16
juillet
2001
Mots clés : infection urinaire, Pyélonéphrite aiguë, antibiothérapie
Auteurs : Caron F
Référence : Prog Urol, 1998, 8, 1077-1079
Compte tenu de la très grande efficacité des céphalosporines de 3ème génération et des fluoroquinolones utilisés en monothérapie dans le traitement des pyélonéphrites aiguës non compliquées, l'adjonction d'un aminoglycoside n'est pas actuellement recommandée, la balance entre les inconvénients et les avantages de cette classe antibiotique n'étant pas jugée favorable. Pour autant, la question demeure posée de l'intérêt d'une cure brève d'aminoglycosides, à la phase initiale du traitement, notamment chez les sujets hospitalisés. La contribution à ce débat de trois études récemment publiées est analysée.