in daily practice because it changes oncological management offered to the patient. According to the literature, clear cell renal cell carcinoma is the most common tumor recipient of metastasis. Several physiopathological mechanisms can explain this phenomenon, but many of them are still unknown. A better understanding of this phenomenon makes it possible to improve the diagnosis and thus the management of patients with several cancers.

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    • Editorial Board

      Prog Urol, 2015, 12, 25, i

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