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    Numéro 1- Volume 18- pp. 3-F34 (Février 2008)

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    • Prescription de bisphosphonates dans le cancer de prostate

      Résumé

      Le pronostic du cancer de prostate métastatique est multifactoriel. Un des facteurs déterminant de la survie est l’apparition de complications osseuses en relation avec la progression tumorale. Les stratégies thérapeutiques sont multiples : action locale par la radiothérapie voire la chirurgie des métastases osseuses ; action systémique par le traitement hormonal, la chimiothérapie et les amino bisphosphonates. Ces derniers présentent un intérêt pour la prévention des accidents osseux et ont une action sur la douleur. Ils ont également une action préventive de la perte osseuse induite par la privation androgénique. Leur prescription est actuellement recommandée dès le diagnostic des métastases osseuses.

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    • Diagnostic d’une anorgasmie masculine

      Résumé

      L’anorgasmie (également appelée anéjaculation sans orgasme) est définie par l’absence persistante ou répétée de l’orgasme après une phase d’excitation sexuelle normale. L’orgasme tardif, difficile à atteindre, est une forme mineure d’anorgasmie. La prévalence de l’anorgasmie masculine a été respectivement évaluée dans les enquêtes ACSF (France 1993) et NHSLS (USA 1999) à 14 et 8 %. Le diagnostic étiologique d’une anorgasmie repose essentiellement sur l’interrogatoire. Les facteurs de risque d’anorgasmie sont le plus souvent psychologiques, mais aussi neurologiques et médicamenteux. Notamment les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et/ou de la noradrénaline et certains alpha-bloquants, couramment utilisés en urologie, peuvent se compliquer d’orgasmes tardifs voire d’anorgasmies. L’anorgasmie sans facteur de risque organique justifie un bilan sexo-psychologique.

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    • Infections urinaires basses : épidémiologie bactérienne et recommandations

      Résumé

      L’infection urinaire basse conserve une grande fréquence, notamment chez la femme, en dépit des progrès de la prise en charge thérapeutique. Il convient donc de revenir sur l’épidémiologie bactérienne et les moyens thérapeutiques actuellement disponibles.

      L’analyse des éléments en présence, bactéries infectantes et antibiotiques actifs ou résistances acquises doit permettre de « faire le point » des évolutions au cours des dix dernières années.

      L’étude montre que l’épidémiologie bactérienne dans l’infection urinaire basse a peu changé en dépit de la pression de sélection attendue des antibiotiques très souvent prescrits. Cependant, on voit émerger quelques espèces d’entérobactéries plus résistantes que Escherichia coli qui reste prédominant. Des résistances modérées se sont développées vis-à-vis de Negram®, de l’amoxicilline et de l’Augmentin®, mais on dispose de nombreuses molécules actives (ciprofloxacine, Monuril®). La durée des traitements est discutée et tend en général vers les durées courtes voire la monodose.

      Le contrôle de l’infection urinaire basse reste aisé, à condition de respecter le bon choix thérapeutique en fonction d’une bactériologie documentée : espèce en cause et sensibilité aux antibiotiques disponibles.

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    • Fusion d’images : application au contrôle de la distribution des biopsies prostatiques

      Résumé

      Les biopsies de prostate sont réalisées le plus souvent sous guidage échographique 2D en suivant un planning prédéfini. Les outils modernes de traitement d’images permettent actuellement de contrôler la distribution des biopsies réalisées au sein de la glande. Nous avons évalué les capacités d’un opérateur à réaliser un planning prédéfini de 12 biopsies en fusionnant les trajets des 12 biopsies dans un seul et même volume échographique. En moyenne, l’opérateur atteint sa cible dans seulement 60 % des cas. Cette étude permet donc de mettre en évidence qu’il est difficile d’atteindre avec précision une cible dans la prostate avec un guidage échographique 2D. Dans le futur proche, la fusion en temps réel d’images échographiques et IRM devrait permettre de sélectionner une cible dans une image IRM acquise antérieurement et de l’atteindre avec un guidage échographique.

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    • Un point technique sur la photovaporisation prostatique à l’aide du laser Greenlight ®

      Résumé

      L’utilisation du laser en urologie n’est pas récente, mais les nouvelles sources laissent présager un succès dans le traitement chirurgical de l’hypertrophie bénigne de la prostate. Le laser GreenLight® est un laser de 532 nm qui permet une vaporisation du tissu prostatique sans saignement et en utilisant du sérum physiologique. La technique utilise un endoscope muni d’un canal opérateur, une source de laser qui atteint désormais 120 watts et une fibre jetable de 600 microns. Les premiers résultats sont encourageants, notamment chez des malades sous anticoagulants ou anti-agrégants plaquettaires qui sont de plus en plus nombreux. La durée opératoire de cette technique semble plus longue que la résection standard, mais les durées d’hospitalisation et de sondage sont plus courtes. Cette technique devrait pouvoir être utilisée en ambulatoire, mais le codage CCAM n’est pour l’instant pas disponible.

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